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Peut être que si un auteur commençait son roman d'urban fantasy avec une introduction très bit-lit/paranormal romance (perso féminin, vampires et loups-garous, et al.) avant de s'en détacher, ou plutôt de montrer que le genre ne s'arrête pas qu'à ça, ça rameuterait un peu plus de lecteurs sur le marché français.'fin comme d'hab, en attendant, quand on veut de l'urban fantasy, il vaut mieux se fournir sur le marché anglophone.Vos commentaires m'ont vraiment donné envie. J'ai eu la surprise aujourd'hui de tomber sur une boutique vendant Cold Days de Jim Butcher (il me semble qu'il sort que la semaine prochaine, il restait que deux exemplaires, j'ai pas hésité), donc je le finis et ensuite je passe à Dirty Streets of Heavenzedd a écrit :En même temps, vu les chiffres réalisés par la fantasy urbaine... Enfin bon, j'espère bien qu'un jour, le genre connaisse le succès. :-)


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Eh bien, il y a apparemment un éditeur dessus maintenant.zedd a écrit :En même temps, vu les chiffres réalisés par la fantasy urbaine... Enfin bon, j'espère bien qu'un jour, le genre connaisse le succès. :-)ZeddGillossen a écrit :Le manuscrit circule, mais je ne crois pas qu'il ait encore été acheté.
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Bon, je viens de finir the Dirty Streets of Heaven et c'était vraiment très très bon ^^De l'urban fantasy sans vampires, ni loup-garous avec un personnage principal qui est de nature angélique, c'est plutôt rafraichissant ^^Vraiment on ne se lasse pas tout le long de ces 406 pages, et les pages et les chapitres se laissent lire avec un plaisir certain.J'aime beaucoup le personnage de Bobby Dollar, surtout ses petites parenthèses (et les gay jokes avec Clarence
) quand il nous parle à nous, ou même ses interactions avec Sam, Clarence (aaaaaah, Clarence, j'adore ce mec
) ou l'opposition :)Les personnages secondaires ne sont pas en reste, que ce soit le mystérieux et intriguant Foxy, le white gangsta Garcia "G-Man", le pauvre Fatback, les autres anges (Sweetheart, Elvis, Monica, Chico, et al.) qui fréquentent The Compasses. Tous ont un petit je ne sais quoi qui les rends plus ou moins attachant.L'intrigue est plutôt bien menée et l'auteur ne nous prend pas pour des cons, ni ne prend son protagoniste pour un débile pour faire durer le suspens. Bobby a des amis, des ennemis, il fait confiance aux uns et se méfies des autres, mais cela ne veut pas dire qu'il n'envisage pas les trahisons des amis ou des arrangements avec le Diable.Et j'aime aussi ce tome car, contrairement à beaucoup de séries d'urban fantasy, là on rentre directe dans le vif du sujet. Par cela j'entends le problème majeur de la série. Souvent on traine durant deux ou trois tomes, pour présenter le quotidien du personnage de point de vue, avec un fil rouge/conducteur lié à la série vraiment très faibles et mineur, laissé en arrière plan. Là les cartes sont là, même si on s'en rends bien sur compte qu'au 2/3 du roman, grâce surtout à une certaine lettre... ;)Dans l'ensemble à aucun moment on ne se dis "merde, mais il fais quoi le Bobby ? Quel idiot de faire ça !". La plupart du temps c'est même lui qui nous préviens "j'suis du genre cliché du héros de film Noir et hard-boiled detective, mais je ne suis pas stupide".Ma seule complainte au final, c'est le traitement d'un perso :.Je trouve qu'il lui manquait quelque chose. Non pas au niveau de sa relation avec Bobby, mais plutôt, pour citer Minsc de Baldur's Gate 2 Throne of Bhaal à l'attention de Sarevok :.Mais bon, on a pas vraiment jusqu'à présent l'impression que cette personne est réellement .Juste qu'elle a eu le malheur de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment et de ne pas avoir eu... un bon avocat.:sifflote:C'est ma seule complainte.Ah si, peut être un peu gros aussi la façon dont Bref, une série d'urban fantasy à suivre 


