Un Néo-Zélandais inscrit son chien sur les listes électoralesWELLINGTON (Reuters) - Un Néo-Zélandais de Wanaka, sur l'île du Sud, est parvenu à inscrire sur les listes électorales Toby, son terrier Jack Russel de quatre ans, à l'occasion des élections législatives de samedi dernier.Sur le registre, le chien de Peter Rhodes figure au nom de "Toby Russel Rhodes", métier "exterminateur de rongeurs", né le 4 juillet 1977, soit l'équivalent de ses quatre ans convertis en "années humaines".Si l'inscription sur les listes électorales est obligatoire en Nouvelle-Zélande, le vote ne l'est pas. Rhodes a précisé que son fidèle compagnon n'était pas passé par l'isoloir et n'avait pas participé au scrutin.Des responsables électoraux ont néanmoins demandé à la police d'ouvrir une enquête et prévenu le propriétaire de Toby qu'il pouvait avoir commis plusieurs délits.

WELLINGTON, Nouvelle-Zélande (AP) - Le mieux est l'ennemi du bien. Un braqueur de banque néo-zélandais aura désormais le temps de méditer ce dicton populaire: déçu d'un butin jugé trop faible, l'homme a décidé de voler une nouvelle fois la banque qu'il venait de braquer, mais cette fois-ci par téléphone, a annoncé la police samedi.La manoeuvre a échoué et il a été arrêté."Il a téléphoné à la banque et dit 'je suis le gars qui vous a braqué l'autre jour et je veux que le directeur mette dans l'argent dans un sac et sorte dans la rue'", a expliqué le sergent Chris Winder, de la police d'Auckland."Il a dit 'je passerai en voiture lentement, je prendrai et le sac et je partirai'", a-t-il précisé.Un policier en civil s'est donc placé devant la banque, à Auckland, vendredi, mais l'homme n'est jamais venu. Au lieu de cela, il a de nouveau téléphoné."Il a passé un coup de téléphone disant 'j'ai regardé et je n'aime pas ce que je vois'", a expliqué le sergent Winder. "Il a dit 'on peut se rencontrer en bas de la rue?'".Un policier en civil s'est rendu à ce nouveau rendez-vous, mais une fois de plus l'homme ne s'est pas montré. La police a alors tracé les appels et a arrêté un homme samedi, inculpé pour braquage et tentative d'extorsion de fonds.

WELLINGTON (Reuters) - Un médecin néo-zélandais qui désespérait de trouver des clients a fermé son cabinet pour ouvrir une maison close.Avec le soutien de sa femme et de ses quatre enfants, le docteur Neil Benson, qui pratiquait depuis 18 ans à Coopers Beach, 250 km au nord-ouest d'Auckland, a décidé de se reconvertir après avoir reçu une offre de location pour une maison de passe dans son cabinet vide."Je me suis dit: 'pourquoi ne pas le faire nous même?'", a déclaré Benson au New Zealand Herald. "C'est un commerce viable et j'étais sans emploi.""Il s'agit de proposer un service aux personnes et d'observer une certaine confidentialité, ce qui est déjà le cas dans l'exercice de la médecine, rien de bien différent donc", a-t-il précisé.La Nouvelle-Zélande a légalisé la prostitution et accorde depuis 2003 des licences pour la gestion de maisons closes.Benson a choisi un nom pour sa nouvelle activité haut de gamme, "Whalers" ("Les baleiniers")."Tout ce que j'ai toujours entrepris était de grande qualité. Les règles de pratique de la médecine sont exigeantes et je les adapterai à l'environnement des maisons de passe."

"Il s'agit de proposer un service aux personnes et d'observer une certaine confidentialité, ce qui est déjà le cas dans l'exercice de la médecine, rien de bien différent donc", a-t-il précisé.

LOS ANGELES - Le metteur en scène néo-zélandais Lee Tamahori, qui a réalisé le James Bond "Meurs un autre jour" en 2002, a été arrêté pour prostitution et racolage le mois passé à Los Angeles. Il a été libéré sous caution, a-t-on appris jeudi de source policière.Selon le texte de la plainte instruite par la justice californienne, Tamahori, costumé en travesti, est entré le 8 janvier dans la voiture d'un policier en civil à Hollywood et lui a proposé des relations sexuelles contre de l'argent. Le réalisateur devait être formellement inculpé jeudi.Lee Tamahori, 55 ans, avait été remarqué en 1994 à Hollywood pour son film "L'âme des guerriers" en Nouvelle-Zélande. Il a dirigé en 1995 son premier film américain, "Les hommes de l'ombre", avec Nick Nolte et John Malkovich. Il s'est ensuite spécialisé dans les films d'action, le dernier en date étant "XXX 2".

