Laissant choir la dague, il empoigna le lourd aviron qu'il arracha à son tolet et, se pliant brusquement en deux, il en précipita le manche contre le sabord. Il y eu un bruit sec de bois qui se rompt. Se redressant, XXXX renouvela l'opération avec l'autre extrémité de la rame. Il était maintenant en possession d'une gigantesque massue de trois mètres de long qu'il fit tournoyer au-dessus de sa tête. les chaînes auxquelles se balançaient les manilles tourbillonèrent comme une masse d'armes.
Voilà, bonne chance. pour information, l'oeuvre est critiquée sur Elbakin.
