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Posté : lun. 14 oct. 2013 15:44
par Vagabond
Une vrai Otaku cette Justine! :PToujours intéressant de lire ce type d'interview, modeste et "spontanée"! Par contre, je vais attendre de digérer Chien du Heaume et Mordre le bouclier avant de me replonger dans sa prose... Après l'alto médiéval, le mythe arthurien et le post-apo steampunk, j’attends de voir ce que sa vision du Haut-Empire donnera!:vengeance: mais tout en pudeur :P ?

Posté : mar. 15 oct. 2013 13:14
par Gillossen
Bon, on remonte le sujet déjà passé en page 2 tout de même ! :)

Posté : jeu. 17 oct. 2013 17:26
par Aslan
D'autres réactions peut-être ?

Posté : jeu. 17 oct. 2013 17:28
par Saffron
'Tendez, 'tendez, il me reste 80 pages à lire. ;)

Posté : jeu. 17 oct. 2013 20:42
par Arioch91
J'ai adoré Chien et Mordre, je trouve que Justine a un véritable talent pour l'écriture et un don pour rendre ses récits hautement immersifs. Avec ces deux livres, j'étais à fond dans l'ambiance, le monde qu'elle décrivait. J'étais loin des poncifs habituels de la Fantasy.Mais juste une chose : j'en ai ch...é pour lire ces deux romans ! :huh:Justine Niogret a un style riche (avis perso), mais trop pour moi qui aime les trucs fluides. Je ne compte plus le nombre de fois où j'ai été obligé de revenir en arrière pour capter un passage. Il suffit d'un moment d'inattention et hop !J'avais lu l'extrait de son roman post-apocalyptique (Gueule de Truie) et il m'avait fait fuir le roman comme s'il était infesté.C'est pourquoi je ne lirai pas Mordred.Et je crois que c'est même pas la peine que je m'attarde sur Jaworski, ses bouquins sont de surcroit trop volumineux !Mais ça ne m'empêche pas de trouver Justine vraiment excellente. C'est juste pas pour moi.

Posté : jeu. 17 oct. 2013 21:13
par Yksin
Arioch, de mon point de vue (et puisque j'ai tâté des deux auteurs), il n'y a guère de rapport entre Jaworski et Niogret.Les récits de Jaworski sont très fluides, pas aussi denses que Chien du Heaume ou Mordre le Bouclier.Et je pense à peu de choses près la même chose que toi de Justine Niogret ;)

Posté : jeu. 17 oct. 2013 23:30
par Jacques R.R. Martin
Slt à tousMordred est sur mon étagére je ne l'ai pas encore lût mais c'est pour bientôt, je me permet juste de donnermon avis sur l'écriture de Dame Niogret, car j'ai lût Chien, Mordre et Gueule de Truie;effectivement c'est "dense" et peut être pas " fluide" mais pour moi la force de son écriture c'est que ses phrases où formulesparfois complexes qui pourraient sonner creux ,ampoulées dans le style de l'écrivain" qui se lit déja" sonnent au contraire terriblement vraies, spontannées et font écho à certaines parties de nous ( pas forcément les meilleurs).Il ya quelque chose de viscéral et profondément humain dans sa plume, une honnêteté, une lucidité douloureuseChacun son ressenti et ses goûts mais la lecture d'un livre de Justine Niogret est pour moi une expérience à faire

Posté : ven. 18 oct. 2013 11:07
par Councilman Yoda
Achétera, achétera pas, achétera un jour ...Valse langoureuse qui s'achève grâce à l'interview et l'émission de radio : achétera un jour :)Je suis plutôt client d'habitude mais comme Gueule de Truie m'avait refroidi (un style apocalyptique difficile d'accès AMHA)Me revoilà sur les rails :D

Posté : sam. 19 oct. 2013 13:06
par Aslan
Aslan a écrit :D'autres réactions peut-être ?
Je parlais surtout de l'interview en fait. ;)

