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OK, bien zlatané. Sinon, autour de mon erreur que tu as très justement relevée il y avait aussi des mots qui formaient des phrases, lesquelles tentaient d'exprimer un embryon de réflexion concernant le sujet traité.J'imagine que ça ne t'a pas échappé, et ça m'intéresserait beaucoup plus d'avoir ton avis sur l'ensemble que d'écoper d'une simple pique, aussi juste soit-elle, sur ce faux-pas.Et puis, ça enrichirait très certainement le débat.Charéos a écrit :Bon, c'est de Sparte ou des Spartiates, mais pas des Spartes hein, faut choisir ;)Parce que les Spartes, ça renvoie à un peuple de la mythologie grecque.Ethan Iktho a écrit :(...) criticable des Spartes dans la Grèce Antique (...)
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@ Hrodwulf : « J'aimerai donc que nous discutions de tout cela ici! Que cela soit par une remarque générale ou sur un récit de lecture personnel!A travers un sous-genre, un auteur, une oeuvre particulière! »Voilà qui s’appelle ouvrir un thème….à tous les vents. ;)Voici mes brises ::arrow: 1_Déjà fait-on le distinguo entre « morale », « code moral », « valeurs », « code d’honneur »,….. ? Un perso qui incarne « Le parfait chevalier » peut se conformer à l’archétype parce que sa profession et sa réputation l’exigent.Et être, humainement parlant, un véritable fumier.Se comporter selon un archétype socialement encensé et approuvé ne garantit en rien que le perso croit ou « est » ces valeurs. Incarner sans être si tu préfères… ou être sans incarner...Mais alors là ça devient philosophique et ça cause des allergies…. En plus il est tard et je vais écrire des âneries. Le résultat typique est « cet éternel exemple du bon père de famille se transformant en ignoble pillard/violeurs lors de la chute d'une cité » illustré dans les livres de David Gemmel (j’ai pas encore lu l’auteur) que cite plus haut Asavar.En temps de guerre, la société est laxiste. Les codes sont brouillés. On n’a pas forcément à assumer les conséquences de ses actes, il n’y pas pas / plus de témoins. Hormis soi-même. Mais l’auto justification est aisé : C’était les méchants », « Ils l’ont cherché » ou « Je suis traumatisé donc j’en blesse un autre pour évacuer ma souffrance », etc.Pas mal de persos dans la Fantasy (où ça guerroie dur) se trouvent confronté à ce machin.
2_Dans les jeux de rôles et Cie. On parle bien « d’alignement ». « l'alignement des personnages va de neutre/loyal à chaotique/ mauvais » (Speedi Crafty : j’ai repris ta réaction car ça illustrait parfaitement mon propos)Le joueur s’aligne sur un code de conduite puis réagit en adéquation avec la catégorie choisie…. Pour quoi au juste ? Bah, c’est justement un jeu de rôle…On s’aligne : on suit les contours d’un profil déjà connu qui nous définit ce qu’il faut faire.NB : Petit tour sur Google : voir les images pour le mot « alignement » est très…..De là à ces notions de code moral formaté…Exemple concret, tiens. Voici un sacré os pour tes crocs littéraires: Aedan, Le chevalier à l’épine, dans la nouvelle « Le service des dames » dans Janua Vera de Jean-Philippe Jaworski.La création de ce perso est un coup de virtuose !Certain-e-s ne s’aligneront ( ) à mon avis, mais Aedan est une ordure. Et pourtant Aedan projette une aura de code d’honneur et incarne l’Archétype vivant du Chevalier Courtois.Du moins, c’est le masque qu’il offre.Perso, quelle que soit la lecture (lit ce bouquin, le style est un travail d’orfèvre !), Aedan est immonde. Je te laisse creuser.Faudra que je poste un truc sur Sieur Aedan, à un moment où l’autre….mais pas maintenant.Si Jaworski est capable de dresser un tel perso en quelques dizaines de pages, j’ose pas songer à ce qu’il a pu créer avec Don Benvenuto et le Podestat avec le pavé de Gagner la Guerre…:arrow: 3_Pour faire écho à Foradan : Souvent dans la Fantasy, c’est justement parce que la morale du perso principal, celle qui est en lui/elle, diffère trop (en ‘bien ‘ ou en ‘mal’) de celle de la société où il se tient que ce perso a un statut de paria…De là à savoir si c’est cette différence de morale qui en a fait un-e paria…. Ou si c’est ce statut de paria, en marge de la société, qui lui a permit de développer, voir de cultiver cette morale étrangère aux normes sociales….Là aussi ça devient philo….. 4_Je suis en train de me dire que cette différence entre valeurs personnelles portées en soi et des valeurs morales socialement bien vues est un puissant outil de Création de Héros (catégorie ‘good’ or ‘bad’)…:arrow: 5_Yksin remarque : « Don Benvenuto est un excellent exemple du manque flagrant de morale tout en possédant un certain nombre de valeurs... Oui je sais, c'est paradoxal. Quoique... »Yup!:arrow: 6_Moral ? Immoral ? Amoral ? Oulà….ça va être dodo pour moi.Là, c'est plus de la philo, c'est du zen étymologique...
