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J'ai lu Le gambit du magicien (3e tome de La Belgariade). Cela faisait quelques années que j'avais lu les 2 premiers tomes et je n'ai pas eu de difficultés pour me replonger dans cet univers. Il y a quelques rappels utiles de certains événements. C'est toujours aussi plaisant à lire pour son côté rafraichissant, pas prise de tête. Les dialogues malgré quelques petites longueurs sont globalement drôles. Le personnage de Silk est toujours aussi truculent. C'est bien pour se détendre. Evidemment que cela n'a pas la profondeur d'autres cycles de fantasy comme L'Assassin royal et Le Trône de fer pour ne citer qu'eux mais c'est très agréable à lire.

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Enfin fini ! pfiou !J'aurais eu du mal à le finir ce cycle. C'est sympathique à lire comme le disent la plupart des critiques antérieurs. Mais pour moi cela ne restera qu'une lecture comme une autre. Rien de très extraordinaire (de mon point de vue). L'histoire reste toutefois assez intéressante et originale. Le coté voyage nous fait découvrir des contrées ayant chacune leur charme et leurs particularités, notamment la nyissie, que j'ai beaucoup aimé. Ce que je reproche pour autant à ce cycle c'est de ne pas avoir réussi à me mettre des milliers d'images dans la tête. Je ne sais pas ce qui cloche avec l'oeuvre d'eddings, mais avec les livres précédemment lus, j'arrivais toujours à m'imaginer les scènes d'actions, les paysages merveilleux, etc. Et la à part quelques scènes
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J'ai eu un peu de mal à faire marcher mon imagination. Peut être que la lecture ne m'a pas plus emballé que ca. (il faut dire que la lecture des 5 tomes ne s'est même pas faite en une fois). Je verrai bien d'ici quelques semaines ce qu il en reste. Mais je ne pense pas le relire, ni lire la Malorée (enfin, pour le moment).Sinon beaucoup de personnes trouvent les dialogues marrant. Je dirais juste que "parfois" c'est marrant, mais pas plus que ca. J'ai cent fois plus rigolé avec Reyan de Kercian du Secret de Ji .Mais bon je ne regrette pas d'avoir lu au moins un cycle d'Eddings, au moins je l'ai lu, je pourrai en parler si on me demande ce que j'en ai pensé, etc. Et c'est toujours intéressant de lire les grands classiques qui sont appréciés par tant de personnes, même si cela n'a pas été forcément mon cas. (je suis méchant là ^^", c'etait bien mais pas transcendant). Mais bon apparemment les grands classiques ne me réussissent pas trop : l'assassin royal, la belgariade, l'épée de vérité.. Au suivant : le seigneur des anneaux !

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Disons que la Belgariade (ou la Mallorée) s'apprécient mieux quand on a pas un bagage fantasy trop conséquent. C'est bien pour commencer, mais les limites sont assez vite atteintes pour un gros lecteur.

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Luigi Brosse a écrit :Disons que la Belgariade (ou la Mallorée) s'apprécient mieux quand on a pas un bagage fantasy trop conséquent. C'est bien pour commencer, mais les limites sont assez vite atteintes pour un gros lecteur.
Pourtant je ne pense pas être un grand lecteur (meme si de plus en plus), on va dire une centaine de livres (de volumes)

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Je viens de terminer le codex riva qui m'a fait replonger avec bonheur dans le monde créé par les Eddings. Rien d'indispensable, mais un livre très intéressant à lire pour ce qu'il révèle de la méthode de travail de leurs auteurs qui savent prendre du recul par rapport à leurs écrits et exposent leur démarche sans prétentions et avec beaucoup d'humilité.Mention spéciale à l'introduction, très drôle.:)

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John Doe a écrit :pour ce qu'il révèle de la méthode de travail de leurs auteurs qui savent prendre du recul par rapport à leurs écrits et exposent leur démarche sans prétentions et avec beaucoup d'humilité.Mention spéciale à l'introduction, très drôle.:)
On ne doit pas avoir la même définition de l'humilité. :p:huh:;)

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Je suis en train de lire le 2em volume de ce cycle. Pour l'instant j'aime bien sans plus. Je suis assez d'accord avec l'avis de tonio. C'est bien mais c'est pas grandiose. Bon j'ai pas encore fini le cycle donc je vais pas faire une critique finale.Ceci dit j'aime pas trop le coté trop bon des personnages. Y a le bien (les gentils) et le mal (les méchants ... on aurait dit les inconnus). Bon ma lecture précédente c'était la compagnie noire donc forcément le changement est brutal mais j'aime bien que les héros aient une morale un peu plus poussé.

