






ça c'est les promesses de campagne au moment où la secte avait besoin d'adeptes, jeune padawan, maintenant ce n'est plus nécessaireMerwin Tonnel a écrit :Psst, à une époque, Witch promettait un remboursement pour les non-satisfaits. Donc, Cédric et Saffron, si jamais vous avez envie de refaire vos finances...
Oui, je ne te cache pas que pour Melisande/Melisandre, c'est une recherche de petite bête... mais une petite bête qui m'a gênée. Je n'accuse aucunement Carey de plagiat, attention (ce serait tiré par les cheveux), mais à cause de cette histoire de prénom, j'ai fait une espèce de copier/coller des personnages dans ma tête qui m'a encore plus empêchée d'adhérer à la Melisande de Carey. C'est un détail idiot et j'en ai bien conscience, mais j'ai freezé là-dessus...Je n'aurais pas dû parler de "mots" alambiqués, mais bien plus de style. Voire de simples expressions. Quand un personnage tombe, j'aime bien qu'on dise qu'il tombe. Qu'il chute/choit, à la rigueur. Mais qu'il a "mesuré sa longueur sur le sol", ou autres métaphores longuettes du même style, ça ne passe plus.Après, comme tu le dis, il y a peut-être une question de sensibilité là-dedans. Les messages sous-jacents dont tu parles m'ont effectivement totalement échappé, peut-être parce que ce n'est pas tout à fait ce que je recherche dans mes lectures (ou parce que c'est présenté d'une façon à laquelle je ne m'identifie pas). À côté de ça, je fais partie de la secte des adorateurs du Trône de Fer, donc je comprends parfaitement ton point de vue.Witch a écrit :Question : les grands mots alambiqués ?Pour ce qui est de Melisande, sachant que Martin a une Melisandre je ne vois pas la force de l'argument, là y'a un poil de recherche de petite bête non ?
Pour être franc, sur le même sujet, j'ai gardé un bien meilleur souvenir de Mémoires d'une geisha (pas le livre/film américain, mais le bouquin japonais).Witch a écrit :@ Cédric : dommage tu ne connaitras pas la joie du roleplay avec des adeptes de Jasmine House
C'est quand même difficile de ne pas être marqué par cet aspect tant ça prend de la place dans le bouquin.C'est comme dire que le rêve n'est pas primordial dans Sandman ou que les zombies ne sont pas importants dans les films de Romero.Let's agree to disagree, comme dirait ma voisine.Witch a écrit :Mais effectivement si des clients et des êtres qui vendent leurs "charmes" c'est ce qui a marqué ton esprit dans Kushiel, c'est assez peu engageant.
Non désolée ce n'est pas du tout "comme" pour moi. Contrairement à ta geisha, Phèdre connait un peu autre chose qu'une maison close et elle ne redevient pas "maquerelle" sur le retour. Parce qu'avant cet aspect "prostitution" il y a quand même le principe d'une religion basée sur un précepte inexistant. Sans "Aimer comme vous l'entendez" pas de Terre d'Ange, pas de Maisons de la Cour de Nuit. Et j'aime pas les morts vivants verts moisis mais il me semblait que les films de Romero et son utilisation des zombies étaient un prétexte à une critique de la société, de la conso à outrance. Fallait voir que les zombies au premier degré ? Maintenant on peut aussi dire que les prêtres pédophiles sont la manifestation la plus importante de la religion chrétienne mais je ne cautionnerai pas non plus.Cédric Ferrand a écrit :C'est quand même difficile de ne pas être marqué par cet aspect tant ça prend de la place dans le bouquin.C'est comme dire que le rêve n'est pas primordial dans Sandman ou que les zombies ne sont pas importants dans les films de Romero..Witch a écrit :Mais effectivement si des clients et des êtres qui vendent leurs "charmes" c'est ce qui a marqué ton esprit dans Kushiel, c'est assez peu engageant.
Retourner vers « De la Fantasy »