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Bon, je viens de le terminer !Alors, je ne serai pas original, hein ! C'est du Gemmell. Pas de la grande littérature donc, un style souple, fluide, qui se lit très facilement. Pas de problème de ce côté là. En plus, je plébiscite les éditions Milady (déjà pour ressortir tous les Gemmell en poche, mais aussi pour la qualité (je trouve) de leur œuvre (même si c'est peut-être anecdotique pour la critique du livre elle même :^p : livre agréable à lire, couverture aguichante, etc :p )Bon, sinon, comparé au premier, je reprocherai peut-être quelque chose : il me semble trop décousu. Une foultitude de personnages débarquent comme ça, hop, et s'incrustent pour le reste du livre. Pas que je ne les aime pas, au contraire : à cause de ça, Gemmell ne prends pas du tout le temps de développer l'aspect de ces personnages. Et dieu seul sait à quel point j'aurais aimé plus de profondeur. =D
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Angel est un peu plus développé - un peu. Mais je n'ai pas pu m'empêcher de l'assimiler constamment au
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dans 'Le roi sur le Seuil. D'ailleurs, j'ai fait pareil avec Mireil par rapport à
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du même Roman.Au niveau de l'intrigue en général, du mâché et remâché, une toute bête quête d'assassinat qui se transforme en grand sauvetage interstellaire d'un peuple entier.Au niveau de la fin, je n'ai pas été déçu, pour ma part, bien que ça reste encore et toujours du classique :D j'ai particulièrement aimé le passage où le
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. Et puis, par rapport à ma dernière lecture, le tome 3 du Dernier Souffle, la fin fait moins... moins... tout est bien qui fini bien, je trouve :)Bref, un Gemmell. Et un bon Gemmell pour moi, car je préfère la série de Waylander à celle de Druss. Je ne regrette donc pas du tout mon achat (dieu merci, vu comment j'ai sauté dessus à sa sortie :D ). Et puis, je vous le conseille, comme tous les Gemmell de Drenaï, si vous voulez une lecture facile, sans prise de tête et agréable. Un bon moment passé.Et pour un prix pareil, comment dire non ? (a)

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Je viens aussi de finir ce WAYLANDER 2. Encore une fois, Gemmell ne m'a pas déçu. Très bonne lecture. J'ai eu ici un peu l'impression qu'il recyclait pas mal d'éléments du Roi sur le Seuil, parait-il qu'il n'était pas satisfait de ce dernier. Donc, Waylander n'est pas ultra présent dans ce roman, on a affaire à toute une équipe de héros et Angel a autant d'importance que Waylander, tout comme Masque noir dans Le Roi sur le Seuil, ces 2 persos sont quasiment les même. Ce qui n'est pas pour me déplaire car je ne suis pas hyper fan du personnage de Waylander que je trouve bien moins intéressant que Druss, ou même que le sont Teneka Khan ou SKilgannon. Waylander c'est le personnage du héros taciturne et solitaire, sois-disant tourmenté mais clairement bon dans le fond, avec un passé sombre etc...un personnage un peu facile je trouve. On ne s'ennui vraiment pas dans ce tome qui alterne aisément phase d'action et phase de palabres. Il est vrai que certains persos secondaires auraient mérité d'être un peu plus creusé. Ce roman est un peu moins percutant que le 1er Waylander, mais reste vraiment très agréable.En tout cas, Gemmell était décidément obsédé par la vieillesse : il adorait mettre en scène des héros vieillissant et qui s'interrogent sur leur capacités déclinantes. Et ce que j'aime toujours autant dans ce cycle de Drenai, c'est la façon dont s'imbriquent les éléments qui servent de fil conducteur à tout le cycle. On peut lire les romans dans un ordre non chronologique sans que ça ne dérange vraiment, et à chaque fois on en apprend sur d'autres tomes (untel et l'ancêtre d'untel, tel évenement conditionne tel autre évenement qui fera l'objet d'un autre romans, etc etc). Ses romans ont beau être des one-shot, ça n'en constitue pas moins un véritable cycle, une longue chronologie, sans obliger le lecteur à tous lire d'un coup.

