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Lu la moitié environ du livre qui me plaît beaucoup. Il y a suffisamment de cet humour mordant comme tu le soulignais justement Gillossen pour me plaire.Je ne pense pas effectivement que l'on puisse vraiment rire aux éclats à la lecture, même si le roman est très drôle.;)Lucifer avance en tout cas des arguments séduisants et forts convaincants.Et certaines scènes sont irrésistibles, comme la séduction d'Eve, .
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J'ai bien aimé, mais pas adoré comme je l'espérais. :-( Peut-être que j'en attendais trop.De bons moments, de très bons moments même, mais les digressions, incessantes, ont fini par me fatiguer. Un peu sur le même sujet, sorti à la même période, j'ai trouvé Cornes de Joe Hill un bon cran au-dessus. Faudrait d'ailleurs que je lui consacre un sujet. :-)Zedd
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L'auteur en fait parfois beaucoup dans le style "cocaïné" sex, drugs et rock and roll il est vrai.:groupe:Mais pour ce type de récit je pense que les digressions étaient inévitables.;)Un 7.5-8/10 pour moi.A noter que le nom du "héros" (Declan Gunn) est un anagramme pour l'auteur lui même (Glenn Duncan).
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Aucune attente particulière personnellement, et n'ayant pas lu le résumé, je ne savais pas trop à quoi m'attendre non plus. :)Je me suis bien marré au début, un humour cynique, noir, bien écrit. J'adore la manière dont s'est amené. :)Par contre, deuxième partie du livre, j'ai trouvé ça plaisant, mais sans plus, ça s’essouffle par les répétitions incessantes, et je rejoindrais donc l'avis de Zedd sur l'ensemble.
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Et donc UP de la chronique !Zaebas a écrit :Maintenant disponible en poche !

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Hop, je profite de la remontée récente du sujet pour donner mon avis. Terminé la semaine dernière la version poche. Délectable lecture ! J’ai beaucoup aimé. D’une part le style de l’auteur très soigné, fin et franc du collier, et de l’autre le regard de Lucifer sur notre monde, l’humanité et via un prisme théologique. Ironique, irrévérencieux, parfois à la limite du pamphlet et touchant souvent du doigt (crochu ou rongé jusqu’au sang) certains des travers et des tabous de la société, j’ai été diablement séduit par ce livre. Et toujours accompagné d’un ricanement "malsain" en arrière-pensée (gniark gniark gniark !). :vengeance:D’un autre côté, le propos m’a semblé très dense, le rythme bien soutenu et certaines références propres à la culture britannique (notamment via certains personnages du "showbiz’") ont fait que je me suis quelquefois perdu dans les digressions multiples qui émaillent le discours de Lucifer et l’alter-ego de l’auteur (anagramme à l'appui). Légères confusions donc, sans doute dues à mon ignorance, mais qui ne m’ont pas empêché d’apprécier cette (trop?) courte histoire.