2
je confirme, j'ai du l'acheter en 96 ou 97 je sais plusun petit guide très plaisant, j'adore la description de la dark lady moi :mrgreen: faudrait que je le relise d'ailleurs :)

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Tiens, ça a l'air marrant ça, comme quoi il est possible de faire de l'humour sans tomber dans le graveleux à toutes les pages et la dérision dédaigneuse! :)J'y jèterai un oeil, merci pour la critique!Thys

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Le quatrième de couverture et la bonne critique me font bien envie, surtout si l'humour ne vire pas au graveleux ou au mépris du genre de la fantasy. Je suis aprticulièrement intéressé sur la marche à suivre en cas de capture par les gobelins. :mrgreen: Cependant, pour bien apprécier l'humour à sa juste valeur faut-il avoir une excellente connaissance de la langue de Shakspeare ou une connaissance "normale" est-elle suffisante? :)

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Je me doutais que ce genre de chose devait exister mais n'en avait jamais vu... Si je passe devant, je jeterai un oeil des plus intéressés -voir plus, si affinité. Merci!Ah, les clichés battus en brèche... Quel plaisir potentiel ! ;)

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Eh bien, je sais bien encore une fois que c'est un ouvrage en VO, mais je suis un peu déçu du manque de réactions... <_< Et un niveau " normal " d'anglais suffit, pour répondre à belgarion.
j'adore la description de la dark lady moi
Eh oui, ça n'existe pas, il n'y a que des Dark Lords. :mrgreen:

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Mais c'est que cet ouvrage a l'air particulièrement intéressant ! :) Je crois que je mettrais même de côté ma flemme de lire en anglais... (ce genre d'ouvrage serait utile à plus d'un de mes collègues... :ph34r: )Mais comment se présente t-il exactement, comme un essai ou comme une sorte de dictionnaire (avec suite de défintions ou d'exemples)?

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Merci Zébulon pour avoir répondu, mais il me semblait tout de même que c'était plutôt évident à la lecture de la critique, Alexielle... :sifflote: ;) Petit extrait, concernant une sous-partie de l'article sur les sous-fifres du grand méchant :" 4/ Mort-vivants ou démoniaques personnages, la plupart d'entre eux aux yeux rouges, vêtus de noir, et montant de noires montures. Ces personnes disposent toujours d'une magie formidable, et agissent généralement de nuit. Le jour venu, elles se reposent sur des bandes de soldats écervelés pour continuer la poursuite. "Toute ressemblance... :mrgreen:

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Bon en voyant le titre, je me suis dit encore une énième parodie avec tous les clichés que cela suppose bien entendu. Et puis j'ai lu la critique et j'ai presque changé d'avis (surtout que j'aime bien l'auteur), bon ca n'a pas l'air si mal que ca. Enfin c'est bien noté, heureusement qu'Elbakin est là pour nous éviter des jugements par trop hatif.Mais quand même, cela vaut-il le coup? Ce n'est pas par esprit de contradiction mais, un dictionnaire (même comique) ce n'est pas la plus attrayante des choses à lire. Alors de là à picorer seulement de temps en temps dedans, je trouve quand même ca un peu dommage. Vous l'aurez compris la vraie question, c'est est-ce qu'un investissement dans cet ouvrage vaut la peine ou vaut-il mieux acheter l'une des innombrables ouevres qui ont la même note et qui "viennent" de sortir? (Je pense là en particulier au Prince des Ténèbres qui me tente bien).

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Non mais tu n'es pas obligé non plus de lire les entrées les unes après les autres. Chaque article renvoit généralement à d'autres, dans le prolongement, ce qui évite une lecture trop " statique ", dirais-je. :) Et puis, c'est vendu à 7 euros sur Amazon.fr, c'est une misère... :sifflote:

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Gillossen,mardi 15 février 2005, 16:09 a écrit :Et puis, c'est vendu à 7 euros sur Amazon.fr, c'est une misère... :sifflote:
Voilà un argument de poids quand même. ;)Plus sérieusement, je l'ai parcouru ce week-end, - Gillo a fait de la propagande ;) - et j'ai vraiment retrouvé la verve de Diana Wynne Jones. :) Le clin d'oeil aux Cavaliers Noirs et leurs clones n'est peut-être pas le plus marrant, en tous cas pour moi, mais d'autres sont franchement réjouissants ! :)

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J'en ai parlé dans le podcast n°2 mais je n'étais jamais passé dire tout le bien que j'en pense dans le sujet L'aspect intéressant c'est que l'auteur ne peut être accusée d'un quelconque "mépris" à l'égard du genre puisqu'elle en est elle-même un auteur de référence.