Mithounet a écrit :Pour Zébulon : [...]

Pas sûr que ce soit vraiment le sens de la question de Zébulon, pour le coup ! je comprends plutôt ça comme "pourquoi avoir fait cette version tronquée"... non ?;)

Ah oui, c'est bien possible.Je ne bosse pas chez eux mais je suppose qu'ils ont estimé quelques passages indigestes ou trop longs pour le lectorat habituel de la collection "Black Moon"...

Ils ont fait pareil avec les Hauts de Hurlevent et Jane Eyre

Aléthia a écrit :Ils ont fait pareil avec les Hauts de Hurlevent et Jane Eyre

[TROLL on]Oui, mais là, ils avaient raison... [TROLL off... quoique] Du coup, c'est une collection sponsorisé par Reader's digest ? Et est-ce qu'ils annoncent clairement la couleur ?

Publivore a écrit :Et est-ce qu'ils annoncent clairement la couleur ?

D'après les commentaires sur amazon, non, il n'est pas précisé sur la couverture que ce n'est pas le texte intégral.

oui Publivore, c'était bien le sens de ma questionje m'interrogeais sur la raison de cette version du reader's digest

Gwendal a écrit :Hum la direction artistique des Utopiales ? Etrange.

Même réaction... Alors j'ai fouiné, mais je reviens presque broucouille.Déjà, je trouve ça étrange parce que sur le site de Razzie, je n'ai trouvé que des trucs sur le cinéma et rien qui annonce les résultats publiés par Bifrost. Du coup, j'ai cherché du côté de Belial (éditeur de Bifrost) et pas grand chose de plus.Le seul truc que j'ai trouvé c'est une histoire comme quoi la remise du Grand Prix de l'Imaginaire, ayant lieu aux Utopiales à Nantes depuis une dizaine d'années était passée à Saint-Malo et son festival Etonnants Voyageurs Du coup, après avoir enquêté, je me demande : Êtes-vous sur de l'intitulé ? Est-ce bien les Utopiales qui sont visées et pas le Grand Prix de l'Imaginaire, maintenant à Saint-Malo ? Car aux Utopiales c'est le Prix Européen des Utopiales et le Prix Julia Verlanger qui sont remis... pas le GPI.Et alors, ça serait plutôt compréhensible car j'ai lu des commentaires d'auteurs et de fans du genre que le changement n'avait pas convaincu (raison de planning avec les Imaginales je crois, le moindre impact du festival Etonnants Voyageur, pas vraiment axé SF/Fantasy, la diminution du public vu que le Festival est de base plus petit, le manque d'accessibilité de St-Malo par rapport à Nantes et le prix parait-il exorbitant de l'entrée.)Bref, tout un tas d'élément qui ferait comprendre cette remise du prix Razzie à l'organisation de la remise du Grand Prix de l'Imaginaire (et non pas à ces pauvres Utopiales qui étaient très bien ! )Je ne vais pas acheter Bifrost pour vérifier, quelqu'un pourrait-il éclairer notre chandelle ?

Déjà, je trouve ça étrange parce que sur le site de Razzie, je n'ai trouvé que des trucs sur le cinéma et rien qui annonce les résultats publiés par Bifrost.

Les Razzies de Bifrost ne sont pas affiliés aux Razzies "officiels", qui sont effectivement un contrepoids aux Oscars, donc pour le cinéma (comme les Gérards le sont pour les Césars en France).Sinon, j'ai l'article de Bifrost sous les yeux, et il n'y a pas d'erreur. Ce choix a été motivé par les auteurs invités (principalement Atalante et très peu Fleuve Noir ou Orbit), des auteurs qui ont parfois vendus environ 59 exemplaires dans leur carrière (sic), les interventions peu convaincantes de Danièle (ou Danielle) Martiginol, des tables rondes avec des intervenants qui n'y connaissent rien,... D'après l'article, ce qui sauve le festival de cette année, c'est le cosplay, le ciné et les expos (donc Broadmore ).

Ben heu... je ne suis pas férue de de genre d'évènements mais à Angoulême aussi il y a des stands avec des gars inconnus, ça sert aussi à ça les festivals. ( Et je crois que c'est Martinigol et elle écrit de la SF jeunesse qu'on trouve souvent en bibli'). S'il y avait une critique à faire, ça serait plutôt sur le tenue en elles-mêmes des conférences que sur les intervenants, cad la qualité des animateurs. De là à sortir le carton rouge, c'est un peu beaucoup (surtout que pour le coup, en effet, ils avaient fait de gros efforts sur la programmation des films et ça valait plutôt une révérence qu'une tape globale sur les mains ! )Mais bon, j'ai lu aussi que le but de ces razzies c'était "l'humour", pas se prendre au sérieux tout ça, donc bon, si ça amuse des gens, tant mieux pour eux ! (Moi, je vais voir de ce pas s'il n'y a pas une pétition pour ramener le GPI à Nantes ! )

"humour"= un jury de teigneux qui crachent sur les autres

http://blog.belial.fr/post/2013/02/20/R ... ix-du-pireLes Razzies, c'est fini, certains seront soulagés !

