Voilà qui me parait déjà plus cohérent (et c'est une manière plus classe de le dire queValsirius a écrit :► Afficher le texte
► Afficher le texte
► Afficher le texte
► Afficher le texte
Voilà qui me parait déjà plus cohérent (et c'est une manière plus classe de le dire queValsirius a écrit :► Afficher le texte
Enfin, plus faibles que Gollum, seulement dans l'obscurité très profonde du fond des grottes, et affaiblis par leur chute, et luttant contre un ennemi le plus souvent invisible grâce à son anneaux. Gollum ne vaudrait pas grand chose en réel 1 vs 1. Mais il met toutes les chances de son côté.Un_nain_capable a écrit :Quand même, il sont en 1 vs 1 plus faibles que Gollum...
Il n'est pas toujours drôle mais il met souvent le doigt sur certaines incohérences de scénario-mise en scène.Celles que je relève sur moment mais oubli par la suite faute de bloc note. :sifflote:Après: oui il peut être de mauvaise foi mais c'est le personnage qui veut ça.Perrin a écrit :Bah, y a pas de quoi s'énerver, il fait ça avec tous les films qui marchent. :)Mais il serait temps qu'il passe de mode ou se renouvelle, parce que ça devient vraiment pas drôle.mourad a écrit :Purée, il faut avoir du temps à perdre pour détester un film et prendre plusieurs jours pour écrire du n'importe quoi.Il porte bien le nom de son site.Je n'ai pas lu, cela lui ferait trop d'honneur à ce .......thedep a écrit :Quand j'ai vu le ratage cinématographique de ce film, je me suis dit que l'odieux connard allait se régaler.Ca n'a pas manqué :http://unodieuxconnard.com/2014/12/17/le-hobbit-la-bataille-des-scenes-ratees/
Pour l'anneau je m'attendais un peu à ce qu'on me le dise, mais je pense quand même que même sans l'anneau, ayant l'habitude de manger du gobelin, Gollum est plus fort que les gobelins de Gundabad (en 1 vs 1). L'anneau apporte un "plus" en quelque sorte, par exemple si ils sont plusieurs...En tout cas, dans le premier film il ne s'en sert pas.En plus, Ils étaient bien des centaines et pourtant 13 nains et 1 Magicien (qui se bat le plus souvent à l'épée) ont traversé leur capitale et sont passé comme une lettre à la poste après avoir tué leur Roi qui n'a porté qu'un seul coup ( qui plus est des nains qui ne sont pas tous guerriers de base, même Bombur est passé). Au corps à corps ils ne valent rien, et leurs archers sont, si ils en ont, moins efficaces que ceux de la Moria qui, eux, sont dans une obscurité plus "complète".muscardin a écrit :Enfin, plus faibles que Gollum, seulement dans l'obscurité très profonde du fond des grottes, et affaiblis par leur chute, et luttant contre un ennemi le plus souvent invisible grâce à son anneaux. Gollum ne vaudrait pas grand chose en réel 1 vs 1. Mais il met toutes les chances de son côté.