Posté : sam. 19 oct. 2013 20:00
par Saffron
Ah, au temps pour moi... Tant pis, vous aurez quand même droit à mon avis sur le roman lui-même !Déjà, à tous ceux qui ont peur d'attaquer Mordred parce que Chien, Mordre et GdT sont difficiles d'accès, je dirais que Mordred est peut-être le roman signé Justine Niogret le plus "facile" à lire. Toutes proportions gardées, bien sûr : ce n'est pas un truc qu'on lit sur la plage en ayant mis le cerveau en pause, mais c'est un peu moins exigeant que Chien, et bien moins glauque que GdT.J'ai beaucoup aimé cette version de l'histoire, cette explication du geste de Mordred. Ça m'a fait penser à l'Évangile selon Pilate, dans lequel Eric-Emmanuel Schmidt livre sa propre interprétation de la trahison (totalement illogique dans la Bible) de Judas : c'est tellement sensé qu'on se demande pourquoi on n'y a pas pensé avant. L'atmosphère très intimiste, presque en huis-clos, avec en tout et pour tout cinq personnages, sert très bien le livre.Une très bonne lecture pour moi, qui ne met peut-être pas autant les tripes dans la gorge que les autres romans de l'auteur, mais qui pour une fois laisse le souvenir d'une histoire positive.

Posté : sam. 26 oct. 2013 21:28
par John Doe
Je n'ai pas encore lu Mordred, mais j'aime la façon qu'a Niogret de parler de son écriture. Sur les deux Chiens du heaume, j'avais déjà eu cette sensation d'écriture "uppercut", qui aurait perdu de sa force si les livres avaient été plus longs.Qu'elle soit fan de Berserk ne m'étonne pas beaucoup (dans les bonus de Mordre le Bouclier, je crois me souvenir que son armée préférée à Warhammer était Khorne, ceci explique cela !).Toujours difficile d'apporter quelque chose de neuf sur un thème archi connu, je suis curieux de voir ce que cela peut donner.

Posté : lun. 28 oct. 2013 10:53
par Lÿr
Difficile de ne pas reconnaître le talent de Justine Niogret, tant pour son écriture exigente que pour le sujet de ses livres... Sans compter que l'auteurs elle-même est intéressante à écouter et propose quelque chose. Mais malheureusement pour moi sans doute, je fais partie de ceux qui n'accrochent pas : j'avais essayé pour Chien, j'ai réessayé pour Mordred -pour lequel j'étais vraiment motivée : le personnage, un traitement original, etc. Ca ne passe pas malgré plusieurs essais : pas qu'un texte exigeant soit forcément un repoussoir pour moi, là en fait c'est comme si je ne m'accordais pas au rythme de l'auteure. Je me retrouve donc obligée de me forcer à enchainer les phrases, complexes, sans réussir à entrer dans ce qu'elles racontent. Forcément, je décroche...A réessayer en plein hiver ?

Posté : sam. 11 janv. 2014 11:56
par John Doe
Bon, finalement lu Mordred et pas aimé.Je crois que j'en attendais quelque chose de différent. A tort, je m'étais fantasmé un genre de Grendel version légendes arthuriennes, avec un perso un peu flamboyant, une opposition marquante avec la figure d'Arthur, des scènes "qui s'adressent aux tripes"... et le livre n'est rien de tout ça (je n'avais pas lu la critique avant d'avoir lu le livre).A la place on a un récit statique, avec Mordred qui nous parle de son enfance (et ça je m'en foutais, le comment il est devenu ce qu'il est ne m'intéresse pas, en tout cas pas sur si peu de pages).La dernière partie du livre, à partir du moment où
► Afficher le texte
, a commencé à emporter le morceau, mais il ne me restait pas assez de temps de lecture pour me convaincre complètement.Très bonne conclusion par contre.
De fait, tous les autres protagonistes du récit donnent l’impression d’évoluer à la lumière d’une bougie, se mouvant dans les ombres, en retrait, y compris un Arthur fatigué et bien plus humain que l’on ne pourrait le croire.
C'est tout à fait ça. L'ensemble du récit est peuplé de figures "déjà mortes", des ombres qui ne font que vivoter en attendant que la bougie s'éteigne.Un manque "de chair" de mon point de vue. Bien écrit, mais ne correspond pas à ce que recherchais.

