@ WitchMais c'est un peu comme si moi je disais "ras le bol des hommes qui écrivent avec leurs gros doigts poilus une nième histoire de bourrins" !!!
Faut pas se priver, c'est parfois le cas et ce fut bien plus souvent encore le cas par auparavant !

Ou alors faut aussi aller râler sur le fait qu'un Paolini soit préféré à Bakker
Je crois que Paolini (
Eragon) a déjà été bien vilipendé sur le forum, mais on peut recommencer : il n'y a pas de mal à se faire du bien.

Je n'entends pas critiquer le manque de qualité de l'écriture de Goodkind ou Salvatore en disant "ce sont des gros machos".
Et pourtant on devrait, parce que c'est le cas ! :DL'écriture féminine, qu'elle soit bonne ou mauvaise, semble bien exister elle : en blind test, au bout de de quelques chapitres je peux dire si l'auteur est féminin ou masculin à presque tous les coups (sauf K.J. Parker et Mary Gentle, qui brouillent bien les pistes).A tord ou à raison j'imagine mal un homme écrire une trilogie type
Kushiel et une femme écrire une saga type
Compagnie Noire !La lignée d'auteurs évoquée par
SA_Avenger, qui existe mais ne présente nullement tous les auteurs féminins, n'est pas si médiocre loin s'en faut, juste moyen-bien ou moyen-bof. Si leurs romans peinent à convaincre à cause de leur plume féminine, j'en sais rien, mais s'il ne m'ont pas emballé c'est aussi à cause de leur plume féminine (en l’occurrence une récurrente part très (trop) belle faite aux sentiments, la grande naïveté de nombreux personnages, des dialogues gnagnan : on aime ou aime pas, mais moi je suis pas fan, parfois cela tient très bien la route, parfois c'est pas terrible terrible du tout).Après la nullité d'un livre est rarement lié au sexe de l'auteur, mais cela arrive aussi parfois quand les auteurs tombent eux-même dans les clichés liés aux genres...