Le plus impressionant dans ce genre là était pour moi dans le premier film du SDA (La Communauté de L'anneau).Guigz : "Certaines scènes m'ont vraiment fait lever les yeux aux ciels, comme► Afficher le texte
La critique est pleinement fondée, mais, il a toujours un mais !Le film ne s’intitule t-il pas "La bataille des cinq armées" ? C'est bien le thème du troisième film, et l'intrigue final se noue autour d'Erebor, de Thorin et de cette fameuse bataille...Pour ce qui est du développement de la psychologie des personnages, notamment celui concernant les nains, je crois qu'il faut en premier lieu laisser ce travail au livre du maître (qui rappelons le ne fourmille pas tant que ça de cet aspect), néanmoins, pour donner de la matière à l’œuvre, même centré sur une bataille sensée résoudre et démêler les intrigues sous-jacentes, faudra t-il peut-être, le conditionnel est important, attendre une version Longue, voir très longue ! Certains l'ont dit dès le premier film, et plus encore pour le second film, le problème finalement du Hobbit c'est sa longueur, trop juste pour y loger assez de subtilité et de développer grandement la psychologie attenants aux différents personnages. Rappelons, il est de bon ton de le remémorer de temps à autre, un film est un support complètement différent d'un livre, dans le second support, on a les moyens de faire des descriptions longues et étonnantes, nous attarder sur les personnages, approfondir à volonté sur cent générations l'évolution d'une famille d'un nain ou d'un dragon, seulement dans un film, et selon la technique qui lui est propre, il faut que ça défile, il faut une action, c'est le ressort narratif premier dans un film d'aventure tel que le Hobbit, s'il s'agissait d'une œuvre sur Amadeus Mozart il en serait certainement autrement, avec une grande prépondérance à la musique. Pour ce qui est de ma part, j'aime excessivement les films consacrés aux peintres, à leur vie, à leur œuvre. Je crois que c'est dans ce genre que l'on peut le plus développer l'aspect biographique des personnages dont le film est sensé retracer la vie, les perceptions, l'évolution, la technique, la peinture, la musique, les goûts, les amours etc... Encore une fois, le Hobbit, ça doit défiler, c'est un Road movie en terre du milieu, avec des peuples différents et dont les intérêts particuliers entrent en conflit et génèrent une nouvelle dynamique pour les personnages, les royaumes, le destin commun et quelques autres choses de ce type. Personnellement j'aurais également voulu qu'on s'attarde sur l'histoire propre de chacun des nains, de la she-elf, du roi des elfes de la forêt noire, de Smaug, de Gollum, de Gandalf, du conseil blanc, de Dain, des orcs et des gobelins, des aigles et de Beorn, des habitants d'Esgaroth/Lacville et de Bard, du roi sorcier d'Angmar, Sauron... Mais où loger tout ça dans 2h/2h30 de film ?? Ah que de questions, que de questions... Envoyons les puristes vers les oeuvres écrites où ils auront moult détails sur la terre du milieu et de ses personnages, le film quant à lui, il obéi à une toute autre logique, celle propre au septième art, et là on ne peut pas, au vu et au sue des réalisations précédentes, dire que PJ et son équipe soient des amateurs ! Loin de là et je crois qu'il en ressort déjà que cette trilogie a fait part à des choix, ou artistiques, ou scénaristiques, ou budgétaires, ou techniques, mais des choix pleinement assumés. Jamais un film n'aura autant de "profondeur" qu'une oeuvre écrite, elle permet certes un truchement du sujet mais développe une esthétique, un point de vue, un style narratif, une vision d'auteur, un thème, des sujets, mais de sa finalité et de celle d'un livre, surtout en ce qui concerne les œuvres de Tolkien, il se démarque tout un monde !Je pense qu'il faut réellement "séparer" l'oeuvre écrite de l'ouvre cinématographique (et vice versa) c'est fondamental.Ce que j'aimais dans la première trilogie, c'était le mélange que je trouvais très bien dosé entre epicness et univers. Par univers j'entends le fait que la réalisation prenait le temps de développer autre chose que des batailles, comme les relations entre personnages, intrigues secondaires, etc. Or, hormis Thorin et la romance Tauriel/Kili, difficile de voir autre chose que des batailles, encore et toujours jusqu'à en avoir ras la lie. Franchement, j'aime cet univers et j'aime la fantasy par son versant épique, mais il me faut également autre chose pour apprécier pleinement l'ensemble. Un soupçon de magie, une réalisation qui prend davantage son temps, ce que j'avais plutôt eu dans le premier film du Hobbit par exemple.
Seulement voila PJ a décidé de faire trois films et en trois film il aurait largement eut plus le temps de développer ça si le mélange avait était mieux dosé, d'autant plus que les films sont tous bien plus courts que ceux du seigneur des anneaux.ôthric a écrit :Personnellement j'aurais également voulu qu'on s'attarde sur l'histoire propre de chacun des nains, de la she-elf, du roi des elfes de la forêt noire, de Smaug, de Gollum, de Gandalf, du conseil blanc, de Dain, des orcs et des gobelins, des aigles et de Beorn, des habitants d'Esgaroth/Lacville et de Bard, du roi sorcier d'Angmar, Sauron... Mais où loger tout ça dans 2h/2h30 de film ??
