sortie sans rien, non mais! je vais pas les dépouiller :ppartie remise, donc -ptêt à noel? 
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Et voilà, j'ai mis à profit les vacances pour dévorer ce Nom du Vent qui vient gentiment se classer parmi mes meilleures lectures de l'année. Si le livre n'est pas exempt de défauts, notamment quelques longueurs dans sa deuxième partie (par exemple la virée à Trebon) et quelques clichés relatifs à l'Université (Ambrose le riche ennemi juré - Drago ? - et Master Hemme le prof toujours contre le héros - Rogue ?), le récit de Kvothe et sa mise en forme par Rothfuss (la structure du roman, l'annonce du destin de Kvothe,...) est vraiment passionnant. Et quand Kvothe nous dit à la fin de ce premier tome avoir posé les bases pour entrer dans le vif du sujet, ça ne peut qu'ajouter The Wise Man's Fear dans la liste des livres que j'attends le plus en 2010.Je retiens surtout de ce livre deux parties qui m'ont particulièrement touché : l'enfance de Kvothe dans la troupe et son récit de sa vie dans les rues de Tarbean. Le reste est excellent, mais ces deux passages m'ont vraiment fait voyager et je tournais les pages sans m'en rendre compte.
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ça y est : je l'ai! jolie couv' - bien dodu comme j'aime ... un peu pesant à tenir, mais on se débrouille toujours J'adore le "frisson" de la première page... quand on ouvre les yeux sur un monde inconnu !Patatras! "calme creux" ... ça ne passe pas du tout! alors que je vois très bien sa première forme du silence : comme un négatif d'anciennes photos!Pas de fluidité en VF : pas "d'entrée" dans l'ambiance.je pose et je verrais ! ce n'était peut-être pas le bon moment pour la rencontre? sniff - déçue 
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Voila, j'ai repris la lecture et en suis à plus d'une centaine de pages : c'est parti! Cependant, ce ne sera vraisemblablement pas un "coup de coeur" de l'annéej'ai toujours du mal à "redémarrer" après plusieurs arrêts- blocages sur l'écriture :des métaphores que je ne valide pas, des "imprécisions" d'écriture ... surtout en chronologie,bref, pas du tout de "fluidité de lecture" - malgré mon expérience en ce domaine!Par contre, l'histoire est intéressante!Un problème de carte, aussi : l'auberge du début du récit n'est pas située : peut-être que c'est volontaire ?
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Et un petit nouveau, un ! Bonjour à tous ^^Ouep je m'inscris pour donner mon avis sur ce Nom du vent qui, ma foi, est très agréable, sans être transcendant.En fait c'est ce que j'apellerai de la Disney-Fantasy. Ben ouai, tout les ingrédients sont là : héros attachant, drame, humour, aventure, ton léger ( même s'il y a des passages plutôt dur il est vrai, mais bon dans Bambi aussi. Hum. Ben quoi ?), romance...Bref ça serait adapté chez Pixar que ça dépareillerai pas.Mais passé les 100 ères pages un peu longuettes, c'est plutôt bon.Je suis curieux de voir quelle direction va prendre le tome 2 
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Voila terminé ce roman, je me suis bien attachée à Kwothe, et à tous les persos, à l'histoire, aussi!Je ne dis pas que si le tome 2 était paru, là tout de suite, maintenant, que je ne me jetterais pas dessus ...Mais il y a un gros MAIS!J'ai pris mon courage à 2 mains pour relire tout le fil(en "cours de lecture, donner des impressions négatives, avec réserves d'usages... ça ne me gêne pas)Donc, l'auteur prétendait avoir déjà écrit la totalité de sa trilogie, y avoir travaillé 7 ans, avoir fait lire le premier tome à des centaines de lecteurs...Déjà, à la 2 ème interview (2007), il confesse un "mensonge"...Maintenant, aucun doute sur la nature de celui-ci : il n'avais PAS écrit la suite....C'est de la com... moi - je suis "d'époque"- j'appelle ça du "f..tage de gueule"Il y avait eu le même scénario avec Scott Baker et "le prince du néant" (adoré le un - pas aimé le 2)alors - chat échaudé craint l'eau froide" - la méfiance règne.Autre "bizarreté" le livre VF a 780 pages - pas "compressées" du tout (agréable à lire),j'ai cherché pour la VO en broché : 662 p. : ça ne me paraît pas trop suffisant en plus, le français demandant plus de mots ?Je suis la seule à me plaindre de l'écriture, mais je maintiens, malgré mon intérêt, il y a toujours de la gêne :je ne sais pas dans quelle mesure critiquer la traduction?page 768
Définition de cruelle : personne prenant plaisir à provoquer volontairement la souffrance physique ou morale d'autrui (ou d'un animal)ça ne colle pas du tout : j'aurais dit "dangereuse" ou parlé d'indifférence cruelle- cruelle ne s'attribue pas à la personne, mais aux conséquences de son comportement, faisant souffrir les autres sans qu'elle y mette de l'intention Pour moi, c'est un contresens...et cela me fait dire que, s'il met tant de temps pour le tome 2, il y a de l'espoir d'amélioration,car il y a un sacré potentiel, dans cette histoire!"Je sais qu'elle est charmante, fascinante et tout et tout, mais elle semble plutôt ... cruelle._elle l'est.... _"cruelle" est un mot qui la définit bien.Mais je crois que quand toi tu l'utilises, tu penses à autre chose.D. n'est ni méchante, ni corrompue, ni dédaigneuse. Elle est cruelle
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J'en ai tellement entendu parler à sa parution en vf, que j' l'ai acheté en poche en vo: c'est moins cher !C'est un de mes livre préférés de l'année dernière.M'étant bien plongée dans l'histoire, je ne me suis pas posée de question sur le mot "cruelle". Effectivement, elle est très indifférente et veut garder sa liberté.
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j'aime beaucoup le décor derrière les deux produits non finis (ben le bébé marche pas et le livre est pas encore près pour l'édition donc c'est pas fini) Est-ce la bibliothèque encore "à garnir" du local de travail de Rothfuss ? parce qu'elle a l'air prête à recevoir un paquet de bouquins (cf les parpaings qui soutiennent les planches 
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J'ai fini le pavé de Patrick Rothfuss ce matin ! :pOn entre rapidement dans le vif du sujet puisque que l'introduction ne fait que 70 pages agrémentées de 2 histoires (celle des Scaels et celle de Chroniqueur) : on n'est à des années lumières d'une mise en poussive (suivez mon regard...)Ensuite les pages tournent très vite sans qu'on s'ennuie un seul instant (oh si des fois quand même, mais jamais plus de qques pages), et tout cela est bien écrit et bien construit.Si l'auteur a bien un vrai talent c'est celui là : posséder un style fluide qui permet d'éviter l'ennui sans recourir aux artifices ou à la surenchère permanente.Bon c'est vrai que la majeure partie du roman lorgne du côté et que l'auteur privilégie aussi les explications scientifiques à l'action et au fantastique à certains momentsLes derrières pages nous rappelle que nous n'en somme qu'au début de l'aventure :à la demande de Witch, balises spoiler
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C'est drôle, je n'avais pas du tout vu ça à la lecture de Rothfuss. Je ne sais pas si il faut faire la comparaison avec HP dès que l'intrigue se déroule dans une école, même de magie. Maintenant, j'ai peut-être raté quelque chose, tu veux bien développer un peu? Merci;)Bon c'est vrai que la majeure partie du roman lorgne du côte d'Harry Potter (Draco et Rogue en prime, mais on pourrait pousser l'analogie plus loin assez facilement)
