Gillossen a écrit :Des gens incapables de s'en payer un, de plan marketing ?

Ou qui ne sont pas Pierre Pevel ?

Witch a écrit :Ah mais photo avec identification de l'auteur français qu'on n'achète pas ses livres Les gens sont laids !

Zaebas a écrit :Des noms, des noms !

On en parlera de vive voix

stupidboy a écrit :Il lui faut un beignet d'amabilité de la pâtisserie Bliss

Je crois bien J'aime beaucoup cette idée !

Apparemment tu ne connaissais pas la règle de bonne vie en société suivante :

Il ne faut pas prendre les gens pour des cons mais il ne faut pas non plus oublier qu'ils le sont

Vyrseg a écrit :Apparemment tu ne connaissais pas la règle de bonne vie en société suivante :

Il ne faut pas prendre les gens pour des cons mais il ne faut pas non plus oublier qu'ils le sont

Ce qu'il y a de bien dans cette formule, c'est qu'elle contient l'antidote à toute appropriation de ce qu'elle pourrait laisser supposer :Pour autrui, chacun/e de nous fait partie des "gens".Vous avez deux heures, après je ramasse les copies, et le premier "autrui" qui copie sur un "con" se prend une bulle.Je vous la souhaite heureuse (mais traînez pas, tas de "gens").

Personnellement je le prend aussi pour moi : il y aura bien au moins une personne pour trouver que je suis con (le plus souvent, la plus proche personne c'est moi ! )

Bah, on est toujours le con de quelqu'un.Et ça ne change évidemment pas les règles du jeu. Donc c'est nul et non avenu, et le danger est LA :Une autre partie ?

Une éditrice sur le sexisme http://www.elbakin.net/fantasy/news/193 ... imaginaireLisez le texte avant d'ouvrir un topic de plainte, d'avance merci !

Super intéressant cet article.Impressionnantes ses stats quand même.

Pourquoi donc se plaindre? O oCette dame ne fait qu’énoncer un fait concret, il semblerait que certains sous-genres de l'imaginaire soient moins traités par les femmes, ça me fait penser à la filière Littéraire du lycée, majoritairement des filles parce qu'on a un préjugé comme quoi le français est féminin.Ben là c'est pareil, on constate par exemple que "Horreur" est traité par plus d'auteurs hommes, pourquoi? Tout simplement car depuis notre enfance on nous répète que les trucs qui font peur c'est pour les garçons, pareil pour la High Fantasy, c'est les garçons qui sauvent le monde.Par contre, il est bien connu que les filles ne savent que tomber amoureuses de vampires, donc 57% d'auteurs féminins en Urban Fantasy/paranormal romance.(Je caricature au maximum vous l'aurez compris).Bref, en gros c'est juste le reflet de notre société qui a tendance à considérer certaines actions comme plus masculines ou féminines, rien de bien étonnant.

Speedi Crafty a écrit :Pourquoi donc se plaindre? O o

Remember... /viewtopic.php?t=7659

Ah oui le Troll Réincarné!

Sauf que au niveau des nouvelles, dans certains magazines et webzines on a une augmentation du nombre de textes écrits par des auteurs féminins. Les webzines Clarksworld Magazine et Strange Horizons publient même plus de femmes que d'hommes.Au niveau français dans des webzines comme Outremonde ou Mots et Légendes les proportions entre auteurs masculins et féminins sont plutôt équilibrés. Dans les anthologies des éditions Sombres Rêts on arrive à la parité pratiquement à chaque fois à la parité ( comme ce sont des anthologies transversales ça s'explique peut être). Autre chose dans les années 80 en fantasy, il y avait plus de femmes que d'hommes. Et en ce qui concerne la SF de la même époque Damon Knight avait écrit "les auteurs les plus intéressants sont des femmes". Je regrette un peu les énervements des années 2000 contre une soit disant fantasy féminine(1). Parce que si l'on reprend les tropes de cette fantasy (intrigues de cour, intrigues politiques complexes, manipulations) et que l'on rajoute du sexe et de la violence on a exactement quelque chose qui ressemble au Trône de Fer. Comme quoi....(1) Quand on sait que c'est au nom de ça que l'on a publié Goodkind. A merde point Goodkind.