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J'ai lu les deux premiers tômes. Quelque part Waylander est à Gemmell ce que Conan est à Howard. On sent qu'il aime bien son personnage et il évolue ancien soldat devenu assassin, puis ensuite héros malgré lui. J'aime le héros changé par une rédemption dont il ne veut pas au début et qu'il est obligé d'accepter pour faire la paix avec lui même. C'est un schéma récurrent chez l'auteur mais ça passe toujours bien. Gemmell est beaucoup moins manichéen aussi dans son approche barbarie / civilisation. La barbare n'est pas forcément bon et la civilisation n'est pas uniquement corruptrice. Il y a un équilibre à trouver.

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Je ne suis pas tout à fait d'accord sur ton dernier point. Ou as tu vu que la barbarie correspondait au "bien" chez Howard ?:)Pour lui le retour à l'état de barbarie est inéluctable, mais (il me semble) aucunement souhaité. Et les personnages de Howard ne sont pas tous des aventuriers individualistes : Kull est au contraire un défenseur de la civilisation, tout comme Bran Mak Morn.Après que leurs efforts s'avèrent in fine vains c'est autre chose.;)

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tasslehoff a écrit :C'est plutot le troisieme Waylander qui pour moi a ete celui de trop.
J'aurais tendance à dire que c'est surtout le premier qui était de trop tant je l'ai trouvé mauvais...Chacun ses gouts lol

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Duncan Rahl a écrit :
tasslehoff a écrit :C'est plutot le troisieme Waylander qui pour moi a ete celui de trop.
J'aurais tendance à dire que c'est surtout le premier qui était de trop tant je l'ai trouvé mauvais...Chacun ses gouts lol
Le tour de force de Gemmell, c'est de parvenir à créer des héros attachants et des histoires épiques à partir de scenarii épais comme un filtre à cigarette (et encore, des light :p ).Chaque histoire, qu'il s'agisse d'un roman pseudo-historique, d'un stand-alone ou d'un bouquin du cycle des Drenai, a le même synopsis, basé autour de la quête de rédemption, d'un passé trouble et de la nécessité de se battre pour ce que l'on a de plus cher.Et pourtant, ça marche. Ses dialogues ciselés font mouche à chaque fois - dans ce premier Waylander, le passage sur le pebble in the moonlight m'a fait monter les larmes aux yeux (oui, bon) :o

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Gillossen a écrit :Par curiosité, tu as aimé Légende, si tu l'as lu ?
non, j'ai découvert Waylander récemment, une promo, et c'est le premier Gemmell que je lis, et vu comme ça m'a emballé, ça sera sans doute le dernier même si Troie aurait pu m'intéresser.Vu que j'ai acheté Waylander II et que j'ai quelques tendances masochistes et un cruelle propension à l'auto-destruction, je lirais peut-être celui-ci à temps perdu.Legende est-il du même acabit que Waylander? Ou vaut-il quand même le coup (même en partant avec un a priori extrêmement négatif)?

