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Pour une fois qu'un classique non encore traduit en français peut faire partie du prix. ;)Quoi qu'il en soit le plaisir de lecture est présent tout du long avec ce premier tome.

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J'ai finit la lecture du premier tome et j'en suis sortit enchanté !J'ai adoré le langage qui donne un coté fresque épique à l'intrigue. J'aime les personnage qui, je ne trouve pas, sont tout noir ou tout blanc :
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En bref les personnages sont flamboyant et n'agissent globalement que par orgueil (ou honneur comme ils veulent l'appeler... ;) ) mais sont généralement attachants.L'histoire est en effet non sans rappeler le seigneur des anneaux et le ton reste dans la même lignée : quête désespérée menée par un petit groupe de champions ! La part belle est mise sur les descriptions : les décors (ah la Koshtra Pivrarcha,...) les costumes (ceux de Goricé en tête) mais aussi les voyages, les batailles, les portraits,... Bref on visualise très bien l'action, et on est en outre aidé par les superbes illustrations d'Emilie C. Martin !Chapeau bas aux éditions Callidor qui nous offrent ici un beau livre-objet qu'on aura plaisir à ressortir ne serait-ce que pour ces illustrations ! Enfin un mot sur la traduction qui est superbe (on en attendais pas moins de P. Marcel) en particulier pour avoir réussi à retranscrire le coté désuet (voir carrément ancien) du langage d'Eddison tout en gardant une plume non seulement digeste mais très agréable à lire !En bref un livre qui, malgré qu'il fut une source d'inspiration par la suite, ne ressemble vraiment à rien de ce que j'ai pu lire et se hisse au sommet de mon top de l'année !En bref j'ai adoré et je me suis d'ors et déjà plongé dans le second tome (merci Thierry Fraysse) ! ;)

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J'ai fini le second tome et que dire sinon que c'est certainement une des , sinon la, meilleures lectures de l'année !J'aime le coté désuet des personnages qui ne sont pas forcement crédible mais franchement flamboyants ! J'aime le langage utilisé et les tournures de phrases qui font de cette œuvre un OBNI (Objet Bibliothécaire Non Identifié) et qui en font toute sa saveur !J'aime les descriptions des costumes et des lieux qui n'ont rien à envier avec celles de la Roue du Temps ! J'aime les personnages de Coronde et de sa reine, de Brandoch Daha et de sa sœur tant convoitée, de Corvinnius, et de Juss.J'aime le final atypique qui montre bien que le voyage est bien plus important que la destination.En bref si vous en avez marre du style direct et dynamique d'un Sanderson ou d'un Martin, que vous voulez de l'épique qui sorte des sentiers battus tout en étant source d'inspiration de bon nombre d'auteurs anglophones, si vous voulez encourager une maison d'édition dont le travail archéologique force le respect, courrez acheter le Serpent Ouroboros et offrez le à Noël ! ;)Vous ne le regretterez pas !

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J'aime l'emploi de ce mot, désuet, qui correspond en effet très bien aux personnages archétypaux d'Ouroboros.Après un bon premier tome qui se lit d'une traite, j'attends de commencer la fin de ce diptyque qui fait partie des bonnes surprises. Encore une fois bravo au travail minutieux de l'éditeur qui fait émerger (ressortir) des perles de la fantasy classique.

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C'est dit, je vais honorer mes bonnes résolutions et enfin céder à cet ouvrage -voir d'autres. J'ai beaucoup aimé les réponses dans "La Parole aux éditeurs, version 2019", je trouve leurs ouvrages beaux et c'est quand même un peu audacieux de faire ce qu'ils font !

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Tome 2 terminé. Que dire ? On reste dans la même veine que le premier, avec un final haut en couleur qui ne m'a pas laissé indifférent. La bataille finale notamment est superbement rendue. :)

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J'ai fini le premier tome il y a quelques semaines.
Si l'histoire est intéressante j'ai trouvé ça très / trop verbeux pour enchaîner avec la suite.
J'ai aimé les dialogues mais les descriptions sont vraiment trop pesantes à mon gout.
Un avis plutôt mitigé donc pour ma part, mais j'irai lire la suite.

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C'est sur que le style est plutôt particulier ! Personnellement c'est ce que j'ai aimé, ces dialogues acerbes et ces descriptions méticuleuses... Et le final d'une originalité et d'une justesse qui fait à lui seul tout le livre et en justifie le titre... ;)

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C'est également la fin de ce deuxième tome pour moi.

Je l'ai trouvé un peu moins épique que le premier. Par contre, le charme opère toujours autant ! Et la fin... Il y a une véritable poésie mélancolique qui s'en dégage, c'est très très particulier et le titre prend enfin tout son sens.

Mon avis ne change pas d'un poil sur les personnages, et encore une fois j'ai adoré celui de Gro !

C'était une sublime lecture, les éditions Callidor font décidément du très très bon travail !

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Je viens de finir le premier tome et ce fut une lecture surprenante à bien des égards.

Je trouve que l'écoute du podcast et les explications de l'éditeur sur sa collection et sur cet œuvre ont données une autre dimension à la lecture du bouquin. En bref c'est une lecture qui sort clairement de l'ordinaire.
Akallabeth a écrit :J'aime le coté désuet des personnages qui ne sont pas forcement crédible mais franchement flamboyants !

Effectivement les personnage sont désuets, campés dans des rôle bien précis et baignent dans une aura de magnificence certaine amplifiée par le côté épique de la plume de l'auteur. Et, pourtant ces personnages bien définit on aussi parfois des postures et des attitudes qui désarçonnent un peu par leurs réactions...
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Cette même plume qui m'a forcé à sortir de ma zone de confort, il y a eu des passages difficiles dans cette lecture mais une fois la ligne d'arrivée passée, j'ai envie d'en connaitre plus :).
Une pause et au deuxième.

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Merci pour la critique ! Je suis totalement d'accord avec !
Il faut souligner une qualité éditorial encore une fois superbe ! Et une fin comme on en vois rarement en fantasy et qui colle si parfaitement avec le bouquin qu'elle viens lui donner une nouvelle facette et parfaire l’œuvre ! ;)

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E. R. Eddison est une grande découverte pour moi, sa prose est particulière mais il me semble qu'elle est essentielle à l'attractivité de ce roman et elle ne vient pas gâcher les personnages, ce que j'ai crains au début de ma lecture.

Cela m'a poussé ensuite à relire une partie du Seigneur des Anneaux de Tolkien , et j'ai trouvé qu'il manquait quelque chose à la prose de Tolkien, quand il campe des elfes ou des personnages de la noblesse, lorsqu'il évoque des paysages, par contraste avec la richesse d'Eddison.

Il est vrai cependant qu'en terme de world building et d'histoire pure, Tolkien est au dessus.

Ma perception du genre en est changée.

Quant aux illustrations, il y a un côté pour moi nostalgique, un effet livre dont vous êtes le héros , et forcément, j'ai aimé !