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Complètement après la bataille je viens de finir ce premier tome.Aimable divertissement qui aura fort bien occupé mes trajets en bus le matin, j'ai souvent rit, souvent eu peur devant ma capacité à comprendre les clins d’œil à la pop culture anglaise, et si effectivement l'intrigue est un peu légère le ton et le héros donnent envie d'y retourner.Mention spéciale pour la couverture VO qui a achevé de me convaincre (lecture en ebook VO).
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J'ai lu le tome 4 à sa sortie en VO cet été (qui a dit précommandé une semaine avant pour que ma liseuse le télécharge automatiquement le jour de la sortie? 
) et je l'ai adoré pour toutes les raisons déjà invoquées ici (charactères, atmosphère...), même si Un petit bémol donc, mais qui ne m'empêche pas d'attendre déjà impatiemment le tome suivant! 
) et je l'ai adoré pour toutes les raisons déjà invoquées ici (charactères, atmosphère...), même si ► Afficher le texte
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C'est un peu un volume qui s'accentue surtout sur l'histoire au long terme, plutôt que l'enquête propre à ce tome.D'ailleurs on le voit bien dans le sens où certains persos ne sont plus présentés et presque pas décrits : quelqu'un qui n'a pas lu au moins l'un des trois précédents tomes risque d'être perdu et de ne pas comprendre certaines réactions ou comportement.Mais ça reste une lecture plaisante 
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Hum hum... hélas, on dirait bien que je suis la seule à ne pas avoir accroché du tout à cette série...:(Dire que ce roman que j’avais tellement envie de lire m’a déçue serait presque un euphémisme. Plus j’avançais dans la lecture, plus je me demandais avec un agacement toujours croissant où diable était le fantastique.C’est que le fantastique, en fait, ne sert ici que de prétexte à l’enquête policière, qui s’étale sur des mois en accumulant les victimes dans l’indifférence quasi-générale, et qui n’est elle-même qu’un prétexte pour l’auteur à nous dresser un tableau de Londres, son architecture, son histoire, sa géographie, sa population, ses institutions, sa vie culturelle ; intéressant, mais pas ce que j’attendais…Du coup, ça se laisse lire, mais je ne suis jamais vraiment entrée dans l’intrigue, et je pense que la voir par les yeux du personnage principal y est pour beaucoup : Peter Grant est le gros point noir du roman, c'est l’un des personnages les moins attachants que j’aie jamais trouvés dans un roman. Je l'ai trouvé d’une passivité et d’une apathie consternantes, flic médiocre et apprenti-sorcier laborieux, il se trimbale à travers l'histoire comme un témoin extérieur indifférent, et franchement son point de vue ôte tout relief aux péripéties.Quant à l’intrigue secondaire, cette querelle entre deux familles de divinités aquatiques, une d’immigrés africains et l’autre de ploucs de l’arrière-pays du Grand Londres, je n’ai toujours pas compris quel rapport elle avait avec l’enquête…Je me trouve donc dans la situation invraisemblable où, malgré un roman bien écrit et pas inintéressant et bien que j’aime à la fois le fantastique, le policier et l’humour anglais, je ne me suis jamais sentie impliquée dans cette histoire et je n’en ai gardé que le souvenir de m’être ennuyée… J'ai donc laissé tomber après le tome 1.
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Je n'ai lu que les deux premiers tomes, romans sympathiques mais ne m'ayant pas accroché autant que je l'aurai voulu. Bien sûr le fait que je sois peu sensible à la fantasy urbaine a dû jouer, ne maîtrisant pas les codes du genre moi-même. Je retiens surtout une intrigue prévisible pour le tome 2, même si la fin adulte et intelligente rattrape le tout. Je lirai la suite, sans problèmes, entre deux autres romans, tout simplement parce que l'auteur ne prend pas l'excuse du fantastique pour édulcorer ses enquêtes et rien que pour ça, bravo. La femme policière, Leslie je crois, m'intrigue également et j'ai plus qu'envie de voir son évolution. Bref des hauts, des bas, un univers pas toujours facile à cerner me concernant(je suis tellement une quiche dès qu'il y a la moins petite allusion scientifique même minuscule) mais qui mérite de s'y attarder. Les romans se lisent vite, sans déplaisir, je n'ai franchement rien de négatif à dire.
Con