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Grenouille_Bleue a écrit :Le tour de force de Gemmell, c'est de parvenir à créer des héros attachants et des histoires épiques à partir de scenarii épais comme un filtre à cigarette (et encore, des light :p ).Chaque histoire, qu'il s'agisse d'un roman pseudo-historique, d'un stand-alone ou d'un bouquin du cycle des Drenai, a le même synopsis, basé autour de la quête de rédemption, d'un passé trouble et de la nécessité de se battre pour ce que l'on a de plus cher.Et pourtant, ça marche. Ses dialogues ciselés font mouche à chaque fois - dans ce premier Waylander, le passage sur le pebble in the moonlight m'a fait monter les larmes aux yeux (oui, bon) :o
ben à part des caricatures sans la moindre crédibilité et des personnages-clichés plus que stéréotypés, je n'ai vraiment pas trouvé la moindre attache avec qui que ce soit dans Waylander.Je citerais en vrac Dardalion, un prêtre volant qui passe d'un homme prêt à se suicider si il a le malheur d'écraser une fourmi sous sa botte au créateur d'un ordre de prêtres tueurs - parce qu'il faut bien sauver les pauvres innocents mais j'espère quand même que j'irais au paradis - tout aussi peu convaincant.Le héros, Waylander, un ancien gentil qui, suite au meurtre de sa femme et ses enfants devient un méchant froid, cynique et solitaire mais qui redevient subitement gentil parce que son nouveau copain a une bonne influence sur lui et que depuis qu'il a assassiné un pauvre innocent pour de l'argent est assailli par le remord.La bonne femme atteinte du syndrome de Stockholm qui tombe éperdument amoureuse de celui qui a tué son fils (même si c'était pour son bien) et qui les traite comme des moins que rien. Mais l'amour étant plus fort que tout...Les deux capitaines de l'armée, l'un loyal, optimiste bon et gentil et l'autre, taciturne, pessimiste et rebelle sur les bords mais excellent stratège et combattant...Mais le pire du pire dans le cliché restera sans aucun doute deux des ennemis du héros
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Palpitant.Bref, perso, je n'ai ni apprécié l'histoire, ni les personnages, ni le style haché, brouillon et sans naturel, ni les dialogues qui sonnent plus faux que nature... Tout pour déplaire en somme :)Mais comme je disais, il en faut pour tous les gouts, là ne sont pas les miens.Et passer du Nom du Vent de Rothfuss à Waylander... aie aie aie, atterrissage délicat.^^

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@ Duncan RahlHistoire d'être clair, les Waylander je ne les ai pas lus, par contre je suis par loin d'avoir lu tout le reste de la part de l'auteur.David Gemmell a écrit 30 bouquins, nécessairement tout n'est sans doute pas à l'avenant.C'est cool que tu donnes des arguments dans ton dernier message, parce que jusqu'alors ton ressentiment me restait inexpliqué.Gemmell écrit le plus souvent des récits d'action en reprenant les codes du western : le héros solitaire et cynique, les méchants sans foi ni loi, un monde dure où règne la loi du plus fort, des veuves et des orphelins à défendre en veux-tu en voilà, les communautés repliées où règne la méfiance et le chacun pour soi.C'est sûr que si tu cherches des intrigues hyper-chiadées avec de longue mises en place et des personnages hyper-travaillés au niveau psychologique, c'est pas chez cet auteur là que tu les trouveras.Effectivement il en faut pour tous les goûts, visiblement les tiens ne sont pas là...... Mais le livre est-il pour autant aussi pourri que tu le décris.Qu'on n'apprécie ni l'histoire ni les personnages, cela arrive souvent. Par contre "le style haché, brouillon et sans naturel" et "les dialogues qui sonnent faux", disons pour être explicite des défauts qu'on retrouverait dans des livres notés très en dessous de 6 sur l'échelle elbakinienne, je ne les ai jamais retrouvés dans aucun des Gemmell que j'ai lu, mêmes les plus moyens.Les goûts et les couleurs certes, mais quand on n'a pas aimé du tout la tentation du trollage n'est jamais bien loin.digression qui n'a (presque) rien à voir :Il y avait un internaute qui avait trollé en bonnes et dues formes les jeux Prince of Persia sur PS2. Graphismes moyens, bande son insipide, gameplay limité, scénario creux... Pour finir par expliquer qu'il trouvait que le jeu était raté parce qu'il n'y avait pas assez de combats et trop de plateformes à grimper et d’énigmes à résoudre !Tout cela pour dire que quand on s'est trompé sur la marchandise, cela ne veut pas dire pour autant qu'elle est mauvaise.

