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J'ai lu Neverwhere cette année et je dois dire que j'ai bien aimé ; c'était la première fois que je lisais de la fantasy urbaine. Je dois avouer que c'était sympa. Cet été j'ai prévu de lire un autre succès de N. Gaiman : American Gods qu'un ami m'a passé. D'après ce que j'en ai lu, je ne serai pas déçu. Par contre, je serai curieux de voir ce que donnerait un nouvel ouvrage dans le monde de Neverwhere. J'avais aimé le fait d'être dérouté par cet univers si étrange, ça sera moins le cas dans un deuxième livre. J'attendrai la critique avant de me décider ;)

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Neverwhere trop "dur" ?! Je serais curieux de voir le reste de la liste de lecture... Cette école risque d'être surprise de voir que sa décision résonne jusqu'à l'étranger :-D

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Je viens donc de finir Neverwhere et je comprends l'approbation générale. Je vais donc enfoncer une porte ouverte des dizaines de fois je suppose, mais c'est pour moi le Alice aux Pays des Merveilles des temps moderne, aussi bien sur la forme que sur le fond.

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Je suis à la moitié du livre et comment dire..... Il est fort ce Gaiman!!!Imagination, rythme, humour, talent d'écriture, tout y est!!!! A lire!!

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Terminé!!! Très bonne lecture, sans doute le meilleur Gaiman que j'ai pu lire.L'analogie à Alice est très juste bien que dans mes souvenirs, le livre de Lewis Caroll est plus sombre.En tout cas j' ai ADORÉ!!!

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J'ai terminé hier mon premier Gaiman avec ce Neverwhere. Il s'agissait de la version des défuntes éditions Au diable Vauvert. D'après ce que j'ai lu plusieurs versions existent. A priori je suis parvenu à me procurer celle estampillée 'adulte'. Ce fut un plaisir avec une mention spéciale pour Messieurs Croup et Vandemar, duo particulièrement malsain, dérangeant et réussie. La lecture m'a fait penser à Kraken de Ch. Mieville en ce sens où ces deux ouvrages fourmillent d'idées accrocheuses, intéressantes et parfois à peine esquissées ; le tout dans une atmosphère urbaine un brin loufoque sans tomber dans un burlesque trop grossier. La différence majeure réside pour moi dans le style de ces deux auteurs. N. Gaiman possède une prose claire, concise et efficace, là ou Ch. Mieville, qui aime manifestement jouer avec ses tournures de phrases, est pour le moins plus obscur. Je garde une préférence pour ce dernier mais je conçois aisément que cela ne soit pas le cas de tous.

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Hum? Bon sang, ou est ce que j'avais lu cela? J'avais encore des amis qui m'en parlaient aujourd'hui. Bon. Il y a manifestement eu un malentendu quelque part. Tant mieux si ils sont toujours actifs. :huh:

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J'ai lu Neverwhere juste après Coraline que j'avais adoré. Mais j'ai absolument pas accroché à Neverwhere. J'ai jamais pu rentrer vraiment dans le livre, je me suis pas attaché au personnage et le style n'était pas vraiment agréable.Mais j'ai bien aimé le concept, et j'ai trouvé certaines idées et certains personnages vraiment très bien et j'aurais voulut en savoir plus, que ce soit plus approfondis. J'ai l'impression qu'on a juste survolé le Londres d'en Bas ce que je trouve bien dommage.

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Je rejoins un peu pour le moment l'avis de Britannia, j'en suis bientôt à la moitié du roman et pour l'instant je suis loin d'accrocher. En premier lieu, j'ai beaucoup de mal avec le personnage de Richard, véritable tête à claque avec tellement peu de choses pour lui qu'on se demande à quel moment il va pouvoir servir à quelque chose.Ensuite, la narration semble avoir vieilli, certaines scènes sont écrites à grand renfort d'adverbes qui, comme le dit King, sont un peu le reflet du manque de confiance de l'auteur sur la projection de la scène dans l'imaginaire du lecteur. Bon après tout n'est pas à jeter, Croup et Vandemar sont plutôt sympas... Bref, verdict final bientôt.

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Bhein moi j'ai trouvé ça plutôt sympa. Rien qui m'ai fait me relever la nuit mais j'étais contente de le lire. Beaucoup de scènes m'ont fait sourire et c'est déjà pas mal. J'ai plutôt bien aimé Richard. Il n'a rien pour lui, certes, mais il voit les gens, il fait un peu attention à ce qui l'entoure. Moi je le trouve plutôt sympathique. Il manque juste terriblement de confiance en lui et j'ai trouvé plutôt agréable de le voir évoluer. Sinon j'ai vraiment pas remarqué l'histoire des adverbes, je ne sais pas si c'est parce que je n'y suis insensible ou si c'est une histoire de version.Pour moi c'était une lecture plutôt plaisante en tout cas.

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Tiens je ne savais pas qu'il y avait eu des versions différentes, et que le "director's cut" se pratiquait aussi en littérature (illumination du jour, bonjour!). Vous savez si ce sont des scènes censurées ou coupées pour une question de longueur,... ?