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Bonjour,D'abord, Je ne sais pas si c'est le bon endroit pour poser ma question et si ce n'est pas le bon : désoléC'est une question pour les lyonnaisConnaissez-vous un bouquiniste qui serait un peu spécialisé en Fantasy ? Bouquiniste car mes finances sont un peu à plat en ce moment (fleur oblige).C'est vrai que j'ai envie d'essayer Carey mais peut-être d'abord en occase (Witch pas taper pas taper):p
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Je viens de recevoir un petit mail annonçant l'ouverture du site internet de cette formidable librairie située à Tours...http://www.imaginaute.com/
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Misanthrope, voilà une nouvelle intéressante ! Je vais justement squatter chez mes parents ce weekend, et c'est juste à côté ! Sinon moi j'ai une question, j'ai essayé de rajouter une librairie (onglet librairie du site) et ça a pas marché, est-ce que c'est moi qui ait fait quelque chose de travers ?
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N'étant pas nantais je ne peux pas te répondre, mais je sais qu'il y a une bonne librairie à Nantes, tu peux toujours t'adresser à eux je pense : http://www.elbakin.net/librairies/ville/nantes.Et sinon, aux Utopiales il y a aura un bon panel des libraires nantais, ce sera peut-être l'occasion de trouver ce que tu cherches.Nirnaeths a écrit :Bonjour bonjour!Aux Nantais : Y a t-il une librairie qui fait de l'occasion sur la Sf/fantasy?
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Euh, je suis pourtant bien sûr d'avoir posté hier...
http://www.elbakin.net/edition/14821-Le ... Imaginaire

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En parlant de la situation des libraires : http://www.syndicat-librairie.fr/fr/com ... stribution
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Si ça pouvait calmer un peu les grosses machines style Hachette ou Gallimard, ce serait intéressant, et ça permettrait au libraire de faire plus facilement son vrai métier, qui consiste davantage à mettre en valeur les livres qu'il apprécie plutôt que d'emballer ou de déballer des cartons.Mais si c'est réellement mis en place, m'étonnerai pas qu'il y ait des mesures de rétorsions (droits de retour) 

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Les offices c'est dans les librairies de premier niveau. Je crois plutôt que ça ne changera rien pour la représentation des grands groupes d'édition. Par contre on risque de trouver beaucoup moins les petits éditeurs qui ont des ventes faibles et qui pour certains libraires sont considérés comme encombrer trop les rayons. Donc ça me fait plus peur qu'autre chose. Il ne faut pas oublier que les libraires, ils préféreraient ne mettre en place ce qui se vend le mieux et négliger le reste. Sauf bien sûr ceux qui ont des vendeurs passionnés qui font le travail. Mais j'ai bien peut qu'ils soient de plus en plus rare. Il faudrait par contre qu'il y ait plus de librairies spécialisées.Pumila a écrit :Si ça pouvait calmer un peu les grosses machines style Hachette ou Gallimard, ce serait intéressant, et ça permettrait au libraire de faire plus facilement son vrai métier, qui consiste davantage à mettre en valeur les livres qu'il apprécie plutôt que d'emballer ou de déballer des cartons.Mais si c'est réellement mis en place, m'étonnerai pas qu'il y ait des mesures de rétorsions (droits de retour)
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Pas uniquement pour le premier niveau, je peux te l'assurer. Par le biais des relais de distribution réionnaux, bon nombre de niveau 2 sont également servi en office, d'autant qu'un niveau 1 pour un diffuseur n'est pas forcément un niveau 1 pour un autre…Après, il est évident qu'une grande surface spécialisée préfèrent mettre des piles de Musso et de Rowling que mettre en avant des auteurs moins connus, donc à ce niveau-là, ce que tu dis est juste. Mais cela ne concerne que les auteurs des éditeurs pratiquant l'office par le biais des diffuseurs, pas les petits éditeurs qui sont souvent diffusés par des diffuseurs de moindre importance ne pratiquant pas l'office. Donc à l'arrivée, ce genre de pratique peut permettre d'occuper un peu moins les rayons avec des ouvrages d'un même groupe, et offrir davantage de diversité.Pour ce qui est des "vendeurs passionnés qui font le travail", j'observe, mais peut-être me trompe-je, que cela revient très sensiblement, en réaction à la concurrence d'amazon et de sa longue traîne.Fabien Lyraud a écrit :Les offices c'est dans les librairies de premier niveau. Je crois plutôt que ça ne changera rien pour la représentation des grands groupes d'édition. Par contre on risque de trouver beaucoup moins les petits éditeurs qui ont des ventes faibles et qui pour certains libraires sont considérés comme encombrer trop les rayons. Donc ça me fait plus peur qu'autre chose. Il ne faut pas oublier que les libraires, ils préféreraient ne mettre en place ce qui se vend le mieux et négliger le reste. Sauf bien sûr ceux qui ont des vendeurs passionnés qui font le travail. Mais j'ai bien peut qu'ils soient de plus en plus rare. Il faudrait par contre qu'il y ait plus de librairies spécialisées.
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Les niveaux 2 n'ont pas de contact avec les diffuseurs et se servent chez des grossistes ou directement chez les distributeurs voir les éditeurs. Sauf qu'aujourd'hui la majorité des grossistes sont des plates formes appartenant au groupe Hachette. L'absence de grossistes indépendants ne joue pas forcément en faveur de la bibliodiversité. Et aucune mesure ne vient contrebalancer ce quasi monopole. On peut faire comme Gilles Dumay et se dire que librairie de deuxième niveau et maison de la presse sont des points de vente voués à disparaître et se dire que si la majorité d'entre propose une offre stéréotypée, ce n'est pas si grave. De toute façon dans dix and il n'y aura plus du tout de libraires et le livre papier aura disparu. Je trouve ce genre de propos condescendant et ne tenant pas compte du public.