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Albéric a écrit :@ Duncan RahlHistoire d'être clair, les Waylander je ne les ai pas lus, par contre je suis par loin d'avoir lu tout le reste de la part de l'auteur. David Gemmell a écrit 30 bouquins, nécessairement tout n'est sans doute pas à l'avenant.C'est cool que tu donnes des arguments dans ton dernier message, parce que jusqu'alors ton ressentiment me restait inexpliqué.Gemmell écrit le plus souvent des récits d'action en reprenant les codes du western : le héros solitaire et cynique, les méchants sans foi ni loi, un monde dure où règne la loi du plus fort, des veuves et des orphelins à défendre en veux-tu en voilà, les communautés repliées où règne la méfiance et le chacun pour soi.C'est sûr que si tu cherches des intrigues hyper-chiadées avec de longue mises en place et des personnages hyper-travaillé au niveau psychologique, c'est pas chez cet auteur là que tu les trouveras.Effectivement il en faut pour tous les goûts, visiblement les tiens ne sont pas là, mais le livre est-il pour autant aussi pourri que tu le décris.Qu'on n'apprécie ni l'histoire ni les personnages, cela arrive souvent. Par contre "le style haché, brouillon et sans naturel" et "les dialogues qui sonnent faux", disons pour être explicite des défauts qu'on retrouverait dans des livres notés très en dessous de 6 sur l'échelle elbakinienne, je ne les ai jamais retrouvés dans aucun des Gemmell que j'ai lu, mêmes les plus moyens.Les goûts et les couleurs certes, mais quand on n'a pas aimé du tout la tentation du trollage n'est jamais bien loin.digression qui n'a (presque) rien à voir :Il y avait un internaute qui avait trollé en bonnes et dues formes les jeux Prince of Persia sur PS2. Graphismes moyens, bande son insipide, gameplay limité, scénario creux... Pour finir par expliquer qu'il trouvait que le jeu était raté parce qu'il n'y avait pas assez de combats et trop de plateformes à grimper et d’énigmes à résoudre !Pour cela pour dire que quand on s'est trompé sur la marchandise, cela ne veut pas dire pour autant qu'elle est mauvaise.
Petites précisions : je ne compte nullement troller car en effet, je n'ai pas du tout aimé et donc, pour tout répondre, oui, je l'ai trouvé aussi pourri que je le décris, mais ça reste un avis personnel, je ne vais pas tenter de convaincre les convaincus que c'est moi qui ait raison. J'ai mon avis sur le bouquin, j'ai essayé de le développer un peu, je ne cherche pas non plus à vous prouver que je détiens la vérité.Quand au style, oui je l'ai vraiment trouvé haché, saccadé, les dialogues sont souvent dignes de l'Epée de Vérité tant ils m'ont paru plat et sans vie, les scènes "d'action" (pas de combat, action dans le sens de la description des actions des personnages) sont bardées de subordonnées relatives et conjonctives (mes cours de français de primaire sont loin^^) qui se veulent amener du détail mais qui, de mon point de vue encore une fois, tombent complètement à plat.J'avais donné un avis humoristique en premier lieu car je venais juste de lire le livre, j'ai ensuite répondu à grenouille_bleue pour développer un peu le pourquoi je n'ai pas aimé, je ne compte pas mener une fronde sur ce topic, je ne suis pas adepte du trollage (je suis modo sur un autre forum, donc je sais ce que c'est^^).Pour terminer, pour te citer : "Pour cela pour dire que quand on s'est trompé sur la marchandise, cela ne veut pas dire pour autant qu'elle est mauvaise."Je suis bien d'accord avec toi, c'est pour cela que je répète que c'est un avis personnel qui n'engage que moi. Mais en prenant un Gemmell, une référence dans le milieu tout de même, je m'attendais vraiment à autre chose. Mais ce n'est pas parce que je n'ai pas aimé que d'autres n'aimeront pas, et c'est fort heureux.Voilà pour les précisions.

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@ Albéric : je pense que tu ne seras pas déçu en lisant les Waylander. C'est du très bon Drenai pour les deux premiers (je n'ai pas encore lut le 3ème).
Duncan Rahl a écrit :J'avais donné un avis humoristique en premier lieu car je venais juste de lire le livre
Euh je n'avais pas franchement perçu ça sous le ton de l'humour.