Gillossen a écrit :http://blog.belial.fr/post/2013/02/20/R ... ix-du-pireLes Razzies, c'est fini, certains seront soulagés !

Fini de rire, c'est la crise.De toute façon, mieux vaut promouvoir ce qui le mérite et ne pas parler du reste.

J'ai lu en diagonale (vraiment) trèèèèèèèèèèèès rapide, mais je n'ai pas compris que c'était le dernier "définitivement"... Mais plutôt le dernier "en date", non ?

A priori, non. Je me permets de citer un mail :

Non, pas de Razzies cette année (ni les suivantes a priori). Olivier et Gilles en avaient marre, tout simplement.

Ha oui, là c'est plus clair. (j'insiste mais je n'avais pas ressenti ça dans l'article source)

Les flops, c'est par ici !

Mon flop lu en 2013 mais pas sorti en 2013 c'est Graceling pour moi.J'ai vraiment détesté. J'ai trouvé cette histoire pire que convenue, j'en ai parlé dans le topic approprié et je n'en démords pas, je ne comprends vraiment pas ce que l'on peut trouver à ce livre. Et mention spécial à Katsa, l'héroïne au destin trop trouble, la super tueuse qui casse des doigts pour se faire respecter :giveup:Dans la catégorie sorti en 2013 et lu en 2013 : Martyrs de Peru et La Voie du Dragon d'Hanover.Martyrs au départ je trouvais ça pas mal, les premiers chapitres sont vraiment emballant. Mais, j'ai trouvé cette histoire sans méchant assez difficile à accrocher au final. De plus, l'histoire d'amourette prend énormément de place et alourdit le rythme. Dommage car il y a tout de même des bons points, notamment l'univers.Pour La Voie du Dragon, si certains chapitres (et Cithrin !), notamment ceux de la fin rattrapent un peu le tout, l'ensemble est par trop inégal et lent pour en faire une bonne histoire à mon sens. L'univers mériterait d'être davantage montré au lecteur, parce que se contenter d'évoquer 14 races très différentes c'est un peu court pour se faire une idée des races en question par exemple. Là encore, les bons points sont présents, notamment l'évolution de Cithrin, mais d'autres personnages ne sont pas autant gâtés et restent bien trop monodimensionnels.

Au rayon des déceptions de 2013, je lâche les chiens sur :-Même pas mort, de Jaworski. C'est super bien, et je le recommande chaudement, mais ce n'est pas la claque que j'attendais. Bellovèse manque de répondant, pour le moment.-The ocean at the end of the lane, de Neil Gaiman. Bien mais sans plus. Un peu paresseux.-J'ai copieusement détesté Waylander, de David Gemmell. -Last whisper in the dark, polar de Tom Piccirilli. Reprends-toi, Tom, nom de Zeus ! -j'ai aimé sans vraiment m'enflammer La désolation de Smaug. Petit bof, donc. Je ne sais pas... La tête de ce film ne me revient pas...A mettre en parallèle avec le top 10 sur le topic dédié.

Allons y aussi pour mes déceptions de l'année.Les Héros de Joe Abercrombie. Autant Servir Froid intègre haut la main mon top 10 autant ces héros m'ont laissé de marbre. Une grande bataille homérique pendant trois jours, très peu pour moi...Le Chevalier Rouge de Miles Cameron. Trop lent, trop long, je passe mon tour

Mes flops de l'année sont d'autant plus décevants qu'on me les avait vendus, ici et ailleurs, comme des chefs-d'oeuvre absolus à ne manquer sous aucun prétexte :The Grim Company de Luke Scull : la palme du personnage le plus imbuvable de la fantasy, un style que j'ai trouvé très plat et pas vraiment d'originalité.La Voie de la Colère d'Antoine Rouaud : j'ai lu 200 pages et je n'irai pas au bout. Les personnages me laissent de marbre, les flashbacks m'agacent, l'écriture est lourde et je vois venir le soi-disant "twist" depuis la page 50.Je précise que j'ai lu ces deux romans en décembre, alors que j'étais en quasi-burnout et ne pensais plus qu'à l'arrivée des vacances. Peut-être que ce n'était pas le meilleur état d'esprit pour apprécier...