2_Dans les jeux de rôles et Cie. On parle bien « d’alignement ». « l'alignement des personnages va de neutre/loyal à chaotique/ mauvais » (Speedi Crafty : j’ai repris ta réaction car ça illustrait parfaitement mon propos)Le joueur s’aligne sur un code de conduite puis réagit en adéquation avec la catégorie choisie…. Pour quoi au juste ? Bah, c’est justement un jeu de rôle…On s’aligne : on suit les contours d’un profil déjà connu qui nous définit ce qu’il faut faire.NB : Petit tour sur Google : voir les images pour le mot « alignement » est très…..De là à ces notions de code moral formaté…Exemple concret, tiens. Voici un sacré os pour tes crocs littéraires: Aedan, Le chevalier à l’épine, dans la nouvelle « Le service des dames » dans Janua Vera de Jean-Philippe Jaworski.La création de ce perso est un coup de virtuose !Certain-e-s ne s’aligneront ( ) à mon avis, mais Aedan est une ordure. Et pourtant Aedan projette une aura de code d’honneur et incarne l’Archétype vivant du Chevalier Courtois.Du moins, c’est le masque qu’il offre.Perso, quelle que soit la lecture (lit ce bouquin, le style est un travail d’orfèvre !), Aedan est immonde. Je te laisse creuser.Faudra que je poste un truc sur Sieur Aedan, à un moment où l’autre….mais pas maintenant.Si Jaworski est capable de dresser un tel perso en quelques dizaines de pages, j’ose pas songer à ce qu’il a pu créer avec Don Benvenuto et le Podestat avec le pavé de Gagner la Guerre…:arrow: 3_Pour faire écho à Foradan : Souvent dans la Fantasy, c’est justement parce que la morale du perso principal, celle qui est en lui/elle, diffère trop (en ‘bien ‘ ou en ‘mal’) de celle de la société où il se tient que ce perso a un statut de paria…De là à savoir si c’est cette différence de morale qui en a fait un-e paria…. Ou si c’est ce statut de paria, en marge de la société, qui lui a permit de développer, voir de cultiver cette morale étrangère aux normes sociales….Là aussi ça devient philo….. 4_Je suis en train de me dire que cette différence entre valeurs personnelles portées en soi et des valeurs morales socialement bien vues est un puissant outil de Création de Héros (catégorie ‘good’ or ‘bad’)…:arrow: 5_Yksin remarque : « Don Benvenuto est un excellent exemple du manque flagrant de morale tout en possédant un certain nombre de valeurs... Oui je sais, c'est paradoxal. Quoique... »Yup!:arrow: 6_Moral ? Immoral ? Amoral ? Oulà….ça va être dodo pour moi.Là, c'est plus de la philo, c'est du zen étymologique...
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Rhooo, faut pas le prendre comme ça chaton :)Bon sinon, ben comme j'étais d'accord avec le reste de ton message, je ne voyais guère quoi rajouter à ta contribution. En plus, si tu prends un historien par les sentiments, difficile d'aller te contredireEthan Iktho a écrit :OK, bien zlatané. Sinon, autour de mon erreur que tu as très justement relevée il y avait aussi des mots qui formaient des phrases, lesquelles tentaient d'exprimer un embryon de réflexion concernant le sujet traité.J'imagine que ça ne t'a pas échappé, et ça m'intéresserait beaucoup plus d'avoir ton avis sur l'ensemble que d'écoper d'une simple pique, aussi juste soit-elle, sur ce faux-pas.Et puis, ça enrichirait très certainement le débat.Charéos a écrit :Bon, c'est de Sparte ou des Spartiates, mais pas des Spartes hein, faut choisir ;)Parce que les Spartes, ça renvoie à un peuple de la mythologie grecque.Ethan Iktho a écrit :(...) criticable des Spartes dans la Grèce Antique (...)