Posté : lun. 13 janv. 2014 13:26
par Gillossen
C'est sûr que le roman n'a rien de "flamboyant". :)

Posté : lun. 24 févr. 2014 16:31
par Lyell
J'ai acheté le livre par curiosité en librairie, après avoir lu quelques avis positifs, et sans avoir lu la critique... Je dois dire que je suis complètement d'accord avec Arioch91 et John Doe : stylistiquement c'est superbe, l'écriture est magnifique, mais je n'ai vraiment pas accroché à l'histoire. Je m'attendais à une relecture du mythe arthurien du point de vue de Mordred, dans un roman d'aventure plein de péripéties. Du coup, j'ai vraiment eu du mal à rentrer dans le bouquin, qui est à mon goût beaucoup trop descriptif, et laisse trop de choses en ellipse.Cela dit, je pense qu'une relecture dans un autre état d'esprit, et peut-être plus au calme (là j'étais dans l'avion), pourrait me faire davantage apprécier le travail de l'auteure. On en reparle :)

Posté : dim. 24 août 2014 17:51
par Anassete
Fini la semaine dernière et c’est plutôt une bonne surprise.Une belle plume qui sait toujours jouer de ses ambiances oniriques et du goût de la violence et du sang médiévaux. Y a même des petites réfs à l'époque, c'était original le prologue !J'ai bien aimé ces va-et-vient entre les souvenirs et la réalité, on lit pas souvent ce genre de récit en fantasy. Mais dans le dernier quart j'étais pas mal perdue. J'ai eu l'impression d'une précipitation. On comprend moins bien les métaphores filées et les enjeux cachés. Je sais pas pourquoi, mais je trouve que la mort d'Arthur arrive comme un cheveu sur la soupe, même si on connaissait la fin et que tout le récit nous préparait à ça. Le côté "figure déjà mortes" ne m'a pas trop gênée. Ça reste dans l'esthétique du récit.Par contre, je connais peu la légende arthurienne à ce niveau-là (pas encore lu La Mort le roi Artu et mes cours de litté médiévale se sont limités à un résumé très succinct des épisodes du Graal et des autres récits de l'époque). Du coup, j'ai pas vraiment de matériel pour comparer par rapport à ce qu est connu sur le sujet :p

