Il n’y avait plus rien que le sommet de la dernière marche. Elle était large, mais ils pouvaient en voir le bord déchiqueté, plus fracturé que l’escalier. Et au-delà, rien, rien, rien du tout. Un voile de nuages s’étendait vers l’Extérieur, telle une corniche de fausse terre, et le soleil le colorait de brun et d’orange ; mais, au travers, ils pouvaient voir que le Néant descendait, descendait, s’épaississant en ténèbres.
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Bien essayé, mais le roman est bien critiqué par Elbakin.net.Autre citation qui devrait faire sens à ceux qui ont lu le livre, ou plus largement son auteur :