- , et je conçois parfaitement que l'on puisse regarder 300 avec cet "esprit" là.Je ne faisais que souligner une tendance - générale - du cinéma américain à retourner vers ce genre de valeurs. Si le spectateur justifie ce retour pour 300, n'empêche que ce film contibue à la bonne fortune d'un certain type de cinéma, qui pour le coup, ne correspond pas aux attentes que, personellement je peux avoir.Voilà en substance mon propos. 
No, this isn't crazy... THIS IS LESBOS !:mrgreen:300, le film... Alors, vu deux fois à présent, une fois en VF, une fois en VO...J'ai bien aimé les deux fois, ayant suivi le film quasiment sans un instant d'ennui. Mais, malheureusement, en étant très rarement pris aux tripes pour autant. :(Peut-être la faute aux partis-pris outranciers du film. Comment le considérer comme réaliste, ou historique, dès l'apparition du loup ? Critiquer le film là-dessus, c'est clairement tomber à côté de la plaque. Maintenant, voir Léonidas planter sa lance dans le sol et entendre un son comme s'il venait de frapper sur un gong, ça fait peut-être "épique", mais on peut aussi facilement le prendre avec un petit sourire en coin.Bref, c'est un peu ce que j'ai fait, savourant le spectacle le plus souvent, regrettant à d'autres moments que certaines séquences soient si brèves - et là, qu'on ne vienne pas me dire que le film n'a pas manqué d'argent -, voire qu'il n'assume pas jusqu'au bout. Quitte à ne pas être réaliste, pourquoi pas un duel final entre Léonidas et Xerxès façon Morgoth et Fingolfin ? ;)Au final, pas aussi mémorable que les Thermopyles.NeoSib a écrit :Le dernier épisode en date de South Park (saison 11 épisode 6) est une excellente parodie de 300. J'en dis pas plus pour laisser la surprise mais je vous conseille fortement d'essayer de le voir. Si le film ne fait pas l'unanimité, cet épisode fait bien marrer tout le monde !
Je me demande quand même si c'est pas un peu fait exprès. Certains passages sont tellement gros qu'on peut pas s'empêcher de se marrer (perso c'est l'homme à tête de bouc qui m'a eu, je suis même le seul à avoir explosé de rire dans la salle tellement ça me paraissait absurde, comme si quelqu'un avait ajouté un plan pour déconner, à l'insu de SnyderGillossen a écrit :Maintenant, voir Léonidas planter sa lance dans le sol et entendre un son comme s'il venait de frapper sur un gong, ça fait peut-être "épique", mais on peut aussi facilement le prendre avec un petit sourire en coin.
).Mais c'est vrai que de ce côté là les intentions du réalisateur ma paraissent un peu flous, même si je suis quasiment certain qu'il ne pensait pas faire un film à prendre au premier degré.Va falloir que je le regarde au plus viteNeoSib a écrit :Le dernier épisode en date de South Park (saison 11 épisode 6) est une excellente parodie de 300. J'en dis pas plus pour laisser la surprise mais je vous conseille fortement d'essayer de le voir. Si le film ne fait pas l'unanimité, cet épisode fait bien marrer tout le monde !
* Loba qui imagine Cartman avec une cape rouge et un slip en cuir* 
Ce qui est marrant, et qu'il ne faudrais surtout pas oublier, c'est que l'homosexualité était très répandu....chez les spartiates eux mêmes!!!Le film en fait fi complètment.Ouais les spartiates n'étaient pas des enfants de coeur et ils pensaient être les meilleurs dans les arts de la guerre, ils ont un peu quand même cette réputation. Si on accepte l'idée de base qu'ils sont nés et ont été élevés pour être des machines de guerre (et que du coup, chaque spartiate est une arme mortelle) et bien il est évident qu'il y a derrière tout le discours qui permet à ces hommes d'aller au bout de leur délire. Ils sont forcément pétris dans une culture macho (ben, s'pas de bol, mais on sait tous que physiquement un homme est plus fort qu'une femme), ultra-nationaliste (ils se doivent d'être les plus forts et de faire tout pour rester les plus forts), fier (ben pour donner tout ce qu'ils ont dans le ventre, autant exalter leurs talents guerriers) belliciste (ben, ils sont nés pour se battre, donc s'ils ne se battent pas, ils sont inutiles) et qui ne laisse pas de place aux sentiments autre que ceux liés au combat. (quand le fils du capitaine meurt, j'ai eu peeeeeuuuur que ça sombre dans le mélo larmoyant genre "C'est de la faute de ta prétention aveugle et inconsciente que mon fils est mort, ouinnnnn !" ce qui ne collerait pas du tout à tout ce qui est montré pour définir la "culture spartiate" version Hollywood.)Alors oui, c'est vrai qu'ils sont pas sympathiques ni compatissants ni très empathiques... Mais ce sont des p... de bourrins et ils le sont jusqu'au bout avec une cohérence qui leur donnerait presque raison !, la déformation physique, etc...) Je ne dis pas que c'est "bien", je dis juste que c'est un ressort "classique" (Le méchant dans Conan, il a toutes ses esclaves nubiles et langoureuses à ses pieds alors que Conan n'a qu'un amour). Encore une fois, on est dans le domaine de l'archétype, pas de la pensée moralisatrice.
, par un homme plus âgé, l'éraste, Le jeune spartiate passe forcément par l'agôgé, de 7 à 20 ans (ce sont les paidés, véridique ') pris en charge par un pédonome, avant de passer jusque 30 ans au stade néoi.A noter cependant que Plutarque, Xenophon ou encore Platon réprouvaient cette pratique d'homosexualité éducative. A noter aussique cette pratique était mieux acceptée chez des jeunes de 20 à 30 ans, ou chez des non-citoyens ^^Maintenant, pour en revenir à 300 il est clair que le film n'a pas de réel parti pris historique. Il s'agit là d'une histoire de visuel, de soucis photographique, de film bourré de testostérone. J'ai aimé, ça ne m'a pas fait réfléchir, ça m'a détendu, et c'était très bien comme ça ! ^^Certains plans de Frank Miller se retrouve dans le film et ça fait du bien aux noeils.somme toute bien sympathique donc. 
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