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Merci pour la traduction, qui confirme bien que Sanderson est un fan de Jordan. :)En tout cas la relecture de cette interview me rassure de plus en plus, je crois vraiment qu'il est dans la bonne optique pour écrire ce livre.J'espère juste qu'il y a suffisamment de notes de Jordan pour que l'histoire reste celle de son créateur. :)

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Merci pour cette traduction :)On sent le fan dans cette interview et ce qu'il déclare sur son amour de l'oeuvre et son désir de la respecter me font penser que le final sera bon :)J'ai adoré le passage sur Asmodean :p Je savais que c'était elle l'Assassin :lol:

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Merci pour la traduction de l'interview. La tâche qui l'attend est assez colossale. Reprendre et terminer l'oeuvre d'un autre auteur, surtout avec cette popularité, ne doit pas être aisé et l'attente et la pression des fans risquent d'être énorme, alors je lui souhaite bon courage ;)Tanis

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Merci! Voilà une interview qui rasure car ainsi on voit que sanderson connaît et ap)précie vraiment l'oeuvre titanesque de son prédecesseuyr- ça limite les risques de dérive. :)

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Merci pour cette interview. On reconnait le fan, et aussi l'auteur sous pression qui a beaucoup de respect pour l'oeuvre qu'il a la lourde de tache de finir. Je ne connais pas ses romans mais j'imagine qu'il va essayer de coller au style Jordan. Ses paroles sont remplies de bonnes intentions et d'humour pour ce qui l'attends, ce qui est bon signe, et il est surtout archi confiant dans ses capacités, ce qui peut-être vital (ou fatal) dans une entreprise comme celle-ci.Quoiqu'il en soit, bon courage à lui et nous attendons le résutlat, qui de toute façon nous donnera une large idée de ce que Mr Jordan imaginait. Je trouve sa vision sur les derniers chapitres plutot sensées. Sa grande scène est celle ou Lews devient fou, parfait, il essaie d'imaginer comment serait une histoire si le méchant avait gagné, tant mieux.Une seule chose, il aime Perrin et c'est loin d'être mon favori, alors nous verrons. Par contre il trouve Tuon fun, et ça c'est plutôt bien. Ah oui, je suis assez d'accord, Moridin est pire que Padan Fain. Ce pourrait être un nouveau sujet amusant dans Elbakin ces petites comparaisons de personnages ou on doit répondre brièvement.Quand à Bella, quelle traîtresse !Ashes

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Il est complètement emballé par les notes et il sera bien entouré, c'est bon signe pour cet ultime volume. En plus il a déjà fait ses preuves et c'est un grand fan de l'oeuvre. :)Ce serait un bel hommage à Jordan de terminer ce cycle en beauté.

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ce brave monsieur devient le Sallieri de Robert Jordan. C'est touchant quelque part...Ca doit être très intimidant comme tâche à accomplir pour un écrivain de marcher dans les pas d'un autre, peut-être aussi un peu frustrant quelque part ce qui augmente encore les mérites de cet auteur

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khra a écrit :ce brave monsieur devient le Sallieri de Robert Jordan. C'est touchant quelque part...
Comparé La Roue du Temps au Requiem, pas idiot du tout :)Sauf que Sanderson n'est pas Salieri mais plutôt Franz Xaver Sübmayr, celui qui acheva l'oeuvre de Mozart, en compagnie de sa femme, d'ailleurs. Espérons que la comparaison soit aussi fructuante ;)

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Belle comparaison en effet. J'espère que le final de cette glorieuse épopée de Robert jordan se termine sur une aussi bonne note qu'elle avait commencé, bien longtemps auparavant. :)

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Je vais apporter une petite note discordante concernant ce dernier tome.Certes, je suis très content que l'on puisse lire un jour la fin de "La roue du temps", cela fait parti de ces cycles monumentaux (dans le sens architectural), dont la durée épuise et raccroche à la fois le lecteur. Le souffle épique veut qu'on connaisse la juste conclusion.Cependant, je suis très étonné de constater que personne ne semble choqué par cette idée d'écriture par un autre auteur (peu importe la quantité de note du père Jordan en amont, le bonhomme le dit lui même de toute façon : il ne faut pas vous attendre à du pur Jordan, rien ne peut le remplacer). Pas forcément sur un plan qualitatif, la continuité par un autre auteur ça se voit (surtout en BD) mais plutôt sur un plan moral.Je m'explique. Bien que n'étant pas religieux pour un sous (au contraire !!), je trouve qu'une oeuvre à quelque chose d'intime, presque de sacré. L'écriture demande une telle part de subjectivité, d'inconscient !Dès lors je n'arrive pas à accepter l'idée que l'on puisse reprendre une oeuvre littéraire à ce point inscrit dans le patrimoine de la fantasy mondiale. Bordel ! Généologiquement, pour moi, il y a Tolkien, puis Jordan.Je prendrai suremment un immense plaisir à lire ce dernier tome (j'espère et j'ai confiance de ce point de vu) mais je n'arrive pas à l'accepter et je trouve complétement capitaliste cette logique.

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En même temps, c'est à l'auteur lui même de choisir quand cela est possible. :) Dans son cas, il a eu un peu de temps pour y penser et pour préparer la suite en sachant qu'il pourrait bien ne pas terminer son oeuvre. Les annonces de Robert Jordan montrent qu'il y avait une vraie volonté de sa part de terminer son cycle et il a fait en sorte que celà soit possible. Alors oui après les fans achèteront cet ultime volume, il y aura des bénéfices dessus et le cycle est bouclé mais vu comment celà se fait, avec la conclusion de l'auteur et entouré par les mêmes personnes, ça ne me choque pas. :)

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Goldberry a bien résumé mon point de vue ave cle consentement explicite et prévu de longue date de Robert Jordan. Mieux vaut une fin selon les ntoes de RJ écrite par un autre que rien du tout à la clé sous prétexte qu'il ne peut plus terminer son histoire.

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Le genre d'actualités dont j'ai été complètement déconnecté durant le mois de décembre... C'est un peu bizarre de réagir à retardement et de découvrir les réactions à chaud avec trois semaines de recul. Je n'ai pas l'habitude. ;)Mais j'aime bien ce choix de Brandon Sanderson, pour avoir lu Elantris. :)

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Belle analogie et surtout quelle modestie face à Rober Jordan. Certes, il y a peut-être un peu de langue de bois mais on sent qu'il admire autant son prédecesseur qu'il est passionné par la saga.

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C'est bien qu'il se remette en question dés le début pour se préparer à ce gigantesque projet. En faisant preuve de lucidité il sait qu'il ne pourra être totalement objectif mais il y tend et veut se consacrer pleinement à sa tâche. Cette attitude sensée ma conforte dans ma bonne impression de cet auteur. :)