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Typiquement pas du gadget !Eothain a écrit :- le marque page, gadget, oui, comme le compte à rebours, oui... mais au bout d'un moment ça rentre, et puis ça rajoute à l'atmosphère, comme une touche spécifique, propre à cette création.
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c'est bien ce que je dis, le côté gadget ne me derange pas outre mesure, je sais et je vois qu'on a affaire à un très bon livre, c'est indéniable et on a tous nos cartes en debut de tomes fantasy on sait bien ce que ça implique;-) le "syndrome Silmarillon", je fais reference a la multitude de noms qu'on est obligé sans cesse d'aller checker dans l'abre genealogique de fin pour se rappeler qui est quoi et de quelle lignée et fils de qui (bon, c'est Tolkien apres, les ramifications du genre" et on l'appelait Emyn Muil, la rivière d'or , qui chez les nains s'appelle Akbath Nekelem, chez les hommes, la Grande Rivière de l'ouest car elle était longue", on en a des chiées). Dans la Horde du Contrevent, on ne se rappelle pas une page sur dix a quel symbole correspond quel personnage, il faut toujours se remettre au marque page pour s'en souvenir et ça me ruine le plaisir de lecture et l'immersion dans l'univers, que je trouve du coup difficilement cernable... Je pensais aussi plus à de la Sf, et non, je ne me fout pas de l'univers, j'aime savoir où je vais et où je suis, sauf quand ça degenère bien assez vite pour que tu ne lâche pas ,je pense typiquement à la Tour Sombre, de King, qui dès la fin du premier tome t'en dit bien plus...Je retenterais l'experience Contrevent mais quand j'aurais pas plus excitant à lire , ce qui en ce moment n'est pas le cas.
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Je suis bien tentée par ce livre, qui me fait penser à un autre que j'ai lu : Dehors les chiens, les infideles de Maia Mazaurette.Voici un petit résumé"Nous sommes en 1361 et voilà près de quatre-vingts ans que le soleil ne s’est pas levé. Depuis que Galaad a été défait par les forces de l’Occidan Noir à la bataille des Montagnes de Silensie, où fut perdue l’Étoile du Matin, la relique sacrée qui apportait la lumière sur le monde. Depuis, tous les cinq ans, les derniers croyants d’Auristelle envoient sur les routes un groupe de Quêteurs."Et celui d'Elbakin pour ce livre :"La forme ultime de cette opposition à l’élément Air ce sont les Hordes. Entraînés depuis leur plus tendre enfance, les membres qui composent une Horde ont pour mission de remonter le vent jusqu’à sa source, afin de percer le mystère de sa genèse. Depuis huit siècles, trente-trois Hordes se sont succédées. "Y aurait-il une quelconque ressemblance? Ou inspiration étudiée de Mazaurette?
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+100J'ai vraiment trouvé ça pénible de tout le temps se référer au marque pages, en plus durant les 50 1ères pages je n'avais même pas remarqué que le marque page servait à ça, je l'avais mis rapidement de côté et j'utilisais mon marque pages habituel, donc je me référai au 2ème de couverture je crois (j'ai l'édition poche). C'est vraiment ce que j’appelle une fausse bonne idée. Je comprends la volonté de l'auteur d'avoir voulut créer un livre univers, l'intention est plus que louable, mais au final c'est gênant. Ca, plus la ponctuation pour simuler le vent, les néologismes tout vilains, les nombreux personnages secondaires de la Horde qui laissent indifférent, ça fait beaucoup! Mais c'est bouquin qui reste intriguant, on peut pas lui retirer ça...Corgan a écrit :Dans la Horde du Contrevent, on ne se rappelle pas une page sur dix a quel symbole correspond quel personnage, il faut toujours se remettre au marque page pour s'en souvenir et ça me ruine le plaisir de lecture et l'immersion dans l'univers, que je trouve du coup difficilement cernable...
