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Je parlais + spécifiquement des premiers chapitres. :)Parce que si tu comptes attendre 8 ou 10 tomes avant de commencer, on ne va pas te revoir avant longtemps sur ce sujet je pense. ;)

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Je n'ose même lire les trois premiers chapitres avant que le tome complet soit paru... Quant à mon apparition sur ce sujet, rien n'est moins sûr... Ce ne serait pas la première fois que je reviendrai sur ma décision, pleine de bon sens ceci-dit, mais la tentation se fait souvent trop grande pour y résister ;)

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Je n'ai lu (pour l'instant) que le premier jet, mais je part sur un a priori plutot positif! Le systeme de magie a encore et toujours chez Sanderson l'air d'etre a la fois original, efficace, et hyper cinématographique. Je le lirais il n'y a aucun doutes! :)

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Un bon filon que possède Orbit; A voir si on sera mangé à la sauce pygmalionnienne ( hé oui,je persiste et je signe !).Et pour Wearbreaker,un sujet à part est évident à moins d'un navet mais j'en doute.

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Gillossen a écrit :http://nsa19.casimages.com/img/2010/09/ ... 982949.jpgAh, j'aimerais bien que ça soit le mien !
Je viens finalement de commander ces 1008 pages qui me faisaient diantrement envie... mais en format papier. :)Je suis allée à la pêche aux impressions des premiers lecteurs et en voici une qui me fera retarder, encore, l'achat d'un kindle ou autre appareil de ce genre.
I want to make this perfectly clear: the narrative itself is worthy of 5 stars, but the Kindle version rates, at best, only 1 star.The artwork, which presumably adds a great deal to the enjoyment of the narrative, is rendered tolerably well on both iDevices as well as the Kindle2. However, due to compression artifacts, the stylized text included in the artwork is altogether illegible on both types of devices. A novel containing as much artwork as this one does should _never_ have been offered in Kindle format until image size constraints are either removed or increased dramatically.If you own a Kindle, save yourself some grief and purchase the hardcover instead!

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led a écrit :Un bon filon que possède Orbit; A voir si on sera mangé à la sauce pygmalionnienne ( hé oui,je persiste et je signe !).Et pour Wearbreaker,un sujet à part est évident à moins d'un navet mais j'en doute.
Un excellent roman, c'est ben vrai ! :)Désolée pour le double-post, mais comme Warbreaker n'a pas encore de sujet propre... ;)

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J'ai fini de le lire ou plutôt de l'écouter en fait mais bon ça revient au même. Pour faire court je dirais que j'ai envie de lire le prochain.Pour faire plus long je dirais que le livre n'est pas si excitant que ça dans sa majorité mais prend un très bon coup d'accélérateur sur la fin qui m'a donné la chair de poule à certains moments (cela dit je suis bon public).Pour ceux qui connaissent Sanderson je dirais qu'on retrouve de nombreux thèmes qui lui sont chers. La femme forte qui surmonte ses faiblesses, les liens d'amitiés avec forces blagues, la mise en place de nombreux plans d'action etc
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Même si j'ai lu plusieurs des romans de Sanderson, je ne suis pas forcément un grand fan. Je trouve que Sanderson est plus laborieux que génial mais je l'ai déjà dit ailleurs, j'ai toujours du mal avec les systèmes intéressants mais très étriqués qu'il crée. Je trouve qu'il est bon avec les rapports humains mais qu'il a du mal à donner un souffle épique à ses romans. L'univers semble vaste mais il y a vraiment des longueurs et pour comparer à la roue du temps qui m'a fait découvrir Sanderson, c'est comme si le premier roman ici était l'avant dernier du cycle de Robert Jordan. Du coup j'espère que Sanderson a des idées autre que faire trainer en longueurs les 9 prochains livres mais je lui fait confiance.Tout de même en lisant le bouquin je n'aii pu m'empêcher de penser à un truc que j'avais lu dans les confessions et qui m'avait marqué,Rousseau s'auto-congratulant:
Diderot a fait de grands compliments à Richardson sur la prodigieuse variété de ses tableaux et sur la multitude de ses personnages.Richardson a, en effet, le mérite de les avoir tous bien caractérisés: mais quant à leur nombre, il à cela de commun avec les plus insipides romanciers, qui suppléent à la stérilité de leurs idées à force de personnages et d'aventures. Il est aisé de réveiller l'attention en présentant incessamment et des événements inouïs et de nouveaux visages, qui passent comme les figures de la lanterne magique : mais de soutenir toujours cette attention sur les mêmes objets, et sans aventures merveilleuses, cela, certainement, est plus difficile; et si, toute chose égale, la simplicité du sujet ajoute à la beauté de l'ouvrage, les romans de Richardson, supérieurs en tant d'autres choses, ne sauraient, sur cet article, entrer en parallèle avec le mien.
Non seulement Sanderson multiplie les personnages mais en plus il multiplie les trames de temps.A d'autres endroits, plutôt intéressant, le roman se transforme en réflexions "philosophiques", pas de haute volée mais certaines sont bien vues.En gros il veut un peu casser les poncifs du genre, comme il l'a déjà fait dans ses précédentes histoires d'ailleurs, parfois ça passe parfois ça casse. Au final c'est une lecture agréable dans l'ensemble avec quelques bons points mais la longueur semble un peu forcée.

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Ton avis, malpighien, confirme que cette nouvelle saga n'est pas pour moi. Les défauts de Sanderson que tu cites sont parmi ceux qui m'ont empêché de profiter de Mistborn.Ça fait 10 000 pages en moins à lire, c'est toujours ça de pris :p

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Le livre est bon, mais il y a beaucoup trop de longueurs. Au moins 200 à 300 pages de trop, à mon avis. . .Ce n'est donc pas un "must." Selon moi, en tout cas. . .Les gens d'Elbakin vont la traduire sous peu, mais si vous lisez en Anglais et que vous voulez plus d'infos sur TWoK et ToM, il y a une nouvelle interview avec Sanderson ici. :)Patrick

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Je viens de lire l'interview, du moins la première partie qui concerne The Way of Kings que je n'ai toujours pas reçu, mais qui devrait arriver la semaine prochaine, et la réponse abordant le problème des longues séries m'a particulièrement intéressée et donné un peu plus envie de suivre cette saga.- Chaque livre aura donc un commencement, un milieu et une fin qui offriront au lecteur une histoire complète, ce qui permettra d'attendre la suite sans trop de frustration.- Brandon Sanderson se servant des 'plâtres essuyés' par ses célèbres prédécesseurs, Robert Jordan et George Martin, va tenter de ne pas se laisser déborder par un trop grand nombre de points de vue.Ce premier livre, malgré les longueurs relevées par certains, semble valoir le coup, alors je me ferai bientôt ma propre opinion.