Tu fais référence à quels énervements, concrètement ?

Les propos d'Alain Névant et de Bénédicte Lombardo au début des années 2000 qui ont dit qu'il fallait en finir avec la fantasy féminine, et proposer des styles de fantasy avec plus de violence. Je pense qu'il faut de la place pour tous les types de fantasy. Que déshabiller Pierre pour habiller Paul, ça ne crée que des frustrations.

Speedi Crafty a écrit :Pourquoi donc se plaindre? O oCette dame ne fait qu’énoncer un fait concret, il semblerait que certains sous-genres de l'imaginaire soient moins traités par les femmes, ça me fait penser à la filière Littéraire du lycée, majoritairement des filles parce qu'on a un préjugé comme quoi le français est féminin.Ben là c'est pareil, on constate par exemple que "Horreur" est traité par plus d'auteurs hommes, pourquoi? Tout simplement car depuis notre enfance on nous répète que les trucs qui font peur c'est pour les garçons, pareil pour la High Fantasy, c'est les garçons qui sauvent le monde.Par contre, il est bien connu que les filles ne savent que tomber amoureuses de vampires, donc 57% d'auteurs féminins en Urban Fantasy/paranormal romance.(Je caricature au maximum vous l'aurez compris).Bref, en gros c'est juste le reflet de notre société qui a tendance à considérer certaines actions comme plus masculines ou féminines, rien de bien étonnant.

A mon avis tu résumes la situation actuelle de façon imparable.

Ahhhhhhh...!

Je viens de trouver ça:

"Du goût pour la pluridisciplinaritéIl faut bien sûr aussi un goût prononcé pour la culture. "Avant d'arriver en prépa, je lisais beaucoup mais pas du tout de grande littérature, j'étais fan de livres comme Le Seigneur des anneaux ou de polars. Lors des vacances qui ont précédé la rentrée, j'ai passé deux mois à lire les livres conseillés par le prof de français, il fallait absolument que je rattrape mon retard. Cela m'a mis le pied à l'étrier et donné l'envie de lire encore plus. J'étais lancé !", se souvient Rémi. Arriver avec peu de culture classique n'est pas forcément un problème, même s'il faudra mettre les bouchées doubles."

Ici: l'etudiantPas de grande littérature alors que le SDA est cité? '

C'est vrai qu'il est intéressant de lire de tout mais l'opposition SdA+polar (je pensais que ce genre était mieux accepté quand même ) / grande littérature, ça me le fais moins.J'aimerai bien connaître sa définition de "grande littérature" ...Après il faut noter que c'est un khagneux qui parle ici et en temps que ancien préparationnaire scientifique le genre masculin dans cette filière me fait quasi irrémédiablement penser à une anomalie génétique .(Mais ça ce n'est que du préjugé gratuit).Et puis bon l'article ne s’appesantit pas trop dessus, ce qui est un moindre mal.

Il ne savait peut-être pas que la littérature "sans genre" on peut appeler ça la littérature blanche, plutôt que la grande littérature

il sait pas cette andouille qu'il y a des chefs d'oeuvre en fantasy Sf et polar ? quelle nouille ! par contre, oui lire des classiques pour aller en khagne alors qu'on en a pas lu est une urgence !Pour ma part, j'ai fait le chemin inverse j'ai lu bcp de classiques... et j'en ai pas aimé beaucoup ! je me suis obstinée sur Flaubert ... et je me suis enquiquinée au plus au point !

J'avais Frankenstein au programme de français en classe préparatoire (BCPST = math sup bio)Je l'avais déjà eu au programme de première.J'ai lu Dracula au collège (4ème, je crois). Un de mes meilleurs moments de ma scolarité