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Tout à fait. Un auteur se prive jamais de rien. Et une scène de sexe, d'orgies ou de masturbation, ( histoire de varier les plaisirs) doit toujours être possible. Mais il faut que la scène surprenne le lecteur, le "cueille" mais surtout la scène ne doit pas être gratuite. Elle doit faire avancer l'action, l'histoire. Sinon, c'est juste de la branlette.Eolle a écrit :je ne pense pas du tout que cette absence soit vraiment une expression d'un tabou, genre les auteurs "n'osent" pas écrire des scènes de cul (avec des sentiments).
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Examinons les deux cas : Soit cela la fait évoluerGrim Harly a écrit :Pour répondre sur les Aventuriers de la Mer,► Afficher le texte
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Dans le bouquin Daenerys a 13 ans donc bon malgré son consentement (au bout d'un bon moment quand meme) ce n'est pas vraiment plus "soft" que la version de la série... Après Martin essaye de faire passer la pilule en nous vendant un truc où Attila qui ne connaît que la levrette, passe des heures en préliminaire pour leur première fois, ce qui est franchement limite niveau cohérence... Mais bon il doit prendre en compte le cadre actuel et pas seulement médiéval s'il veut pas faire de Drogo un personnage complètement antipathique...
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Cohérence? On parle bien d'un livre de Fantasy? Je suppose que l'on a le droit d'imaginer un barbare à la langue de velours ou aux doigts de fée...Drifter a écrit :nous vendant un truc où Attila qui ne connaît que la levrette, passe des heures en préliminaire pour leur première fois, ce qui est franchement limite niveau cohérence...

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Justement, concernant le spoiler de Dust of Dreams, Tor.com vient d'y consacrer un article (ils en sont à ce chapitre dans leur Reread) avec, en commentaire, l'explication de Steven Erikson du pourquoi de cette scène.Citation de conclusion :Nirnaeth a écrit :J'ai hésité à donner le même exemple, mais je voulais pas spolier. Enfin bon, vu que tu ouvres la voie :► Afficher le texte
I didn’t write that scene for you. I wrote it for them. And I ask the same of you. Read it for them. As my wife said, whatever we feel is as nothing compared to what the victims have, and will, go through. And in the grand scheme of things, our brief disquiet seems, to me now as it did then, a most pathetic cry in this vast wilderness.