Sylvadoc a écrit :Entre ça et le stupidboy précédent, est-ce qu'on peut juste éviter ce genre de mesquinerie qui dessert plus que ne sert vos propos ?
Et
Avez-vous la science infuse, abusé de quelque épice qui vous aurait rendu prescient ?

Je me demande qui est condescendant ? Si mettre en avant un fait est de la condescendance, alors oui je le suis (à savoir que Stupidboy est à l’origine de la référence aux US). La science economique est la pour etre utilisee, ce que je fais. Je pense simplement mettre en avant les outils qui demontre que le livre est un marche comme les autres et qui permettent d'expliquer la sitation actuelle.PS: Si j'avais voulu etre condescendant j'aurai mis un lien sur un article avec que des maths

Je vous remercie de condescendre à nous éclairer de vos lanternes magique et je note bien vos leçons d'économie. Si vous pouviez cependant admettre que l'économie n'est d'abord pas une science exacte - si tant est que ce soit une science d'ailleurs; qu'en outre les économistes ne sont jamais d'accord entre eux et qu'enfin une œuvre culturelle répond aussi à d'autres choses que la loi de l'offre et de la demande, on aura fait un grand pas en avant.
La science économique n’est pas une science exacte si tu l’entends dans le sens une hausse de tant de % aura dans tous les cas et toutes les situations tel pourcentage d’impact.Mais c’est une science de l’action humaine. Si le prix est supérieur au prix de marche, alors il y aura pénurie. C'est toujours vrai. Aucun économiste ne niera se fait. Mais chacun aura son avis sur le pourcentage :)Les différences portent généralement sur les moyens de résoudre les problèmes et la méthodologie. Mais bon ce n’est pas le sujet.L’œuvre est un bien qui répond a une offre et demande. Que cette offre et demande aient d’autres raisons que la plupart des biens n’est pas un problème. Nous ne nous intéressons pas aux raisons de la demande et de l’offre, juste qu’elles existent et son impact en cas de changements de configuration de la demande et de l’offre.
Personnellement, je ne suis pas dogmatique du prix unique et je note comme vous la crise au pays du Livre, mais je pense que cela vient beaucoup plus d'un problème de société et de civilisation que d'un problème purement économique - que je ne nie pas mais que je ne trouve pas essentiel.
Ce qui correspond entre autre a ce que tu dis et je dis sur l'offre et la demande. Tu parles de la cause, que je ne commenterai pas, et moi de la consequence sur le marche.Les changements de préférences des individus a forcément des impacts sur la demande et ou l’offre ce qui est analyse par l'economie.