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L'orphelin est effectivement un personnage littéraire très "commun" surtout dans la littérature pour la jeunesse, mais ce statut lui confère un rôle particulier qui permet un développement de l'histoire souvent plus riche en expériences et aventures. En effet, l'orphelin est affranchi des contraintes et des codes familiaux. Il peut aussi prendre des décisions plus risquées, plus téméraires, vu qu'il n'a "personne"... Cela donne des héros combatifs, courageux, un modèle pour le lecteur.Et puis il faut dire que dans ce type de roman, l'action est centrée sur l'enfant. Faire de l'enfant un orphelin évite à l'auteur de devoir passer par la description de rapport parents-enfants qui ne serait pas pertinente avec l'intrigue. Et puis elles sont fan déclarées de PullmanAlchimiste a écrit :Une orpheline (encore ?! Pourquoi ne peut-on avoir que des héros orphelins ??)
Il faut voir cela plus comme un hommage que comme une pâle copie 
J'ai hâte de voir la surprise 10
Franchement, je le sentais...:(Une héroïne dont le patronyme est Pullman déjà, je trouve ça ridicule. Ca me rappelle les rédactions de mes élèves, où le héros obtient souvent le nom d'Eragon. Il me semble que cet ouvrage appartient à ctte vague de publications dont le but est de surfer sur le succès d'un autre auteur. Etre fan d'un écrivain oui, mais le copier pour en faire de l'argent, non. Et pour le manque d'originalité, rien que le titre montrait déjà un bon niveau dans ce domaine. "Atlantis": vu et revu.Je suis agacée, car c'est à cause de ce genre de livres que la fantasy jeunesse a parfois mauvaise réputation, avec l'utilisation de vieux topoï et de recettes usées. Merci quand même Aléthia pour cette critique. 
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Rien que la couverture, l'héroïne rappelle énormément Lyra. Je ne suis pas non plus surprise par la critique.Pour ce qui est du thème de l'orphelin, je trouve que c'est quand même une technique bien trop simple et revue pour l'auteur, afin de pouvoir libérer l'enfant et le lancer dans le monde, mais ce n'est que mon avis.
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Le tome 2 arrive en mai ! 
Adel a découvert la « porte entre les mondes » qui donne accès à l’Atlantide. Là, elle est accueillie par Atlas, le roi d’Atlantis, cette cité-mère que son père a tant cherchée. Elle apprend que le monde de l’Atlantide a bien été englouti, mais n’a pas pour autant disparu : il est une autre face de la réalité. Ainsi chaque habitant d’Atlantis est-il le double d’un être humain : Atlas est le sosie du professeur Pullman, et Léda, sa fille, est comme la jumelle d’Adel. Or Léda a été enlevée par la Reine noire, qui veut s’emparer du pouvoir sur les dix royaumes qui constituent l’Atlantide. Et une seule personne est en mesure de sauver ce monde : Adel ! Le combat sera d’autant plus difficile qu’Adel devra affronter Léda, son double, son âme damnée… ou son âme sœur ?
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Lors du salon du livre, j'ai pu rencontrer Christine Feret-Fleury, un des deux auteurs et je dois avouer que ce fut un très bon moment, très intéressant, qui m'a permis d'avoir un regard différent sur ce premier ouvrage :)Pour ceux qui voudraient se faire une idée, le premier chapitre est disponible ici, sur le site Lecture Academy.
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Et cette interview est en ligne !:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/news/Salon-du-livre-2009-Christine-Feret-Fleury-repond-a-nos-questions
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Mais si ça se remarque tant que ça, c'est qu'il y a peut-être eu un souci de dosage.Concernant les commentaires… il n’y en a pas eu de la part de fans de Pullman. Certains journalistes, en revanche, ont été étonnés par le caractère affiché de cet hommage à Pullman. "Ah, oui, tel détail, c’est comme dans A la Croisée des Mondes". Certains détails rappellent peut-être aussi Le Seigneur des Anneaux… je crois que l’on assimile l’univers d’un auteur, qu’on le fait sien, puis qu’on l’oublie en grande partie : parfois ces souvenirs, à demi inconscients, affleurent dans l’écriture. Et souvent ils ne viennent pas du tout de la source la plus évidente!Au départ, Madeleine et moi avons créé cette histoire pour nous amuser. Ensuite nous avons eu envie de la développer, de lui donner une véritable existence sur le papier. Elle est pleine de clins d’œil à nos lectures favorites, ce que nous assumons parfaitement, car ça fait partie du plaisir !