Deedlit,vendredi 03 février 2006, 15:25 a écrit :Et en travesti en plus, sa carrière risque d'en prendre un coup  :sifflote:

Nouvelle-Zélande: l'automobiliste en excès de vitesse n'avait pas de bras WELLINGTON (AFP) - Un policier néo-zélandais n'en a pas cru ses yeux lorqu'il a découvert que l'automobiliste qu'il venait d'arrêter pour excès de vitesse à 120 km/h n'avait pas de bras.L'homme handicapé, âgé de 32 ans, utilisait un pied pour le volant et l'autre pour les pédales lorsqu'il a été arrêté sur une route de la côte ouest de la Nouvelle-Zélande. Il a expliqué au policier interloqué qu'il était né sans bras et n'avait jamais passé de permis de conduire. Une responsable de la police, Deidre Lackfor, a indiqué qu'elle n'avait rien contre les handicapés, mais, a-t-elle ajouté: "A l'évidence, conduire à une telle vitesse, avec ou sans bras, c'est inviter un accident". L'homme a été condamné à une amende de 179 dollars néo-zélandais (89 euros) et interdit de conduire.

Gillossen,vendredi 24 mars 2006, 13:21 a écrit :Les bras m'en tombent !

Joss,vendredi 24 mars 2006, 14:15 a écrit :Bon, m'étant fait flashé l'autre jour, je compatis sincèrement

Joss,vendredi 24 mars 2006, 14:15 a écrit :

Gillossen,vendredi 24 mars 2006, 13:21 a écrit :Les bras m'en tombent !

Tu sors ! Bon, m'étant fait flashé l'autre jour, je compatis sincèrement

Un amputé des deux jambes à l'assaut de l'Everest WELLINGTON (AFP) - Un alpiniste néo-zélandais, amputé des deux jambes à la suite d'un accident de montagne, s'envole samedi pour l'Himalaya où il compte conquérir l'Everest."Je ne le fais pas pour être le premier amputé des deux jambes à avoir conquis l'Everest -- si c'est le cas, ce sera la cerise sur le gateau -- c'est plus que j'ai fait de l'alpinisme toute ma vie et que l'Everest représente vraiment un aboutissement", a raconté à l'AFP Mark Inglis, 47 ans, avant de s'envoler pour l'Himalaya. En 1982, lors de l'ascension du Mont Cook, plus haute montagne de Nouvelle-Zélande, l'alpiniste était tombé dans une crevasse. Il y était resté piégé pendant deux semaines, perdant presque la vie et ses deux jambes, amputées sous les genoux. Mais l'accident ne l'a jamais empêché d'aller plus loin. En 2000, il décrochait la médaille d'argent en cyclisme lors des Jeux paralympiques de Sydney. Aujourd'hui, il trouve le toit du monde à sa portée, après avoir conquis le sixième sommet de la planète, Cho Oyu, également dans l'Himalaya. De ce sommet, il pouvait voir l'Everest, "à seulement 650 mètres plus haut". "Et je savais que ce que je voyais, c'était mon prochain défi". Selon lui, ses jambes en fibre de carbone, munies de crampons, seront de moins en moins un fardeau au fur et à mesure qu'il gagnera en altitude. Et ses orteils ne risquent plus de geler, ironise-t-il. "L'alpinisme est tout autant mental que physique. Si vous voulez vraiment faire quelque chose, qu'est-ce que c'est, un peu de douleur? Faut juste faire avec", lance-t-il. Il se lancera à la conquête de l'Everest, depuis sa face tibétaine, et prévoit d'atteindre le camp de base vers la fin de la première semaine d'avril. Il faudra alors encore deux mois environ pour atteindre le sommet. L'alpiniste compte ainsi réunir des fonds pour une association d'aide aux amputés du Cambodge. Il tiendra un carnet de bord en ligne sur le site www.legsoneverest.com.