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Bref, on a un aperçu du passé de cette personne, on a eu une introduction de cette personne comme étant laMinsc: Eh, so, ‘Sarevok’, if that is your real name, what do you remember of our previous battles?Sarevok: What are you getting at, ranger? I remember you well enough.Minsc: I am not completely convinced that you are who you say you are, standing there saying you are.Sarevok: And I am too feel bad that I do not have your validation? No, if my identity is a problem for you then let my actions speak instead.Minsc: Boo agrees. You are welcome beside us if you effectively apply the boots of goodness.Sarevok: Your deluded comments are unnecessary. (CHARNAME) directs my wrath as (HE or SHE) sees fit.Minsc: A fine choice of mentor, but again, you do not seem like a ‘Sarevok’ to me. Too much humble, and not enough, ‘RAAAAGH, feel my unholy rage.’
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Je viens de finir "The Dirty Streets of Heaven" et j'ai trouvé ce bouquin assez jouissif :DDans sa dernière vie Tad Williams a dû être un caméléon, c'est sur
La preuve : la facilité avec laquelle il s'adapte avec brio à tous genres et styles. Ainsi dans ce roman j'ai été particulièrement frappé par l'excellence avec laquelle l'auteur s'approprie les codes du genre urban fantasy tendance bit-litteuse (alors que the War of Flowers était plus genre urban fantasy faeriteuse
à mon humble avis) mais tout en cuisinant le chose à sa sauce personnelle (parce que ses anges et son paradis ne sont pas exactement conventionnel).J'ai beaucoup aimé le personnage de Bobby Dollar que j'ai trouvé vraiment sympathique. Pour un ange il a vraiment pas mal de faiblesses humaines
qui font tout son intérêt.L'histoire m'a aussi beaucoup plu. C'est dense et rapide mais sans que ça fasse trop rapide ou bâclé. Mais ce que j'ai vraiment adoré c'est le style du roman. C'est donc Bobby est le narrateur et le ton que donne l'auteur au récit de son personnage est absolument irrésistible, très percutant, décalé et sarcastique avec plein de petits apartés savoureux. Le tout donne un récit à la fois assez cocasse et assez sombre. Au final je dirais un livre très bon comme un très bon film d'action. La suite sort quand ?



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rhaaaaa ce livre est dans ma PAL !!!!je n'ai pas trouvé d'estimation pour la sortie du tome 2 par contre j'ai trouvé ça sur le site de Tad :
Tu peux commencer la roue du temps si tu veux pour te faire patienter^^Three books are planned for the series: The Dirty Streets of Heaven, Happy Hour in Hell, and Sleeping Late on Judgment Day. Each will be somewhat shorter than Tad’s usual epic science fiction and fantasy fare, and although part of a series, each may be read as a stand-alone novel.
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Ah ça c'est une bonne nouvelle.each may be read as a stand-alone novel.
Motivation pas encore assez forte pour m'en prendre pour un an :sifflote:Et en 10 jours avant la sortie du tome 76 de la Roue du Temps tu as largement le temps de lire celui-ci, c'est du bonRamaloce a écrit :Tu peux commencer la roue du temps si tu veux pour te faire patienter

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Et à ne surtout pas lire pour ceux qui n'ont pas terminé le premier tome, sous peine de se faire dévoiler toutes les intrigues :pBon, j'ai hâte de lire la suite, mais par contre avec ce synopsis je maintiens du coup mon avis concernant une certaine démone... J'espère que le coup desera bien géré. J'attends pas forcément un contre-cliché, j'attends juste que ce perso s'épanouisse au niveau de la personnalité.
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Je me suis bien amusée avec ce premier tome, retrouvant une ambiance à la Dead like me mitigée du Croak de Gina Damico... et découvrant un personnage flamboyant que Sam Sykes aurait pu esquisser. ;)Un livre dans l'air du temps, mais avec la patte talentueuse et pétulante de Tad Williams. J'ai hâte de retrouver Bobby Dollar et sa clique dans le prochain épisode !