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Posté : mer. 4 mai 2011 17:15
par Gwendal
Witch a écrit :Gillo se fade des trucs sans doute très insupportables, les critique et les note pour qu'on puisse éviter de se laisser pièger sur des grosses daubes.
Merci à lui d'ailleurs et aux autres critiques qui doivent se taper des trucs vraiment pas terrible pour séparer le bon grain de l'ivraie. Parce que si il y a un point où je suis d'accord avec les critiques négatives sur le sous genre c'est bien l'inondation du marché, bien aidé en cela par les gros distributeurs et les libraires il faut le dire. Alors pour arriver à tomber sur un truc sympa, au pif, c'est pas évident (j'ai eu cette chance avec Gail Carriger quand même :P)
Witch a écrit :Parce qu'on est assez nombreux ici, il me semble à lire des trucs de bonne qualité et à le dire. Après tout le monde est libre de se laisser tenter ou pas.
J'abonde dans ton sens (sans doute parce que je fais parti des nombreux :D) mais il y a vraiment des bouquins de qualité dans l'Urban fantasy et j'y trouve vraiment mon compte, entre deux bouquins de dark, de high ou de ........ :)

Posté : mer. 4 mai 2011 17:25
par Aléthia
Alors là ! Je ne peux qu'applaudir ton message Witch :) La critique est aisée .... vous connaissez la suite. J'ai toujours été gênée de lire autant de "venin" sur ce genre alors que dans d'autres fils de discussions, on se lamente d'être aussi mal aimés par les autres lecteurs. Je suis une lectrice éclectique. On peut aimer des oeuvres complexes, riches comme avoir envie d'une lecture détente. Et Bit Lit ne rime pas forcément avec "bouse commerciale".Comme partout, et comme l'a dit Witch, il y a de tout. Gillo écrème une bonne partie de ce qui est moins bon et franchement, je comprends que cela finisse par le gêner, mais d'autres lecteurs partagent des titres intéressants. A vous de faire votre choix ou de passer votre chemin.Fin bref, vous avez compris mon point de vue.

Posté : mer. 4 mai 2011 18:12
par Guigz
Il ne s’agit pas tant de critiquer la Bit-lit ou Urban Fantasy que de dénoncer les dérives du sous-genre en question :)On est tous d’accord pour dire que de la bit-lit, le marché en absorbe énormément et donc comme je (je vais parler pour moi ça évitera les amalgames) suis un vieux barbon, j’aime râler sur le fait que comme d’hab la quantité sacrifie bien trop souvent la qualité. Et que si je ne doute pas qu’il existe des bons titres de bit lit ou d’Urban Fantasy (Zedd en critique apparement de très bon comme Mike Carey ou la résurrection de Matthew Swift) on est une fois de plus noyé sous un mainstream qui semble n’en plus finir. Je ne dis pas que ce n’est pas la même chose ailleurs, en ce moment je déplore la publication de pas mal d’œuvre de fantasy en jeunesse qui sont (à mon goût) d’un ultra classicisme irritant : un/e paysan/ne se rend compte qu’il/elle a des pouvoirs que nul ne peux expliquer, ça tombe bien parce que son village est rasé par les immondes Grutal/Blorgwolf/Razlouf et il/elle doit donc fuir pour se mettre en quête de ses origines.... La chose est d’autant plus regrettable que ce sont souvent de petites maisons d’éditions qui publient ces ouvrages, comme si elles souhaitaient publier une histoire « comme tout le monde », de peur de se démarquer et donc de ne pas vendre.On fait la même chose quand on critique Eragon en disant qu’il fait mal à l’image du genre de la fantasy lui-même, le mainstream en bit-lit à mon avis, fait souffrir l’image du sous-genre auprès d’un certain public et malheureusement je trouve que ce ne sont franchement pas les meilleurs titres qu’on met en avant, mais ça effectivement c’est le cas ailleurs notamment en littérature générale.