Posté : jeu. 11 sept. 2014 15:57
par Littlefinger
Bon, je l'ai fini il y a deux jours, et je crois qu'après Chien du Heaume, je suis définitivement fan de Justine Niogret, même si je conçois qu'on puisse ne pas trouver ce que l'on recherche dans ce roman pour le moins atypique :Une des plus puissantes figures de la fantasy reste encore et toujours Arthur. Camelot, les chevaliers de la table ronde, Guenièvre, Lancelot... Des mots qui parlent à tous tant le mythe arthurien s’est profondément enraciné dans l’imaginaire collectif. Forcément visité et revisité depuis des années par nombre d’œuvres, du cinéma à la littérature en passant par la bande-dessinée, voici que Justine Niogret, l’excellente auteur de Chien du Heaume et Mordre le Bouclier, se penche sur le mythe avec son originalité coutumière. Comme elle ne fait rien comme tout le monde, la française porte son dévolu sur Mordred, le fils incestueux d’Arthur avec sa demi-sœur Morgause. Loin de nous dresser le portrait attendu du personnage, Niogret tente de le réinventer et d’en livrer sa vision toute personnelle au cours des 165 pages constituant son roman, une nouvelle fois publié par les éditions Mnémos.Mordred git sur son lit. Depuis combien de temps ? Il ne saurait le dire lui-même. Un an depuis la joute fatale ? Ou une éternité ? Etait-ce hier seulement ? Le chevalier se perd dans son sommeil et dans des rêves enfiévrés pour échapper à sa douleur, sa compagne de tous les soirs, de tous les jours, qui l’étreint encore et toujours. Lorsqu’il ferme les yeux, il repense à Morgause - sa mère -, à son cheval - qui n’a pas de nom -, et à son oncle... Arthur. Perdu dans un monde fané, il se souvient de celui qu’il fut jadis, de ses exploits dans des grottes obscures ou sur des champs de batailles braillards. Cette blessure qui l’a laissé brisé, son physicien ne lui trouve point de remède. Jusqu’au jour où, au bord de la mort et des oiseaux perdus dans la brume, Mordred laisse le médecin fouiller dans sa chair...Avant toute autre chose, et pour éviter nombre de déconvenues, il faut préciser quelques points au sujet du roman de Justine Niogret. Dans Mordred, vous ne trouverez ni bataille épique, ni souffle héroïque, ni grande quête chevaleresque. Plus surprenant, l’ambiance et l’atmosphère celtique resteront congrues et limitées au strict minimum, à peine si Guenièvre daignera faire une fugace apparition. Pire encore, il n’y a que peu voire pas d’éléments fantasy. Du moins pas au sens commun. Comme nous l’avons dit plus haut, Justine Niogret livre une version personnelle de Mordred et d’Arthur (par ricochet). Elle ne revient pas sur les poncifs de la légende, et détourne ce que l’on connaît à propos du perfide Mordred qui n’a, ici, rien de la sournoiserie de celui du mythe. En réalité, Justine applique à la lettre ce que chaque écrivain sait lorsqu’il prend la plume : il faut écrire pour son propre plaisir et non pour celui du lecteur. Donc, Mordred n’a certainement rien à voir avec ce que vous vous imaginez en prenant le livre entre les mains.Au lieu d’une aventure lambda et banale, qui va d’un point A à un point B, au lieu d’un récit facile et rempli de péripéties, Justine Niogret offre une introspection de Mordred cloué sur un lit de souffrance. Dès les premières pages, on est saisi par ce détail, par cette envie de pénétrer au plus profond de la tête de son personnage. Et non de son « héros ». Car c’est là une des raisons principales qui fait de Mordred ce qu’il est. Justine ne veut définitivement pas nous dépeindre les héros – ou anti-héros – de la légende arthurienne. Elle s’y refuse tout net. A la place, elle prend sa plume pour façonner des hommes, des humanités à hauteur des gens du commun. Bien évidemment, Mordred et Arthur ne sont pas des êtres banals, mais à chaque page, et à leur façon, ils sont nous. Dans les pas enfiévrés de l’histoire de Mordred, il y a des faiblesses et des défaites humaines, dans la grandeur flétrie et le regard usé d’Arthur, il y a des victoires oubliées et des vies d’une troublante humanité. La force de Mordred est là, lovée au sein du récit entrecoupé et syncopé de Mordred. Justine décrit un homme brisé, ni forcément bon ni forcément mauvais, juste un pauvre être rongé par la douleur, mangé par un destin injuste. Son combat laborieux contre son propre corps, ses propres nerfs, Justine le retranscrit à merveille. Mais mieux, elle surpasse la douleur physique de son personnage par sa douleur morale, et ainsi Mordred, au lieu d’une épopée chevaleresque, devient un chant mélancolique d’une beauté sans fond.Quelle plume ! Quelle magnifique plume possède Justine ! On pensait Jean-Philippe Jaworski devenu maître dans l’art de la manier, et voilà qu’une autre auteur de fantasy s’empare de la chose et nous balance son talent en plein visage. Chaque phrase, chaque mot, est une petite pierre précieuse d’une immense mosaïque qui s’écoule de la première à la dernière page. Pour dépeindre la vie de Mordred, son passé, son enfance, ses premières armes, Justine Niogret use d’un langage délicieusement suranné mais surtout, et avant tout, d’une maîtrise totale. Il est certain qu’un tel style en rebutera certains, mais trêves de tergiversations : c’est beau à en crever ! C’est cette écriture sublime qui nous transporte à travers les âges aux côtés de ce Mordred fantasmé. Justine écrit avec une précision acérée et nous coupe, nous brûle, nous consume avec des chapitres remarquables. On participe avec ébahissement et crainte au premier combat du jeune Mordred face à l’Aspic, on exulte de rage devant la rudesse et l’apprêté du champ de bataille – quelle description d’ailleurs que livre la française, rarement un affrontement aura été aussi authentique et brutal – et surtout on frissonne devant les conversations entre Mordred et Arthur. Des dialogues aussi ciselés que ses descriptions, c’est là la botte secrète du roman. A travers ceux-ci, on fait la connaissance d’Arthur, et encore une fois, Justine envoûte par son envie de briser le mythe.Arthur, c’est l’autre homme capital du récit. Une ombre planante qui a tendance à écraser Mordred. Une faute à moitié avouée et un poids qui lui pèse, celui d’un destin qu’il n’a pas choisi. Tout aussi tragique que Mordred, l’Arthur de Niogret forme le second couplet de chant mélancolique qui prend forme au fur et à mesure des pages. Sa relation avec Mordred, à la fois tendre et cruelle, fait tout le sel du récit. Voir Arthur en vieux souverain usé, en homme dépouillé de son carcan d’héroïsme, c’est retrouver les origines du mythe. C’est le rapprocher des hommes et non plus des Dieux. L’autre personnage déterminant, c’est également Pôlik, l’énigmatique garçon qui tourmente Mordred. Sorte de double halluciné, versant maléfique d’une pièce délaissée, son heure vient dans les dernières pages mais Justine, avec une certaine roublardise, immisce un peu du Mordred de la légende dans ce bout d’homme sombre et mystérieux. De même qu’avec Arthur, c’est son rapport à Mordred qui le rend finalement indispensable. Indispensable pour nous mener à cette fin, forcément et inévitablement tragique, où le fantasme rejoint le mythe, où le fils rejoint le père, où les oiseaux rejoignent la brume.Justine Niogret préfère l’intime à l’épique, préfère Mordred aux chevaliers de la table ronde, préfère l’homme avant le héros. Mais avant toute chose, Justine préfère explorer que ressasser. C’est un peu l’essence des nouvelles légendes.En des termes plus simples : Mordred est un petit chef-d’œuvre.Source : Just A Word

