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A priori Witch a partir de 27 ans notre cerveau commencerait à s'intellorabougrir (j'ai lu ce mot dans un article, je l'aime bien :P). De la a penser que Mr Goodkind est persuadé qu'il faut avoir son potentiel intellectuel a son max pour comprendre (et ne pas avoir peur ??) son oeuvre, voila un pas que je n'ose franchir :sifflote:@ Altan c'est vrai que pour le 4x4 j'hésite entre le rouge et le rose par moment ;)
Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk

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OMG ! Je me suis lancée dans le premier tome par curiosité il y a quelques temps et qu'est-ce que je m'emmerde c'est fou. Les personnages principaux sont caricaturés et/ou sans intérêt, les dialogues culcul la praline à souhait, prévisible, le méchant ne fait même pas peur.Je ne suis pas sûre de terminer ce bouquin... Heureusement que je ne l'ai pas acheté. En ayant lu vos avis sur la série tv je pensais lire les livres avant de le voir en image vu que ça avait l'air bien nul mais finalement ça doit être à la hauteur de l'original.

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J'aime bien la série, je les ais tous lu. Mais je dois dire qu'au fil des romans la qualité à beaucoup baissé et que l'auteur est sérieusement gonflant quand il part pendant des pages sur des idées phylosophiques à la c..Heureusement le dernier tome voit le niveau se relever.

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gAlly a écrit :OMG ! Je me suis lancée dans le premier tome par curiosité il y a quelques temps et qu'est-ce que je m'emmerde c'est fou. Les personnages principaux sont caricaturés et/ou sans intérêt, les dialogues culcul la praline à souhait, prévisible, le méchant ne fait même pas peur.Je ne suis pas sûre de terminer ce bouquin... Heureusement que je ne l'ai pas acheté. En ayant lu vos avis sur la série tv je pensais lire les livres avant de le voir en image vu que ça avait l'air bien nul mais finalement ça doit être à la hauteur de l'original.
Merci pour ce cadeau de Noël ! :mrgreen:

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L'épée de vérité, j'ai résisté jusqu'au tome 7 je crois.J'ai tenu jusque là grâce à quelques personnages secondaires, mais là j'en pouvais plus. Les deux héros sont décidement trop culcul et larmoyants, et l'histoire n'avance pas.

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Eh bien moi j'ai arrêté les frais à partir du tome 4 :) Ce que je n'ai pas supporté c'est l'absence de rythme dans cette saga. Je me rapelle avoir lutté de toutes mes forces pour terminer le tome 2 (pourquoi ais-je continué après ? mystère...). Le pire c'est probablement l'intrigue qui est quasi-inexistante. Je pourrais encore en rajouter sur les héros insupportables (Richard THE héros parfait : trop beau, trop costaud, trop gentil même-avec-les-écureuils-de-la-forêt, Kahlan : trop mystérieuse, trop dangereuse, trop amoureuse, trop bien foutue, trop en danger...), les scènes inutiles et malsaines
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. A mes yeux Goodkind est pour l'instant le pire auteur que j'ai lu (et pourtant j'ai lu du Salvatore ;))

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Je viens de lire le tome 1 de l’épée de vérité. Sans dire que c’est une sombre bouse, j’ai quand même trouvé ça globalement très mauvais.En fait, j’ai failli abandonner au bout des 200 premières pages qui ne sont constituées que de dialogues extrêmement niais et interminables entre Kahlan, Richard et Zedd. J’ai détesté la surabondance de points d’exclamation, c’est quoi cette mode de ponctuer ses phrases de points d’exclamation toutes les deux lignes ? Le début du roman est vraiment interminable. Richard, beau, fort, intelligent, gentil, bref le héros idéal, rencontre Kahlan, belle, gentille et intelligente elle aussi : au bout de deux secondes il sait que c’est la femme de sa vie, et ils vont retrouver Zedd. Et paf tout s’enchaîne : Kahlan est la mère inquisitrice, Zedd le sorcier, Richard un sourcier digne de l'épée de vérité. Ce dernier a par ailleurs et comme par hasard appris le grimoire par cœur avant de le détruire, ce qui va se révéler capital pour la suite. C’est un peu gros, toutes ces coïncidences.Nos protagonistes partent pour sauver le monde des griffes du méchant Rahl. Franchement par moment j’avais un peu l’impression de lire « oui-oui pique-nique avec ses amis dans la forêt », tellement le style est simpliste et niais. Tout le long du roman on nous sert jusqu’à l’écoeurement le fameux « sourire Richard », la soupe aux épices (dont on échappe de peu à la recette complète), les dégustations de fromage. Les personnages passent leur temps à s’enlacer, à passer leur bras autour des épaules de leurs amis, à s’échanger des compliments : mon Dieu que c’est mauvais !Et puis il y a les raccourcis gênants, les incohérences :
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OK, je sais, c’est un détail, mais ce sont entre autre ces petits détails qui m’ont empêchée de rentrer dans l’histoire.
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Forcément qu’elle l’ignorait il n’en a jamais été question avant, pas même lors de la scène où elle lui dit ça. Elle a du deviner sans doute…Et puis j’ai trouvé les héros trop manichéens, les gentils vraiment trop gentils. Les obstacles qui paraissent insurmontables trouvent une solution en deux coups de cuillères à pot, comme par exemple Richard qui trouve en deux secondes le moyen de franchir la frontière réputée infranchissable.Bref, des héros sans nuances, un roman taillé à coup de serpe, à l’emporte-pièce dont je n’ai pas retiré un grand plaisir et dont j’ai compté les pages. Je ne lirais pas le tome 2, je pense que vous l’avez deviné. Je dirai en conclusion : merci la médiathèque de m'avoir permis de lire ce roman sans débourser un centime, car j'aurai vraiment regretté mon argent si j'avais du l'acheter.

