Un dernier thé en Antarctique : J'ai beaucoup aimé le parfum de fin du monde qui flotte sur ce court récit qui m'a fait penser au jeu Frostpunk (que j'ai beaucoup aimé). On sent dès le début que quelque chose cloche dans les explications de l'auteur mais on ne comprend pas tout de suite (ou en tout cas, je n'ai pas compris tout de suite)
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qu'il était le dernier rescapé et pas du tout le vrai gouverneur
. Le côté folie mélancolique
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du dernier survivant qui est en plus responsable de la mort de certains autres
est très bien rendu.
Miroirs et fumée : Je ne saurais pas trop dire pourquoi au juste mais là aussi j'ai bien aimé. Peut-être le côté savant ultra-terre-à-terre à qui il arrive des événements surnaturels
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et qui assiste à la vengeance des dragons dans cet univers victorien
était-il particulièrement bien rendu mais, dans tous les cas, j'ai tout de suite été immergé dans cet univers et en redemande.
Petite question pour finir, est-ce que ce texte et le précédent font partie du même univers ? Il m'a semblé qu'il y avait des points communs au niveau de la nation à laquelle appartiennent les protagonistes.
L’Homme sans rivage : N'ayant toujours pas réussi à mettre la main sur un exemplaire broché de Céléstopol, je n'ai toujours pas lu le recueil et cette histoire est donc mon premier contact avec cet univers. Je m'en doutais mais, même si je n'ai pas tout compris, ce premier aperçu m'a conforté dans mon idée que j'allais bien aimé cet univers Steampunk dans lequel un prince russe habite sur la lune. Le postulat de départ de cette nouvelle
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il faut amener des baleines sur la lune
est aussi loufoque que les enjeux
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autosuffisance énergétique de la lune
sont sérieux et, rien que ça, ça m'a fait sourire. Je vais finir par le prendre en ebook et continuer à chercher un broché je suppose.