Posté : mer. 13 juin 2012 14:43
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On peut déjà en déduire que c'est bon signe ?Aslan a écrit :https://twitter.com/elbakin/status/212937129980985344Pour les séances de 14h.
On peut déjà en déduire qu'il devrait faire largement mieux que celui avec Julia Roberts, surtout avec la fête d cinéma qui se profile...dwalan a écrit :On peut déjà en déduire que c'est bon signe ?Aslan a écrit :https://twitter.com/elbakin/status/212937129980985344Pour les séances de 14h.
Les neurones qui grillent... normal, c'était l'effet de la métaphore filée niveau stylistique -1 : le feu de la vengeance embrasant les cœurs ardents ou un truc du genre...Zakath Nath a écrit :Ben là, ni l'un ni l'autre, j'avais l'impression que mes neurones grillaient quand Blanche-Neige faisait son discours, que ça n'avait ni queue ni tête, ses formules. Visiblement, il y avait des bidules qui allaient embraser des machins... J'avais l'impression que le discours avait été écrit par Jean-Pierre Raffarin. Drôle d'expérience
Comme j'avais lu ce sujet avant d'aller au cinéma, j'ai pensé à ton message lors de cette scèneZakath Nath a écrit :Ah, et il m'est arrivé un truc bizarre. Vous savez, avant la grosse bataille finale, on a souvent droit à un grand discours pour donner du cœur au ventre aux combattants, à la Henry V? Bon, selon comment c'est écrit et selon la conviction de l’interprète, on peut avoir envie de charger sus à l'ennemi avec les héros (façon Theoden dans Le Retour du Roi), ou on attend poliment que ça passe en trouvant ça bien niais (façon Elizabeth Swann dans Pirates des Caraïbes 3). Ben là, ni l'un ni l'autre, j'avais l'impression que mes neurones grillaient quand Blanche-Neige faisait son discours, que ça n'avait ni queue ni tête, ses formules. Visiblement, il y avait des bidules qui allaient embraser des machins...
Simplement montrer► Afficher le texte
Cela dit, on a vu ça dans TOUS les films de fantasy depuis, même si ce n'est pas une raison pour faire de même. Et puis j'ai trouvé l'utilisation d'une chanson à ce moment-là intéressante.► Afficher le texte
Même si les traumas sont traités en deux minutes, pour moi ça suffit justement à montrer que la "méchante reine" n'agit pas sans aucune raison, non ? :)Bon, je dis ça, mais je ne cherche pas à défendre à tout prix le film.les quelques rares esquisses des failles des personnages se réduisent à 2 mn (cf. Ravenna)- je le trouve très manichéen,
Je ne souhaitais pas forcément un gros happy end dégoulinant de bons sentiments à la finLhénée a écrit :Par contre pour Blanche Neige et le Chasseur, j'étais reconnaissante au réalisateur d'avoir fait ce qu'il a fait, on serait vite tombé dans le gros gros cliché de happy end autrement. Là y'a du mystère, du non-dit, de la retenue en somme. Ca change.
Là, pour moi, on est dans l'interprétation, mais chacun son avis.ils voulaient surtout montrer leurs prouesses techniques je pense, parce que cette scène fait vraiment plaqué/cliché pour moi.
J'ai trouvé que ça changeait des morceaux d'accompagnement pompeux qu'on entend généralement avec ce genre de plans (ce que les circonstances dictent aussi, certes).Pour la chanson, celle qui parle de l'heure qui sonne et de trucs qui résonnent ? (je l'ai eu en français, donc in english, ça rendait sûrement mieux). Je trouvais que cela alourdissait de mélancolique / tragique pour la perte d'un personnage qu'on avait si peu vu qu'on est juste surpris quand il trépasse, et non triste, touché, ému, bouleversé, etc.
J'ai bien envie que c'est toujours mieux que rien, mais forcément, c'est un peu bancal comme défense.Je précise que j'ai adoré les 2 mn où le passé de Ravenna était évoquée, c'était juste sous-exploité, trop court, mal amené, quand on aurait pu bâtir un film avec une vraie profondeur
Là-dessus, je suis d'accord : ça aurait pu être bien meilleur. Mais en ces temps de disette...Donc ton argument "c'est toujours mieux que rien" fonctionne bien, sans ces 2 mn, ça aurait été bien plat avec des personnages encore plus monolithiques, c'est juste que j'étais irritée pendant la séance car je voyais tout le potentiel laissé de côté. Un goût d'inabouti.