Posté : jeu. 11 sept. 2014 16:45
par Yksin
Superbe chronique qui, malgré ma réticence à l'égard des récits de Justine Niogret, me donne sacrément envie de dévorer ce Mordred ! Etant fan de l'univers de la table ronde, on va dire que... Peut-être qu'un jour ! ;)

Posté : jeu. 11 sept. 2014 19:50
par indy620
Tu n'as pas lu Mordre le Bouclier Yksin ?Etant ,comme toi je pense , amateur de fantasy sombre , j'y est trouvé ma dose de tenebres et de sang (mwhaahaha !)Il y a aussi une certaine poesie assez rustique ainsi qu'une philosophie à la fois brute mais pas simpliste... je ne suis pas amateur de ses cotés là d'habitude (je prefere la fantasy "qui-va-droit-au-but" ) mais ça m'a bien plus !Bon j'arrete le HS ,mais si Mordred est du sorti du meme moule , ça doit se laisser lire !

Posté : jeu. 11 sept. 2014 21:11
par Yksin
Si j'ai lu Chien et Mordre mais c'est justement trop "poétique" ou abstrait pour moi. J'aime ce qui est Dark, type Glen Cook, ce qui est cru et sans fioriture. J'ai un peu trop piqué du nez en lisant les oeuvres de Justine Niogret malheureusement.Je dirai (comme Gwendal sur la Horde du Contrevent) que je n'étais pas assez mûr pour les lire ;), ou tout simplement pas dans le bon état d'esprit au moment où j'ai commencé la lecture.