5527
Bonne zone géographique
Les cavaliers dartars semblaient sortir tout droit des histoires de monstres nocturnes que les aînés racontent à leurs cadets pour leur faire peur.

5533
La puissance de Carthage m'a carrément mis sur la voie :)Allez, un petit hommage romantique à la désillusion, aux fantasmes ou aux gueules de bois, au choix. "Elle n'avait plus rien d'une ondine, plus rien de la lumineuse apparition embaumant la camomille qu'elle était à l'aube. Ses yeux n'étaient pas noirs, mais bleu pervenche. Elle avait des taches de rousseur sur le nez, la gorge et les bras. Ces taches de rousseur étaient tout à fait charmantes, en harmonie avec son teint et sa chevelure fauve. Á l'aube, quand elle était son rêve, il n'y avait pas prêté attention. Avec honte et regret, il constata qu'il lui en voulait. Il lui en voulait de ne pas être restée un rêve. Et il ne se pardonnerait jamais de lui en vouloir"

5537
Youhou ! J'ai tenu une dizaine d'heures ! :)En effet, il s'agit bien de Geralt le sorceleur, dans "Le dernier voeu" de Sapkowski (plus précisément, "La voix de la raison").Félicitations Muscardin ! De fait, la prose n'est pas extraordinaire. Quant à savoir si c'est la traduction ou pas, je n'en sais rien. Par contre, j'ai une question. Les nouvelles ont été éditées séparément ? Parce que moi je ne connais que par le recueil "le dernier voeu". Pourquoi tu proposes "un grain de vérité", qui n'est qu'un chapitre du livre ?EDIT : En parcourant le bouquin, je m'interroge sur mon édition (Pocket 2003). C'est normal que j'ai des chapitres "la voix de la raison au début, au milieu et à la fin ? C'est un vrai ou un faux recueil ?

5538
Moi je l'ai lu en e-book : par exempleEnfin, quand je dis "lu", c'est plutôt "parcouru"... Et je pense qu'ils ont fractionné au maximum pour vendre les nouvelles.Du coup je ne me suis pas vraiment renseigné sur les versions papier...

5539
Allez hop, moi aussi j'ai du mal à garder ma concentration dans ces cas-là...
L'énergie était à présent bien répartie sur tout le corps du jeune homme.Elle percevait sa peau, sa chaleur, et n'était-ce le martèlement de son propre coeur, elle aurait pu détecter le sien. Soudain, elle réalisa qu'elle le sentait aussi bien que s'ils étaient nus, l'un contre l'autre. Sa concentration se brisa net.