A titre personnel, je trouve qu'il est un peu facile de se retrancher derrière la spécifité d'un medium vis à vis d'un autre pour justifier les éventuels défauts du résultat. Pour moi, cet argument ne marche pas ici :- en général : l'image est certes, au cinéma, une image/mouvement ; cela dit, aucune raison de réduire l'action à de l'agitation pure et simple et souvent hors de propos- en particulier : je trouve que la faiblesse de ce film ne tient pas à l'adaptation à proprement parler (ça, j'évite de comparer depuis la seconde partie du premier film), mais à des problèmes de rythme, de montage, de mise à l'échelle, etc... sans compter l'écriture du scénario et la direction assez calamiteuse des acteurs... comme je l'ai dit plus haut. - J'ai l'impression que PJ n'est plus capable de réaliser un film "classique" et qu'il serait plus à l'aise dans le tout numérique, voire dans le cinéma d'animation,un medium à explorer (blague). Rappelons, il est de bon ton de le remémorer de temps à autre, un film est un support complètement différent d'un livre, dans le second support, on a les moyens de faire des descriptions longues et étonnantes, nous attarder sur les personnages, approfondir à volonté sur cent générations l'évolution d'une famille d'un nain ou d'un dragon, seulement dans un film, et selon la technique qui lui est propre, il faut que ça défile, il faut une action, c'est le ressort narratif premier dans un film d'aventure tel que le Hobbit, s'il s'agissait d'une œuvre sur Amadeus Mozart il en serait certainement autrement, avec une grande prépondérance à la musique.
Faux... Le Solaris de Tarkovski par exemple, me semble plus profond dans ses questionnements que le livre de Lem... mais c'est peut-être une exception.S'il faut se garder de faire de voir un film comme copie visuelle d'un livre, qu'il faut évidemment apprécier les deux dans la spécificité de leur medium, il ne faut non plus s'éviter tout comparaison de fond. Car mis le plus gros défaut, pour moi, de cette trilogie, bien avant les soucis techniques de réalisation, c'est l'absence générale d'âme des films...Pour ce qui concerne Le hobbit, PJ n'a pas su traduire dans un nouveau langage, un langage cinématographique donc, l'âme de ce récit de faërie (vie, féérie, découverte, mystères... appelez cela comme vous voudrez, à l'exception de quelques rares scènes noyées dans une vaine agitation "épique").D'où selon moi le plus gros problème des films : l'espace, le rythme. On ne rentre pas dans un monde imaginaire en adoptant uniquement le rythme de la course-poursuite. Il faut des respirations; elles sont trop rares, ici, pour susciter quelque chose comme une immersion, un arrière-monde, une "vie" propre à l'univers créé... Et je ne vois pas pourquoi le cinéma serait privé de cette capacité à faire respirer le récit. Bien au contraire. Mais encore faut-il ne pas confondre plan d'ensemble et sempiternelles vues aériennes, mouvement et rebonds perpétuels.Enfin bref. Je reste convaincu qu'avec une adaptation en deux films, de nombreux problèmes/pièges auraient été évités. Mais peut-être Le hobbit avait-il déjà été adapté par Ron Howard, sous le nom de Willow, rendant d'emblée rodondante cette nouvelle trilogieJamais un film n'aura autant de "profondeur" qu'une oeuvre écrite, elle permet certes un truchement du sujet mais développe une esthétique, un point de vue, un style narratif, une vision d'auteur, un thème, des sujets, mais de sa finalité et de celle d'un livre, surtout en ce qui concerne les œuvres de Tolkien, il se démarque tout un monde !
Elle est tournée bizarrement ta phrase, comme si le cinéma d'animation demandait moins de compétences que le cinéma live...Dardfaël a écrit :J'ai l'impression que PJ n'est plus capable de réaliser un film et qu'il ferait mieux de se reconvertir dans le cinéma d'animation, son véritable medium
Retourner vers « Le SDA, les films et la série »