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C'est sûr que tu n'as pas choisi la voie la plus facile pour apprécier Eddings et ses personnages en passant de la Compagnie Noire à la Belgariade. ;) Ce n'est pas du tout la même optique, comme tu auras pu t'en rendre compte.

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LeChucK a écrit :Ceci dit j'aime pas trop le coté trop bon des personnages. Y a le bien (les gentils) et le mal (les méchants ... on aurait dit les inconnus). Bon ma lecture précédente c'était la compagnie noire donc forcément le changement est brutal mais j'aime bien que les héros aient une morale un peu plus poussé.
En effet, là tu changes catégoriquement de style .... Tu te feras ta propre opinion à la fin du cycle, mais j'ai eu pas mal de mal à le finir surtout les tomes 4 et 5. Un peu trop gentil, gnan gnan. Mais bon après j'ai quelques souvenirs sympas, comme la petite virée en nyissie. Mais au final après 1 mois, il n'en reste pas grand chose.
Gillossen a écrit :C'est sûr que tu n'as pas choisi la voie la plus facile pour apprécier Eddings et ses personnages en passant de la Compagnie Noire à la Belgariade. ;) Ce n'est pas du tout la même optique, comme tu auras pu t'en rendre compte.
+1, c'est sûr que la taille du gouffre entre ces deux oeuvres est assez énorme ^^"

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Un gouffre c'est peut être exagéré franchement.Comme le dit Gillo, ces deux séries n'ont pas du tout la même optique. Sans parler des qualités des œuvres, il est néanmoins évident qu'elles ne visent pas le même lecteur (ou le même lecteur mais dans un état d'esprit différent). C'est comme enchaîné La Tour Sombre et un des tomes Pratchett. Passer de l'un à l'autre n'est pas forcément ce qu'il y a de mieux pour apprécier les qualités intrinsèques de l'œuvre d'Eddings. Il faut être conscient du changement de style et ne pas comparer l'œuvre à l'aulne d'un style complètement différent.

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Aléthia a écrit :Un gouffre c'est peut être exagéré franchement.Comme le dit Gillo, ces deux séries n'ont pas du tout la même optique. Sans parler des qualités des œuvres, il est néanmoins évident qu'elles ne visent pas le même lecteur (ou le même lecteur mais dans un état d'esprit différent). C'est comme enchaîné La Tour Sombre et un des tomes Pratchett. Passer de l'un à l'autre n'est pas forcément ce qu'il y a de mieux pour apprécier les qualités intrinsèques de l'œuvre d'Eddings. Il faut être conscient du changement de style et ne pas comparer l'œuvre à l'aulne d'un style complètement différent.
Oui oui, Tout à fait d'accord avec toi Aléthia! On s'est mal compris je pense. Quand je parlais de gouffre, ce n'est pas par rapport à la qualité des 2 oeuvres, qui restent bien toutes les deux, mais au genre : dark fantasy pour l'un, high fantasy pour l'autre. Univers très sombre pour l'oeuvre de Glen Cook, avec une compagnie sans réelles moeurs (pas de preux chevaliers) et de l'autre coté les GENTILS gentils et les MECHANTS très méchants. ^^"

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Je compare pas la compagnie noire et la Belgariade. Je suis pas fou quand même :DMais c'est vrai que le coté gentils contre méchants présent dans 90% des œuvres de fantasy ça me lasse. J'ai arrêté de lire de nombreuses œuvres à cause de ça. Là je continue pour l'instant mais ce que tu dis tonio sur la suite me rassure pas des masses ...

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J'en suis à la fin du tome 2 de la Belgariade et je dois dire que je rame un peu pour le finir. Ok, ça se lit vite mais je trouve ça tellement convenu et sans surprise que la lecture est un peu fastidieuse :(Bon après, il y a des points positifs, j'aime beaucoup l'humour distillé par Eddings ainsi que certains personnages (Mandorallen) tout au long de l'histoire, même si ça ne rattrape pas la redondance scénaristique qui est à mon avis le gros point noir de son oeuvre.