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Je me permet de préciser que la parenthèse est une illustration des appellations à tiroirs qu'on peut trouver chez Tolkien, mais aucun de ces noms n'est un synonyme des autres.Sur le concept de la Horde de mettre des signes pour désigner les locuteurs, paginer autrement, ponctuer le vent, et même -selon l'édition- faire un disque audio, je crois que c'est justement pour que nous, lecteurs, sentions un monde différent, avec une approche différente.Imaginez le premier furvent façon météo france : "un vent violent de niveau 25 sur l'échelle de trucmuche qui n'en compte que 8, avec des rafales atteignant mach 6, et de possibles tourbillons aléatoires en zone dépressionnaire...ah oui, on ne sait toujours pas s'il pleuvra un jour"Corgan a écrit :(bon, c'est Tolkien apres, les ramifications du genre" et on l'appelait Emyn Muil, la rivière d'or , qui chez les nains s'appelle Akbath Nekelem, chez les hommes, la Grande Rivière de l'ouest car elle était longue", on en a des chiées).
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Pour avoir lu les deux, je n'ai pas trouvé de similitude (autres que celle du genre : groupe qui part en quête).Je pense que le principal intérêt de la Horde est son écriture. Donc si on accroche pas au style, c'est difficile d'aimer le livre.Brise a écrit :Y aurait-il une quelconque ressemblance? Ou inspiration étudiée de Mazaurette?
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Mon homme m'a fait la même réflexion en terminant Dehors(...) il y a 1 semaine, tiensBrise a écrit :Je suis bien tentée par ce livre, qui me fait penser à un autre que j'ai lu : Dehors les chiens, les infideles de Maia Mazaurette.Voici un petit résumé"Nous sommes en 1361 et voilà près de quatre-vingts ans que le soleil ne s’est pas levé. Depuis que Galaad a été défait par les forces de l’Occidan Noir à la bataille des Montagnes de Silensie, où fut perdue l’Étoile du Matin, la relique sacrée qui apportait la lumière sur le monde. Depuis, tous les cinq ans, les derniers croyants d’Auristelle envoient sur les routes un groupe de Quêteurs."Et celui d'Elbakin pour ce livre :"La forme ultime de cette opposition à l’élément Air ce sont les Hordes. Entraînés depuis leur plus tendre enfance, les membres qui composent une Horde ont pour mission de remonter le vent jusqu’à sa source, afin de percer le mystère de sa genèse. Depuis huit siècles, trente-trois Hordes se sont succédées. "Y aurait-il une quelconque ressemblance? Ou inspiration étudiée de Mazaurette?
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Il faut juste avoir un peu de mémoire. Surtout que ce sont presque toujours les mêmes que l'on retrouve en général. Donc avec 4 ou 5 signe en tête on fait 80% du bouquin. Mais il ne faut vraiment pas s'arreter a ca.Dark Schneider a écrit :+100J'ai vraiment trouvé ça pénible de tout le temps se référer au marque pagesCorgan a écrit :Dans la Horde du Contrevent, on ne se rappelle pas une page sur dix a quel symbole correspond quel personnage, il faut toujours se remettre au marque page pour s'en souvenir et ça me ruine le plaisir de lecture et l'immersion dans l'univers, que je trouve du coup difficilement cernable...
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Ah enfin merci Oeil de nuit, pas eu le temps de répondre jusqu'à présent et je me disais que quelqu'un en parlerait mais quand même faut pas exagérer, le style, l'expression de chaque personnage est empli d'une musique, d'un rythme, d'un vocabulaire différent. Quand Golgoth commence à tenir le crachoir y'a vraiment pas moyen de le confondre avec un autre Hordeux.Ou alors il faut, il me semble, avoir été un lecteur un poil inattentif.
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Meme sans ça, c'est toujours soudain dans un livre qui prend la pluri-narration ou les differents points de vue, de ne pas annoncer qui parle autrement que par un symbole, genre revenir sur tes "pas" et t'assurer que c'est le bon narrateur que tu lis.Je ne remets pas en cause la qualité du livre ou de l'histoire, je le redis, c'est objectivement un excellent roman, osé et fouillé, un livre-univers fait par un auteur exigent. Mais ça me tombe des mains , voilà tout.