Posté : mer. 4 mai 2011 18:49
par Witch
Hey Tatie va à la ligne de temps en temps (mon secret pour avoir des messages qui ont l'air de faire trois pages mais sont pas si longs en fait ;) ) Sinon je veux bien croire que ton point de vue est nuancé ;) mais il est quand même très extérieur non ? Pour l'instant j'ai un peu tendance à croire (mais dis moi si je me trompe;) ) qu'on vous dit bit lit et c'est la moue assurée. Comment veux tu que les bons trucs s'en sortent mieux que les mauvais si personne ne leur donne plus de chance. Le problème avec ce "sous-genre" et sa mise à l'écart c'est qu'on ne stigmatise pas seulement un titre ou un auteur et son oeuvre (ainsi que nous sommes nombreux à avoir tendance à le faire pour Eragon ou Goodkind par exemple) mais TOUT le genre, on dit "la bit lit" et hop on a tout dit. Encore une fois, je me répète, c'est l'attitude de beaucoup de personnes à l'égard de la fantasy et on ne peut pas critiquer cette attitude et la reproduire à l'intérieur de notre pré carré, il me semble. Quand on critique Eragon personne ne dit : "l'héroïc fantasy (je ne sais pas dans quoi le classer à vrai dire :D) c'est tout nul et ras le bol des dragons." Là on assiste quand même à une levée de boucliers qui dit :"la bit lit c'est nul et ras le bol des vampires/loup-garous/monstres amoureux d'une jolie fille sévèrement burnée"Je ne suis pas la dernière à souhaiter qu'une pause se fasse dans le domaine et qu'on revienne à un équilibre pour laisser la place auprès du public à des choses variées et de meilleure qualité. Si les lecteurs fantasy sont les premiers à dire du mal sans nuancer leur propos, c'est un peu comme se moquer du parent pauvre de la famille et décider que la bit lit serait notre mouton noir, tu vois ? Bref du coup je propose que tout le monde réécoute le podcast sur les clichés en fantasy :sifflote: :lol: :jesors:

Posté : mer. 4 mai 2011 18:54
par Albéric
C'est bon Witch, on peut même plus rigoler 5 minutes à propos de la Bit-Lit ???D'autant plus que la bit-lit a fait régulièrement et fait toujours régulièrement les beaux de la rubrique "A propos de ces couvertures fantasy si... particulières" : pas la peine de caricaturer, les éditeurs le font très eux-mêmes.
Je rappelle une nouvelle fois que cette "appellation" n'est QUE française et que dans le monde anglo-saxon cela se nomme urban fantasy
Et bien non ! Dans le monde anglo-saxon on appelle cela "paranormal romance", et ne vous en déplaise l'urban fantasy, que je lit et que j'aime, ne se limite pas aux histoires d'héroïnes qui fricotent avec des vampires et des loups garous. Je ne mets pas Neil Gaiman, le Dernier Magicien et les Dossiers Dresden dans le même sac que les héritières de Buffy même s'ils naviguent dans le même univers et le même imaginaire.La Bit-Lit repose sur un univers fantastique contemporain, mêlant réalisme et créatures fantastiques comme les vampires, loups garous, démons, etc, et orienté sur les adolescentes, soit par le public visé soit par ses héroïnes qui sont des adolescentes ou des jeunes femmes.Je ne critique pas la démarche des auteurs qui se réclame de ce courant ou qui sont catalogués comme y appartenant, mais ce qu'elle est devenue : le bit-lit n'est pas même plus une genre ou un sous-genre, c'est une formule magique pour attraper et fidéliser un certain type de lecteurs (lectrices ?).On ne jette pas le(s) bébé(s) avec l'eau du bain : oui il y a du très bon, du bon, du mauvais et du très mauvais !Mais force est de constater avec les critiques lues sur Elbakin ou ailleurs que sur 5 sorties, il y a comme ratio plutôt 1 bon, 1 sympa et 3 trucs pas terribles en plus de ne pas être original du tout.Avec une demi-douzaine de sorties mensuelles avec les même couvertures et les mêmes 4èmes de couvertures, on a largement dépassé le stade de l'inondation et pas facile se motiver pour trouver ce qui sort du lot.On va continuer à rigoler encore un petit peu avec des couvertures très particulières, et avec le temps tout va se décanter : les meilleurs titres sortiront du lot et on pourra oublier tous les autres.Après on aussi le droit d'aimer ou de ne pas aimer la formule de la Bit-Lit, c'est pas la peine de partir en croisade... :sifflote:EDIT: j'ai envoyé ce qui précède avant lecture du dernier message de Witch

