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donc, je m'étais arrété sur la performance selon mopi exeptionelle et bouleversante des acteurs.Sur le fond, une fois encore, l'essentiel d'un point de vue utilitaire et sentimentale est là même si ilréside un gros manque en raison de la disparition du passage prépondérant de saroumane et de sa pitoyable fin mais qui ne m'a pas ennuyé plus que ca étant donné que ce morceau unique de cinema, je n'en doute pas, sera dans l'ultime version longue qui concluera le film. De la même manière, il est évident qu'il manque la résolution émotionelle de 3 fabuleux personnages qui ne sont malheureusement pas suffisament exploités (version cinema oblige): ce sont eomer dont on aurait aimé voir un peu plus afin d'évoquer son extreme importance dans le futur du royaume du rohan après le triste sort du roi théoden. Aussi, après la mort de celui ci, il n'est aucunement fait mention de la dévotion d'eomer pour son roi et de son émoi suite à sa mort. le deuxième personnage insuffisament mis en valeur est eowyin, laquelle ne rencontre pas sa destinée à la fin du film.effectivement, jusqu'à la mort de théoden et à son remarquable combat contre le roi sorcier d'angmar, elle est présente dans le récit et touters les iddées fondamentales la concernnt sont là. mais ensuite, elle est laissé de coté alors qu'elle n'a pas trouvé la paix intérieure. effectivement, on la laisse décontenancé après qu' aragorn se soit refusé à elle d'une part, et blessé, incroyablement meurtri après ses les souffrances endurées après la bataille des champs du pelennor d'autre part.or, son destin et la finalité de son oeuvre est inexorablement lié à celle du dernier personnage insuffisament exploité: faramir, exeptionnel interprète de la prèmière victime de la folie de son père denethor qui l'envoie ni plus ni moins à la boucherie impassiblement dans une des scènes les plus émouvantes du film qui restera sans aucun doute gravé à jamais dans nos mémoires. en effet, à la suite de son sauvetage in extremis par peregrin touque qui fait preuve d'un courage hobbitien incomparable, lui non, plus ner trouve pas la fin qu'il mérite, irrémédiablement lié au destin d'eowyn. leur reunion au couronnement et au mariage du roi à la fin de l'épopée ne laisse planer que peut de doute sur la manière dont ces deuix personnages seront traités dans la version longue (à moin que je me trompe.........peter jackson pourrait tout autant avoir trouvé un moyen qui nous satisfasse pleinement dans la conclusion de ces deux personnages).donc, voici les manques quiseront très certainement comblé par cette version longue. en ce qui concerne le montage, je le trouve extrement habile et très astucieux. il coule de sources et malgré ces manquements, peter jackson a fait en sorte d'etablir le meilleur montage possible pour que la limitation du temps inherente au film ne nuise pas à la vision jouissive, poignante et finalement exténuante du film par le spectateur. Le seul vide flagrnat qui sera je le pense comblé prochainement est celui se situant entre le dernier moment ou on voit frodon et sam avec les guenilles d'orque et le premier instant ou on ne les voit plus. A CET INSTANT,on s'apercoit très nettement que le film à ete tronqué pour respecter les impératifs de temps fixés par new line et les exploitants de salle. d'une part, on ne nous explique pas dans quelles circonstances frodon et sam se sont résolus à enlever leurs vêtements orcs et d'autre part, il y a un certain gouffre entre l'état phisique des personnages, principalement clui de frodon dans la première scène ou il tient le coup tant bien que mal et dans la deuxième scène ou