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marvin rouge a écrit :Excellente initiative, même si c'est pas super confortable pour la lecture.
Apparemment, Gaiman veut arranger ça :
I'm currently talking to Harpers about ways we can make the American Gods online reading experience a more pleasant one. And about ways to give American Gods away that would make Harper Collins happy while also making, say, Cory Doctorow happy too.
Sinon, c'est "téléchargeable" tout le mois de mars !

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"téléchargeable" ? A part mettre en lien sur un page web, j'ai pas trouvé de vrai téléchargement (mais je ne suis qu'un pauvre petit chat solitaire qui ne comprend pas un mot d'anglais, alors j'ai pu rater un truc ;) )L'initiative est plaisante en tout cas, et ça incite à acheter le vrai livre papier pour le confort (oups, c'est déjà fait).

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Comme je le pensais, ça incite bien à acheter le vrai livre en servant de "bande-annonce", mais 300 pages sur ordinateur, c'est peu attrayant à mon goût.On parie que ça va donner des idées aux éditeurs ?

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2 facteurs essentiels sont tout de même nécessaires pour que ce genre de situation se reproduise à mon humble avis :- la qualité de l'ouvrage (ici, c'est tout de même l'un des Gaiman les plus réussis selon les lecteurs du blog, nous (ou a peu de choses près, voir le sondage qui traine dans cette partie du forum), l'un des plus vendus aussi je crois)- le caractère "exceptionnel" de l'opération, parce que si tout le monde s'y met, on prendra bien vite l'habitude de télécharger et lire sur écran.... :sifflote:

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UP du sujet (Ffffuuuu, attention à la poussière).Mon premier Neil Gaiman (que ce soit en livre, film ou comics), presque lu par hasard puisque trouvé en VO à la bibliothèque, un peu perdu sur un rayonnage.Je suis parti avec un a-priori plutôt positif vu les nombreuses fois où on m'a vanté les qualités du sieur Gaiman. Au final, mon point de vue est assez mitigé. Il y a de très bonnes choses, comme notamment l'aspect road-trip et certaines étapes qui sont vraiment exceptionnelles. Le rythme assez lent colle bien au roman et le coté très visuel de l'ensemble se prêterait bien à un film à mon avis.Le choix de la thématique (les dieux et leur transfert en Amérique) est très sympathique même si je trouve que la réflexion qu'elle engendre est assez vite limitée. Je trouve d'ailleurs la fin du combat entre anciens et nouveaux très prévisible, ce qui m'a ôté une bonne partie du plaisir sur la fin de la lecture.Les personnages sont généralement bien esquissés, avec des caractères intéressants, mais ils restent vraiment trop peu épais pour me satisfaire. J'ai un peu l'impression que Gaiman se contente du strict nécessaire pour assurer la cohérence des actions mises en branle mais ne s'embarrasse pas vraiment de fioritures. Là-aussi, c'est dommage dans mon cas car je ne me sens pas vraiment aspirer aux cotés d'Ombre.Enfin, j'ai moi aussi ressenti le petit coté Stephen King (d'ailleurs, je trouve qu'American Gods brasse beaucoup de styles littéraires différents, et ça c'est intéressant). Seul bémol, pour lequel Gaiman réussit moins bien que King, c'est la fin du fil Lakeside. Là-aussi, je m'attendais un peu trop à cette explication et le règlement de cette intrigue d'un coup de pistolet par le shérif et l'usage des pouvoirs d'Ombre m'a pas mal déçu.Sentiment donc mitigé au final, beaucoup de bonnes idées, une réalisation assez soignée dans l'ensemble mais quelques défauts (personnages pâlots, intrigue un peu prévisible) qui baissent la note pour moi. Je lui aurais mis un 7.5 je pense.

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Je veins d'en terminer la lecture et je dois avouer qu'au final je reste sur ma faim. J'ai globalement les mêmes impressions que Luigi. j'ai beaucoup aimé le côté "road movie et rencontres diverses" et le personnage d'Ombre m'a bien plu, mais... comment dire, mon attention s'est peu à peu désagrégée au fil du livre. Sentiment assez bizarre. Cela m'a fait un peu la même impression que Vélum de Hal Duncan, rien à faire, impossible de me passionner aux péripéties.J'ai bien aimé la relation entre
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, mais je suis resté extérieur au roman.C'est assez frustrant, je n'arrive pas à mettre le doigt sur ce qui m'a déplu. Des scènes très réussies, mais il manque quelque chose à mon goût.:(Peut être que j'en attendais trop ?

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Rho, quel dommage :(Je vois ce que tu veux dire par ce sentiment de manque mais il fait, à mon avis, partie intégrante du roman. L'ombre n'est pas que dans le personnage principal mais aussi dans les multiples ellipses et les fins abruptes dont Gaiman est adepte.

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Oulah, s'il faut commencer par écrire un livre (et encore, peut-être plus qu'un) pour satisfaire une série télé qui a déjà décidée de faire 6 saisons, il faudra être patient...et quelque part, se demander si Neil écrit un livre ou un script.

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Bonsoir.Up donc. Suite à la révélation de Gaiman concernant ce qui fut à l'origine d'American gods, j'ai eu une révélation et j'en suis toute "upside down, Gaiman, you turn me, inside and out, and round and round". Parce qu'il le dit et le répète : Middle West is weird. Compris. Plus besoin de scruter les cartes des mondes de l'imaginaire à la recherche du 36ème portail, plus la peine de s'esquinter les yeux pour décerner le prix du Territoire de fantasy. Middle West is weird.Je continue de rebondir toujours pas très haut, plutôt round and round... Car j'étais sur le sujet de l'adaptation à l'écran d'American gods -et @ aux modos, pas question que j'insère le lien vers la page, vu que j'ai essayé deux fois et que j'ai chaque fois rebondi dans le temps pile avant d'avoir écrit ce message. Ca fait bientôt une heure que je suis coincée dans une boucle de l'espace temps.J'étais donc dans ce sujet quand j'ai dû traverser... le Middle West sans m'en apercevoir parce que j'ai atterri ici voici bientôt une heure de mon temps et deux du Weird MIddle Elbakin West. J'arrête pas de rebondir. Alors, j'ai une question en rapport avec le sujet. Parfaitement. Celui de l'adaptation... Qui, c'est qui est prévu dans le rôle de Dédale, du labyrinthe, de Thésée, du Minotaure, d'Ariane et du furet "qui repassera par là"? J'ai même la réponse. Alors respectivement ça donne Aslan, Elbakin ou le Middle West, Merwin Tonnel, Gillossen (fallait pas me traiter de pourriel), Witch et moi-même.Je poste. Je remonte le temps. Je relis le sujet parce que je ne me souviens même plus de ce que je voulais y dire et je rebondis pile ici. Tant pis pour le double post.