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Eh bah, ça s'appelle descendre en flèche, ça. Je garde un souvenir douloureux de ce cycle, qui m'était tombé des mains assez rapidement. Rien que le prénom (Richard) du héros principal me rappelait méchamment mon tonton auvergnat, alors pour le côté épique, c'était un peu raté. De la fantasy de super marché, pour moi, avec tout ce que je n'aime pas dans ce genre: stéréotypes à la pelle, manichéisme absolu, absence d'intrigue véritable (ou cousue de fil blanc), personnages creux tendance grosbill et j'en passe.

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Je vois ce cycle régulièrement très critiqué ici.Mais comment alors expliqué un tel succès? Ce roman vend beaucoup je crois, et pourtant on peut pas dire qu'il s'agit d'un coup marketing/pistonnage bidon du style Eragon, ni d'un truc à la mode genre Bit-lit où je ne sais quoi. Alors pourquoi un tel succès pour un roman grand format tout de même ?Je n'ai bien sur pas lu le roman mais ça m'intrigue. Pourquoi tant de reproches ? Mauvaises fois de certains lecteurs qui ne supportent pas le succès de ce bouquin qu'ils trouvent un poil surestimé ? Ou est-ce réellement mauvais mais dans ce cas pourquoi ça marche autant ? Car il s'agit de la meilleure vente de Brage je crois.

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Kif a écrit :C'est tout comme un Dan Brown: vendeur pour la foule, mais très vide à l'intérieur...Pas de tomates: :jesors:
D'un autre coté, c'est tellement vrai.Le fait est que l'epée est pour un "novice" bon. Je veut dire si le lecteur lambda n'as pas de point de comparaison, bah, l'épée parait sympa. Et puis c'est tellement remplie de clichés que ça conforte le lecteur de pas aller voir plus loin. C'est un cercle vicieux qui s'entretient presque tout seul en fait.On conseil l'épée de vérité==> on voit que la fantasy c'est que cliché sur cliché==> on va pas voir plus loin==> pas de point de comparaison. Enfin voyez quoi :p.La vérité c'est aussi que la grande majorité des vendeurs connaissent que dalle en Fantasy (peut on leurs jeter la pierre non, absolument pas) et propose donc ce qui se ven(t)d (la faute est voulu) le mieux...

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Bon, et bien je suis heureux de voir que finalement, cette saga est plutôt acceuillie froidement ici. Et moi qui avait un peu honte d'avoir laissé tombé au bout de 4 tomes (et encore, je ne m'en rappelle plus vraiment).Pour ce qui est du 'succès', je suis d'accord que c'est peut être le truc donné à lire par défaut à toute personne voulant commencer, et qu'on continue de lire par 'habitude'. Moi j'avais commencé lorsque l'a série TV est sortie aux USA, ce qui avait fait un peu de pub pour la série de bouquin. Au final, aussi bien les livres que la série ont vite été oubliés .... Bref, pour moi L'Epée de Vérité et La Roue du Temps , c'est kif kif bourricot.

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jihaire a écrit :Bon, et bien je suis heureux de voir que finalement, cette saga est plutôt acceuillie froidement ici. Et moi qui avait un peu honte d'avoir laissé tombé au bout de 4 tomes (et encore, je ne m'en rappelle plus vraiment).Pour ce qui est du 'succès', je suis d'accord que c'est peut être le truc donné à lire par défaut à toute personne voulant commencer, et qu'on continue de lire par 'habitude'. Moi j'avais commencé lorsque l'a série TV est sortie aux USA, ce qui avait fait un peu de pub pour la série de bouquin. Au final, aussi bien les livres que la série ont vite été oubliés .... Bref, pour moi L'Epée de Vérité et La Roue du Temps , c'est kif kif bourricot.
Euh, je ne pense pas que comparer L'Epée de Vérité et WoT soit vraiment pertinent, en fait. D'un côté un cycle qui accumule les clichés/stéréotypes/manichéismes divers, relativement ennuyeux, et de l'autre, une aventure épique aux personnages divers et variés, psychologiquement intéressants et approfondis, à la morale tangeante. Pour moi, WoT est un peu l'antithèse de l'Epée, à vrai dire...