Posté : jeu. 5 mai 2011 12:58
par Fabien Lyraud
Moi, je ne faisais que critiquer les couvertures de certains MIlady qui pourraient passer pour des porno si l'on fait pas attention. Sinon je suis convaincu qu'il y a de bons titres en paranormal romance mais ils sont noyés dans la masse. Le fait de traduire aussi bien des oeuvres ambitieuses que des oeuvres d'exploitation me gavent. Je suis de ceux qui pensent que la littérature d'exploitation devrait être réservés à des auteurs nationaux. On a très bien fonctionné comme ça jusqu'aux années 80 voir même le début des années 90. Et encore en fantasy le phénomènes des licences n'est pas encore trop envahissant, donc c'est moins pire qu'en SF de ce coté là. Si l'on traduisait le meilleurs du genre en laissant de coté les auteurs les moins intéressants, ça serait beaucoup plus productif. D'un autre coté ça laisserait les auteurs français qui souhaitent écrire aussi de la paranormal romance avoir eux également une place sur les rayonnages. D'autant plus que je crois que le roman d'exploitation français peut être mieux écrit que le roman d'exploitation américain pour peu qu'il y ait une direction éditoriale (bref pas comme le Fleuve NOir de la grande époque). D'ailleurs c'est assez inquiétant que l'on ne voit pas encore d'auteurs français investir cette niche. Je sais que Vanessa Terral a écrit plusieurs nouvelles dans plusieurs fanzines mettant en scène une héroïne de paranormal romance au nom compliqué. Je n'en ait lu aucune mais les diverses critiques sont bonnes. En même temps il serait souhaitable de publier de la bit lit française puisque ça nous permettrait d'éviter les romans américains les plus imbuvables.

Posté : jeu. 5 mai 2011 13:29
par Publivore
Oh, hey, oh ! Battez-vous, étripez-vous... mais vous touchez pas à Buffy, d'accord ? :angry: (Si, j'aimais beaucoup cette série ! -_-)
Guigz a écrit :La chose est d’autant plus regrettable que ce sont souvent de petites maisons d’éditions qui publient ces ouvrages, comme si elles souhaitaient publier une histoire « comme tout le monde », de peur de se démarquer et donc de ne pas vendre.
Là, par contre, j'ai bien rigolé ! :D Je pense plutôt que la raison de la publication de ce type d'ouvrage par les petites maisons d'édition est d'obtenir une part du gâteau, avec un ouvrage rentable (même si pouvant être pourri sur le plan littéraire). Non ? ;)

Posté : jeu. 5 mai 2011 16:46
par kaelyana
Albéric a écrit :Avec une demi-douzaine de sorties mensuelles avec les même couvertures et les mêmes 4èmes de couvertures, on a largement dépassé le stade de l'inondation et pas facile se motiver pour trouver ce qui sort du lot.
Il est surtout là le problème. Y'a tellement d'ouvrages qui sortent et qui pourraient être mis dans la catégorie bit-lit que quand on s'y connait pas, dur dur de trouver celui qui va nous plaire. Je suis pas connaisseuse du genre, mais quand j'arrive en librairie, que je vois ce présentoir avec tous ces titres de bit-lit qui se ressemblent, je me sens surtout perdue. J'aimerai bien en lire (j'en ai même 2-3 chez moi), parce que je suis persuadée qu'en effet, il y a du bon, voire du très bon là dedans, mais je suis un peu effrayée par la multiplicité des titres. Trop de bit-lit tue la bit-lit, c'est sur que quand y'a un filon qui marche, faut l'exploiter, mais je pense aussi qu'il faudrait savoir mieux le mettre en valeur, et ne pas le cataloguer trop vite. En même temps, une bonne information et des critiques argumentées aident aussi beaucoup, y'a pas si longtemps je me sentais perdue face au rayon fantasy dans son ensemble, maintenant ça s'est réduit à la bit-lit, y'a du progrès ! Je pense qu'on est nombreux ici à accorder de l'importance à un trio note/critique/auteur de la critique (sur Elbakin), à faire confiance aux goûts de certain(e)s, et à se baser là-dessus pour nos prochains achats, donc pourquoi faire une différence quand il s'agit de bit-lit après tout ? On risquerait de passer à côté de bonnes surprises.

