Age Of Fantasy a écrit :La nouvelle est sortie depuis quelques jours, la boite Alcon Entertainment a rachetée les droits du film. À Hollywood, dans la dernière décennie, l'heure est aux "remake" des grands film, qu'on pense à Conan, entre autre, qui sortira prochainement. Bref j'ai bien hâte qu'un réalisateur (qui a de grandes chaussures à remplir) se colle à ce défi de TAILLE. Le film de Ridley Scott étant, selon moi et selon plusieurs, LE film de Science-fiction des années 80. Le film de 1982 était inspiré du livre de Phillip K Dick : Do Androids Dream of Electric Sheep?
Moi je trouve qu'en ces temps de frilosité générale, reprendre un classique du genre, c'est plutôt audacieux, donc rien que pour ça, l'entreprise mériterait d'être saluée...S'il s'attaque à un morceau pareil, c'est vrai que le producteur risque de se viander gravement, quand même. Parce que, tout le monde le sait, appliquer le principe "le maître - le disciple", "l'original - la contrefaçon", "le créateur - le profiteur", ça donne très rarement quelque chose de bon.Mais j'ai des solutions pour lui, si il veut faire un peu de tunes à moindres frais en pondant des remakes de films qui ont cartonné : il vient chez nous ! C'est simple :
Titanic : Elie Seimoun et Mimie Matie à la place de Di CaPrio et K. Winslet. Avantage : Comparativement, ça lui coûte bernique, il peut tourner avec un vieux 4.20 de l'Ecole des Glénants, et il les noie avec le contenu de trois pots de chambre. Même pas besoin d'aller shooter en Roumanie ou en Bulgarie.
Terminator avec Bigard à la place de Schwarzy. Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais Bigard, quand il est vexé, il a l'air aussi rigolard qu'Arnold réduit à son état d'exosquelette (Dans la version anglaise-internationale, penser à ôter "bitch" à la fin de la réplique "I'll be back"). Et pour interpréter Sarah Connor...(Ouais, moi aussi, j'y ai pensé)
L'Arme Fatale : Vincent (Lindon, oh, pas Cassel, lui il se prendrait au jeu . Et puis, il est trop cher pour jouer Martin Riggs, et Dieudonné pour incarner le sergent Murtaugh. Et un pitch mêlant l'immigration clandestine, le transfert illégal de capitaux et un réseau de prostitution dissimulant un trafic de... cacao, le tout venant de la Côte d'Ivoire. On nappe l'ensemble avec de bons sentiments, et emballé-c'est-pesé, ça cartonne. Suffit de préparer deux ou trois fins alternatives, selon comment ça évolue là-bas, et de sortir la bonne. Sans dèc, si on s'y mettait tous, on enfoncerait les Bulgares pour les partenariats cinématographiques.