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@ LeChucK100% d'accord : un excellent one-shot, sans doute méconnu et mésestimé dans l'œuvre de Glen Cook, qui pourrait permettre d'entrer dans l'univers de l'auteur sans aborder ses cycles très denses, très complexes et assez long.Qu'est-ce qui t'a déçu dans la fin ? le fond ? la forme ? un goût d'inachevé ?

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Attention je spoile un peu la fin. C'est pas la forme (même si je trouve un peu brouillon ce qui se passe dans le château à la fin) ni un goût d'inachevé. C'est surtout que la fin est un peu trop happy-end. Bon je m'attend pas à chaque fois qu'il y ai 50 mort dont toute la famille du héro. Mais je sais pas j'ai trouvé la fin trop "facile". Je sais pas comment expliquer. Les 10 dernières pages (à partir de la mort du général) ça va très vite tout s'enchaine chaque groupe s'active et j'ai l'impression que tout d'un coup tout se termine en 2 pages.

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J'ai beaucoup apprécié le roman, mais ce n'est pas mon préféré de Cook. J'ai trouvé que ça manquait un poil d'enjeux (peut-être un peu plus de magie bien sombre comme l'auteur sait si bien en faire ?) pour vraiment décoller.Mais à côté de ça, on a une belle galerie de personnages (Aaron, Azel, Yosef,...) qui essaient chacun de survivre/tirer leur épingle du jeu, le tout dans une ville-personnage. Ça bouge pas mal et, comme toujours avec Cook, ça démarre dès la première page. Bref, on ne s'ennuie pas.

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Merwin Tonnel a écrit :J'ai trouvé que ça manquait un poil d'enjeux
Au vu de ce qu'on a pu lire par ailleurs, des enjeux il en a d'autant plus qu'il y a effectivement une belle galerie de personnages. Mais c'est aussi le syndrome one-shot : pas facile de caser autant de choses à amener et à développer en peu de page.L'épilogue est particulièrement rageant : on sent que Glen Cook avait des idées qu'il a gardées sous le coude plutôt que de continuer dans le même univers... Un diptyque à la Rigante aurait été très très chouette : sus aux Romains Hérodiens !!!Johnny Deep dans le Chocolat : à chaque chocolat qu'on lui offre "il est délicieux, mais ce n'est pas mon préféré..." ;)Merci bien de remonter le topic d'un Glen Cook pas si facile cela à se procurer. :)

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J'annonce : j'ai commencé Qushmarrah et à la page 87 (pour être précis), je suis déjà accro :DAh, Glen Cook... Un style reconnaissable entre mille... Y'en a qu'un, c'est sûr ! ;)

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Comme partisan d'à peu près tout ce qui s'est opposé à Rome et comme lecteur de Cook j'avais bien apprécié cette lecture même si je n'aurais probablement pas du lire les dernières lignes concernant les évènements se déroulant après le roman. Pfff, quand je pense que certains parlent de fin heureuse :( .

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tres bon livre en one shotla psychologie des persos est toujours aussi travaillée et le nombre d'intervenants permet de se "perdre" avec plaisir dans l'intrigue