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@ Duncan RahlTe bile pas trop Duncan Rahl, je te titille un peu car j'ai trouvé ton ressenti sévère et opposé au moins.Quand le courant passe pas, on ne voit que les défauts et l'analyse peut paraître malveillanteQuand le courant passe, on ne voit que les qualité et l'analyse peut paraître trop bienveillante.Juste que comparer Gemmell à Terry Goodking, la pillule est quand même dure à avaler. <_<Par contre on peut se retrouver sur le fait que je peux parfaitement reconnaître que les premiers Gemmell, surtout les Drenai, ne brillent pas le plume virtuose de l'auteur et que du coup la forme peut paraître moyenne.C'est sûr aussi que tu lis Gemmell après un cador de la plume comme Rothfuss, cela devient dur d'apprécier quelque chose de moins ambitieux dans le style et de moins travaillé dans les dialogues.Faudra peut-être retenter l'expérience Gemmell avec Le Lion de Macédoine ou Troie mieux construits et plus aboutis.D'un autre côté si c'est principalement le style et les dialogues que je privilégie, c'est pas de la Fantasy que je vais lire, mais s'il sont au rendez-vous c'est tout bénéf !@ Dark Schneider
Je citerais en vrac Dardalion, un prêtre volant qui passe d'un homme prêt à se suicider si il a le malheur d'écraser une fourmi sous sa botte au créateur d'un ordre de prêtres tueurs - parce qu'il faut bien sauver les pauvres innocents mais j'espère quand même que j'irais au paradis - tout aussi peu convaincant.Le héros, Waylander, un ancien gentil qui, suite au meurtre de sa femme et ses enfants devient un méchant froid, cynique et solitaire mais qui redevient subitement gentil parce que son nouveau copain a une bonne influence sur lui et que depuis qu'il a assassiné un pauvre innocent pour de l'argent est assailli par le remord.La bonne femme atteinte du syndrome de Stockholm qui tombe éperdument amoureuse de celui qui a tué son fils (même si c'était pour son bien) et qui les traite comme des moins que rien. Mais l'amour étant plus fort que tout...Les deux capitaines de l'armée, l'un loyal, optimiste bon et gentil et l'autre, taciturne, pessimiste et rebelle sur les bords mais excellent stratège et combattant...
Oui bon, ce passage de Duncan Rahl tu peux l'interpréter au 1er degré si tu es devant ton écran ou au 2ème degré si tu est derrière ton clavier. Il faut se dire que pour quelqu'un qui s'est fait chier comme un rat mort en lisant le bouquin, il a quand même une bonne mémoire...

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Albéric a écrit :Oui bon, ce passage de Duncan Rahl tu peux l'interpréter au 1er degré si tu es devant ton écran ou au 2ème degré si tu est derrière ton clavier. Il faut se dire que pour quelqu'un qui s'est fait chier comme un rat mort en lisant le bouquin, il a quand même une excellente mémoire...
je l'ai surtout terminé il y a 4 jours, ça aide^^Et en effet, j'ai volontairement un peu exagéré, c'est évident^^ Quand on aime pas et qu'on donne son avis, faut bien en rajouter un peu, même si je ne pense pas être loin de la (ma) vérité.PS : quand à comparer Gemmell et Goodkind, sur ce que j'en ai lu, ma préférence va nettement au deuxième.

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Dark Schneider a écrit :Je pense qu'il évoquait plutôt le post #47 en parlant d'humour.
humour satirique, mais humour quand même, non?edit : sarcastique était plus approprié, difficile de retrouver ses mots au milieu de la nuit lol

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Duncan Rahl a écrit :PS : quand à comparer Gemmell et Goodkind, sur ce que j'en ai lu, ma préférence va nettement au deuxième.
Gemmell n'est pas sans défaut, mais tout de même... :sifflote:Je citais Légende car c'est souvent considéré comme son chef d'oeuvre, alors que perso, je préfère les Jon Shannow ou les Waylander justement (même si tout fonctionne sur les mêmes recettes).