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Oui pour Golgoth, mais ce n'est pas forcément le cas pour les autres personnages.En plus il n'apparait pas tant que ça (en tant que narrateur). Cependant comme tu le dis Witch, quand c'est lui, on le sait rapidement. ;)Pour lire, "apprivoiser" la Horde, je pense que c'est aussi une question d'effort, de volonté. Ce n'est pas un livre facile sur le fond et sur la forme. Il faut se donner l'envie de le lire en acceptant les "contraintes" de l'auteur.Perso, j'ai vraiment bien aimé la Horde.Witch a écrit :Quand Golgoth commence à tenir le crachoir y'a vraiment pas moyen de le confondre avec un autre Hordeux.Ou alors il faut, il me semble, avoir été un lecteur un poil inattentif.
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Nan mais bien sur, j'ai assez rapidement mémorisé les 3 ou 4 signes qui reviennent le plus, mais au bout de quelques dizaines de pages quand même. Et Golgoth est immédiatement identifiable, faut dire qu'il est tellement exagéré comme perso. Il n'en reste pas moins que j'ai trouvé ça chiant de mémoriser des signes, d'autant qu'ils se ressemblent beaucoup ces signes. Une fois de plus, c'est l'accumulation de tous ces "trucs" qui fait que ça en devient pénible. Au lieu de m'immerger dans le bouquin, ça a eu tous l'effet inverse. C'est ce que je disais plus haut : c'est une fausse bonne idée. Et de toute façon, je n'ai pas trop accroché à l'histoire... en revanche, ce qui dérange mon appréciation générale plutôt négative, c'est qu'il y a quelques passages que j'ai trouvé de toute beauté, où là je trouvais le ton juste, l'écriture belle, et de l'émotion. Néanmoins, c'est pas parceque les "gadgets" m'ont gêné, que j'ai trouvé ce livre très difficile à lire...ça reste à mon avis de la littérature SF tout à fait accessible... on est pas dans de la hard science ou des trucs comme ça.
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On se prend la tête pour pas grand-chose, à mon avis...Ce bouquin est complexe (j'utilise un terme suffisamment neutre) et pourtant l'écriture recherche la tripe... c'est un livre physique, de la matière que diable, mais il ne s'agit que de pages de papier alors Damasio se coltine des solutions symboliques, abstraites... pas le choix !Pour ma part l'effet marche à plein... les vents je me les suis mangés en pleine trogne, les mots de Golgoth découpent, ceux d'Aoi coulent et ruisselent, ceux d'Oroshi montent à mon cerveau, ceux de Sov m'interpellent, ceux de Caracole me font marrer et me laissent coi, ceux d'Arval simples et directs, un jeu...un livre physique, la matière est le papier...
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Juste pour nuancer. C'est une fausse bonne idée pour toiDark Schneider a écrit :C'est ce que je disais plus haut : c'est une fausse bonne idée.
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600
J'ai enfin terminé de le lire hier soir, commencé il a quelques semaines, maintes fois abandonné, j'ai rarement eu autant de mal à aller au bout d'un livre.Je n'ai pas accroché aux personnages, encore moins à leur quête qui ressemble plus Pourquoi Bref, de la bonne tradition bien stupide qui vire presque au fanatisme religieux, avec moi ça partait mal.Le style est lourd, avec ce principe de symbole pour chaque personnage. Alors oui on finit par connaître les principaux, mais quand il faut se coltiner ça au début, au moment où on encaisse le cours sur les formes du vent tout en ponctuation (ce qui ne sert absolument pas au lecteur plus tard), ça ruine le rythme et il y a de quoi décrocher.Ce qui m'a poussé à continuer, c'est la curiosité (et aussi que je n'avais plus rien à lire sur le moment).Un livre aussi recommandé ne pouvait pas être aussi vide, ni la fin être celle que je pressentais depuis le début, ça allait forcément bouger ... Autant dire que j'ai été déçu, la fin est telle que je le craignais, d'une banalité à pleurer, la description du monde est d'une telle pauvreté que tout le livre j'ai visualisé une horde avançant dans un monde rocailleux à la végétation rare, à la vie animale pauvre, et avant la Flaque je commençais à me demander s'il y avait des cours d'eau.Même les combats, pourtant originaux, manquent de clarté et de tonus dans leur description. Une belle déception.
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