Posté : jeu. 5 mai 2011 16:53
par Dark Schneider
Paranormal romance!! Encore une étiquette de plus à la mords moi le noeud...déjà qu'on doit se trainer ce boulet de High fantasy!!! Dire qu'il y a quelques années l'on se contentait d'apeller tout ce que l'on considère désormais comme de la Bit-lit de la littérature fantastique. C'est bien plus simple comme ça. Cette apellation ridicule (bit lit, ou paranormal machin) a juste été crée pour mettre specifiquement en valeur les histoires de vampires de loup-garous etc...histoire de pa les noyer dans la masse de la production littéraire fantastique. Sauf que maintenant c'est eux la masse. Que du marketing tout ça.

Posté : jeu. 5 mai 2011 17:16
par Perrin
"La fantasy urbaine est un sous genre au confluent du fantastique et de la fantasy et crée le lien entre les deux genres facilement solvables." :)Perso, je ne pense pas que ça soit le nom qui pose problème, mais ce qu'on trouve comme parutions.

Posté : jeu. 5 mai 2011 18:19
par Witch
Et c'est reparti pour la valse des étiquettes :rolleyes: D'accord avec Dark Schneider (une fois... :) ) L'édition française se trouve face à une vague de publication dans un genre qu'elle n'a pas ou peu exploité et paf lui colle une étiquette qui est un grand fourre-tout. Et qui ne l'oublions pas lui permet se s'inscrire dans la lignée très lucrative de la chick lit (Bridget Jones, Diable en Prada...) qui a été une vraie réussite pour la littérature générale. mais aussi un sous genre décrié qui stigmatise le lectorat ! Donc le but affiché est bien de drainer une certaine "clientèle". Mais nous qui sommes des lecteurs un peu avertis et surtout des lecteurs d'un genre regardé de haut, on pourrait être, il me semble, moins sensibles à cette démarche marketing. Ok ils appellent ça bit-lit parce que ça fait vendre, mais, comme cela a été bien dit :
Aléthia a écrit :J'ai toujours été gênée de lire autant de "venin" sur ce genre alors que dans d'autres fils de discussions, on se lamente d'être aussi mal aimés par les autres lecteurs.
Exactement le sens de mon intervention ;) D'ailleurs les lectrices de bit lit sont toutes des filles qui ne lisent de la fantasy que lorsqu'il y a du cul non ? :rolleyes:Je sais, de leur bouche, que des auteurs américaines classées en bit-lit (et qui écrivent depuis bien avant Meyer) ne se considèrent absolument pas comme auteurs de paranormal romance.D'autant plus que la paranormal romance ne se situe pas forcément dans un monde moderne et donc n'est pas un sous-genre de l'urban fantasy ! :wacko:Par ailleurs je ne suis pas certaine que des auteurs se "réclament" d'un genre.Bref on peut dire que le terme bit lit français désigne à la fois des ouvrages urban fantasy (où le point central n'est pas forcément une histoire d'amour) et paranormal romance (là par contre c'est clairement la romance qui prévaut, avec un "alibi" fantastique)
Kaelyana a écrit :En même temps, une bonne information et des critiques argumentées aident aussi beaucoup, y'a pas si longtemps je me sentais perdue face au rayon fantasy dans son ensemble, maintenant ça s'est réduit à la bit-lit, y'a du progrès !
Merci ! Au cours d'une discussion récente avec une personne professionnelle en littérature jeunesse elle disait qu'il lui semblait que le rayon fantasy ne pouvait être abordé que si on était "guidé" par quelqu'un s'y connaissant et qu'elle était perdu devant ce qu'elle connaissait mal. Si ça se trouve y'a des gens qui voient les looooongues rangées des Royaumes Oubliés, qui regardent deux-trois couvertures et se disent pfff c'est quoi cette production fantasy tout se ressemble et c'est sans doute que des ados mal dans leur peau qui lisent ces histoires. Si ne pas aimer les étiquettes, les généralisations et les avis définitifs c'est partir en croisade alors disons que je suis bonne pour rencontrer Liam Neeson très souvent :sifflote: :lol:

Posté : jeu. 5 mai 2011 18:29
par Guigz
Publivore a écrit :Oh, hey, oh ! Battez-vous, étripez-vous... mais vous touchez pas à Buffy, d'accord ? :angry: (Si, j'aimais beaucoup cette série ! -_-)
Guigz a écrit :La chose est d’autant plus regrettable que ce sont souvent de petites maisons d’éditions qui publient ces ouvrages, comme si elles souhaitaient publier une histoire « comme tout le monde », de peur de se démarquer et donc de ne pas vendre.
Là, par contre, j'ai bien rigolé ! :D Je pense plutôt que la raison de la publication de ce type d'ouvrage par les petites maisons d'édition est d'obtenir une part du gâteau, avec un ouvrage rentable (même si pouvant être pourri sur le plan littéraire). Non ? ;)
Je me suis mal exprimé, je veux dire que les derniers titres de petites maisons d'éditions que j'ai pu croiser sont de cet accabit.Voilà, je n'ai pas voulu dire que les gros éditeurs publiaient toujours des trucs originaux et les petits des ouvrages très/trop/vraiment trop classiques. Mais sinon, même si ma phrase n'est pas clair, on a les mêmes avis sur la question concernant la volonté de rentabilité des petits éditeurs. Cette même volonté qui est louable, mais qui empiette sur une certaine prise de risque à publier des ouvrages qui sortent du moule.

Posté : mer. 1 juin 2011 09:18
par Fabien Lyraud
Ca y est, la Bit Lit se mets au francophone. Grâce à ma rubrique de Jean Luc Rivera sur ActusF je viens d'apprendre que une auteure de Bit Lit française vient de publier son premier roman chez J'ai Lu sous le pseudonyme de Cassandre O'Donnell. Le problème c'est que le roman se passe aux USA. On aurait bien aimé voir un roman de Bit Lit se passant en France pour voir un peu la différence.

Posté : mer. 1 juin 2011 14:37
par Gillossen
Ah ben, ça, j'ai hâte de lire un roman avec une course poursuite dans les couloirs de Châtelet... Sinon, à noter que dans les remerciements des Royaumes Déchus, N.K Jemisin présente assez simplement mais de façon pertinente les deux courant majeurs de la fantasy urbaine... ;)

Posté : mer. 1 juin 2011 15:01
par almaarea
Il n'y a pas que le décors de l'histoire qui, semble-t-il, se "doit" de faire anglo-saxon, même le pseudonyme choisi fait bit-lit :rolleyes:

Posté : mer. 1 juin 2011 15:37
par Albéric
almaarea a écrit :
Il n'y a pas que le décors de l'histoire qui, semble-t-il, se "doit" de faire anglo-saxon, même le pseudonyme choisi fait bit-lit
Je pensais la même chose, mais je m'étais abstenu de poster pour ne pas me faire accuser de pourrir le groove des fans de bit-lit... :sifflote:

Posté : mer. 1 juin 2011 15:41
par almaarea
mais tu ne pourris rien du tout : j'aime certains titres clairement bit-lit (la série des Mercy Thompson par exemple) mais là c'est juste tellement flagrant/caricatural que je ne pouvais pas ne pas faire la remarque !

Posté : mer. 1 juin 2011 16:56
par Albéric
Il y aurait clairement pas mal de trucs intéressants à écrire en reprenant les codes de la bit-lit / de la fantasy urbaine appliquée à d'autres "univers" : Europe, Russie, Amérique latine, Afrique, Asie...Mais non, on a va encore avoir une héroïne issue d'une métropole américaine (New-York, Los Angeles, Seattle, New Orleans : rayez la mention inutile) qui va rencontrer des vampires et les loups-garous sortis d'on ne sait où.Et ce avec ou sans suppléments à l'eau de rose.

Posté : mer. 1 juin 2011 17:04
par Elzen
genre il y aurait de la bit-lit sans eau de rose?^^

Posté : mer. 1 juin 2011 17:12
par Albéric
@ Elzen
genre il y aurait de la bit-lit sans eau de rose ? ^_^
Faut être suicidaire pour écrire cela : avec tous les "fanatiques" de la "bit-lit" qui trainent ici tes sont jours sont comptés ! :ph34r:Allez zou au mitard : direction la cellule d'isolement !Trêve de plaisanterie, oui il y a des titres de bit-lit avec pas trop d'eau de rose : j'ai pas les titres exact en tête, mais ils existent.