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j'ai terminé la lecture de Wastburg aujourd'hui. La comparaison avec Jaworski m'a semblé très pertinente pour ce qui est du style, du ciselage des phrases et de l'ambiance. La construction du roman m'a dérouté à la lecture des premières pages mais apporte une saveur bien particulière au récit. Je me demandais à chaque chapitre quel serait le moment ou l'individu nouvellement présenté connaîtrait une fin peu glorieuse... L'intrigue principale, bien qu’intéressante, ne m'a semblé être qu'un prétexte à de savoureuses pérégrinations dans les bas-fonds d'une cité en pleine déliquescence. Un régal.

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Rien que la cover (en plus du nom de l'auteur bien sûr :D) me donne envie de l'acheter.
Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk

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Sur le site des Moutons, la thématique c'est uchronie/Steampunk.Edit : Après recherche je suppose (c'est pas dur je sais) que ça se passe dans l'univers du jdr du même nom.
Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk

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Cool de pouvoir prévoir les achats de 2015 :D
Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk

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Moscou, dans un futur en retard sur le nôtre. Manya et Vinkenti sont deux urgentistes de nuit qui circulent à bord de leur ambulance volante de classe Jigouli. La Russie a subi un brusque infarctus politique, entraînant le pays tout entier dans une lente agonie économique et une mort clinique quasi certaine. Le duo d’ambulanciers est donc le témoin privilégié de la dégradation des conditions de vie des Russes. Surtout que leurs propres emplois sont menacés par une compagnie européenne qui s’implante à Moscou sans vergogne.Et puis un soir, on leur attribue un stagiaire, Méhoudar, qui n’est même pas vraiment russe, selon leurs standards. Ils vont quand même devoir lui apprendre les ficelles du métier.
Bon, à voir. :|
Après la cité médiévale déliquescente de Wastburg, Cédric Ferrand revient avec une surprenante fiction qui allie la force de l’uchronie et le choc du rétro-futurisme avec le suspense du roman noir, dans un roman au rythme crescendo
Aaahhh :)

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Cédric Ferrand a écrit :
Ys a écrit :Des relents d'atmosphère du Pingouin à prévoir??? :)
J'ai lu Andreï Kourkov dans le temps, il se pourrait que ça ait déteint sur moi.
Excellente nouvelle, ce style laconique et empreint de lenteur s'associe parfaitement au climat froid mais sec qu'on retrouve là bas, j'adore!!! :)