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J'ai une petite question de traduction, je suis dans le tome 4, et je viens d'arriver au passage où nos protagonistes rencontrent Vordai et les "fenlings". Est-ce que quelqu'un aurait la gentillesse de me dire comment ont été traduits ses "fenlings" en français, parce que pour l'instant je les imagine un peu comme des loutres mais ça n'a peut-être rien à voir.... Merci !

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Je crois que c'est parce qu'ils sont décrits comme des loutres justement ^^J'avoue ne pas avoir eu le courage de lire les 14 pages de commentaires, mais je tenais quand même à ajouter mon grain de sel ici : Belgariade ou Mallorée ?Les préquelles !La Mallorée, je n'ai vraiment pas aimé. Même si le côté répétitif est "justifié" dans l'histoire (le laius : la prophétie se répète et blablabla), il m'a saoulé quand même.Et cette sybille est surement le personnage le plus énervant du monde. "Qui choisir ? Qui est gentil ? Gnagnagna"Comme si l'univers d'Eddings était subtil au point de ne pouvoir différencier que trop difficilement les bons des mauvais :pHeureusement que les préquelles ont été écrites. Au fond, Belgarath et Polgara sont les deux personnages indispensables du cycle pour moi, je ne pouvais qu'être aux anges quand ces livres sont sortis.Et je suis en général particulièrement fan des narrations subjectives, où la personnalité (la mauvaise foi, le jugement, les goûts) du narrateur se ressent à chaque mot.Bref, que du positif en ce qui concerne les préquelles :D

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J'ai fini la Belgariade le weekend dernier, c'était une lecture plutôt sympathique. Et je suis contente, parce que maintenant je peux dire que j'ai lu un des cycles "de base" de la fantasy (pas dans le sens mauvais du terme, mais je pense qu'Eddings fait partie des références quand on commence en fantasy).C'est un cycle qui se lit très facilement, même s'il y a quelques longueurs sur les 5 tomes. J'étais un peu embêtée après le 1er tome, parce qu'il ne s'était pas passé beaucoup de choses (début du voyage, rencontre avec quelques persos et un méchant, peu de révélations), et surtout parce que même si j'avais eu le temps de m'attacher aux personnages, j'avais l'impression qu'ils interagissaient peu entre eux. Contrairement à certains auteurs qui en font peut-être trop, là on connaissait peu de choses sur les protagonistes, il y a peu de descriptions (ou alors quelques mots de temps à autre, mais pas de grand blabla).Mais petit à petit, avec les tomes suivants, mon opinion a changé. Les relations se sont construites peu à peu, les personnages se sont révélés, et ça m'a beaucoup encouragé dans ma lecture. Bien sur, j'aurai aimé en voir plus sur certains (comme Hettar ou Mandorallen), mais j'imagine que pour ça, il me reste à lire la Mallorée. Concernant l'intrigue, certes elle est relativement classique (des prophéties, un voyage, de la magie, un grand méchant), mais elle est bien menée, cohérente, et tout ce qui l'entoure (décors, cultures, personnages) est suffisamment riche pour qu'on ne se lasse pas. C'est vrai qu'il n'y a pas de gros rebondissements de fou, ou d'ambiguité dans les personnages (ou très peu), mais les petites touches d'humour et de poésie distillées dans le roman permettent de ne pas s'ennuyer non plus. Et puis on évite aussi globalement les clichés qui pourraient rendre l'ensemble un peu niais, comme les histoires d'amour dramatiques et passionnées, ou les sacrifices en pagaille. Et tant mieux.Au final, il me reste une bonne impression, pas le cycle le plus original ou le plus prenant, mais un roman bien écrit, bien imaginé et agréable à lire. Je reconnais avoir été contente d'arriver au bout (un peu de longueur dans le tome 5 avec la mise en place de l'armée de Ce-Nedra, et un duel final presque trop rapide), mais j'en garde un bon souvenir. Pour moi ça sera un 7,5 ou un 8/10 (je suis pas décidée aujourd'hui !)