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Là où je ne te suis pas Witch c'est que ces points dont tu parles on ne les retrouve pas que chez Martin, à vrai dire c'est un peu l'apanage des grandes sagas de ces dernières années (et si on va plus loin on peut aussi les retrouver dans la fiction historique), ce qui pour moi ne rend pas la comparaison "valide" et vraiment significative, parce que standard. C'est justement le traitement, l'écriture et la façon dont vont être structurés ces éléments/thèmes/idées qui va différencier ou non ces séries, et je pense qu'on est d'accord sur le fait que que là-dessus Martin et Carey n'utilisent pas les mêmes ficelles pour les mettre en scène.Mais pour ce qui est de Martin, n'ayant lu que son 1er tome, j'ai moi aussi trouvé une certaine ressemblance avec le démarrage de Carey : des noms en pagaille, des généalogies, des alliances, des secrets, des machinations, l'impression qu'il y a des enjeux que l'héroïne ne comprend pas mais qui interviennent dans sa vie.Le récit à la première personne et la personnalité même de Phèdre rendent tout cela très différent, sans parler du style lui aussi sans relation, mais pour les deux premiers tomes respectifs, en tout cas au début de celui de Carey, moi j'y avais vu des aspects positifs comparables.
Goodkind, j'ai lâché au bout des 200 premières pages du 1er tome donc je peux difficilement juger. Enfin déjà citer Goodkind dans la même phrase que Martin et Hobb il y a comme un bug...Donc même si je n'apprécie pas que l'on amène Carey sur le même terrain que Goodkind, je peux comprendre comment est faite la comparaison et ne pas la trouver complétement "vaseuse"
Ne t'inquiète pas trop quand même, si c'est Publisher's Weekly, ils avaient déjà comparé le cycle d'Ea de Zindell à Goodkind (et je crois que Zindell t'avait plu quand même, non ?Je ne sais pas si la quatrième de couv est provisoire, mais voir le roman comparé à Hobb, Martin, et Goodkind...
Ben je ne sais pas si je vais être très claire : la comparaison avec Martin tient au fait que justement depuis qu'il a été découvert Martin semble avoir attiré l'attention sur ce genre et surtout avoir été désigné comme LA référence en matière d'intrigues "sagaesques". J'ai lu y'a pas mal d'années le premier tome et j'ai franchement trouvé cela très bon mais pas la révélation dont tout le monde parle (et tout le monde en parle principalement parce qu'il a été traduit) contrairement à beaucoup d'autres. Donc il semble être celui que tout le monde cite (et surtout les 4èmes de couv !) parce que certains semblent avoir oublié que le genre existait avant lui. Martin a bénéficié d'un certain coup de projecteur sur le genre mais pour moi il y a beaucoup de "au bon moment au bon endroit" pour expliquer son succès. Le monde de Katherine Kurtz était pour moi tout aussi riche avec ses magiciens "excommuniés". Celui de Kerr avec sa spécificité de l'intrigue complexe à travers les réincarnations. Celui de Michelle West (que nous sommes peu à connaitreelise a écrit :Là où je ne te suis pas Witch c'est que ces points dont tu parles on ne les retrouve pas que chez Martin, à vrai dire c'est un peu l'apanage des grandes sagas de ces dernières années (et si on va plus loin on peut aussi les retrouver dans la fiction historique), ce qui pour moi ne rend pas la comparaison "valide" et vraiment significative, parce que standard.
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