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À l'époque, j'utilisais tout ce que je trouvais, un bout de carton, une carte à jouer même un bout de papier toilettes (non, non je ne lis pas qu'aux toilettes 
)... Par rapport au sondage, le marque page n'avait, pour moi, qu'un aspect usuel d'ailleurs je les perdais sans arrêt.Maintenant je lis exclusivement des ebooks la question ne se pose donc plus. Par contre corner les pages, je ne le faisait que sur des livres d'occasion déjà bien abîmés jamais sur mes livres neufs.
)... Par rapport au sondage, le marque page n'avait, pour moi, qu'un aspect usuel d'ailleurs je les perdais sans arrêt.Maintenant je lis exclusivement des ebooks la question ne se pose donc plus. Par contre corner les pages, je ne le faisait que sur des livres d'occasion déjà bien abîmés jamais sur mes livres neufs.105
Comme je les perds souvent, du coup d'une certaine façon je collectionne aussi ; et je retrouve de vieilles reliques dans des bouquins en tête de pile de lecture et finalement oublié.Ce sont souvent les tickets d'entrée de musée -en ce moment je passe ainsi mes lectures en compagnie du bel Adam médiévale du musée de Cluny...Par contre, le cornage... Une fois on m'a rendu corné un livre que j'avais prêté. J'ai éviscéré d'office.
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Tout à fait Foradan : les vertus de la cautérisation permettent de donner le temps au Pénitent de comprendre sa Faute.Mais le pire que j'ai eu, c'est au boulot où un a pris la liberté de souligner au crayon des passages dans un de mes bouquins. Ca ne s'est pas super bien passé non plus.
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Très bon choix :DDe temps en temps (chez Griffe d'Encre souvent), j'ai droit au marque-page assorti au livre, ça c'est super je trouveLÿr a écrit :je passe ainsi mes lectures en compagnie du bel Adam médiévale du musée de Cluny...
Sinon, j'ai un set de marque-pages "épais" 3D, ça m'évite de les perdre >114
J'ai commencé avec de beaux marques-pages que j'ai malheureusement souvent oubliés dans les livres que je rendais à la bibliothèque. Résultat: plus de marque page mais uniquement des bout de papier, publicités, tickets de bus... bref, ce qui me tombe sous la main.Et pour ce qui est de corner mes livres (ou ceux de quelqu'un d'autre) c'est inimaginable!!!
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Ah ben, moi aussi, je fais comme ça. En règle générale, je prends un vieux ticket de magasin.. Résultat: plus de marque page mais uniquement des bout de papier, publicités, tickets de bus... bref, ce qui me tombe sous la main.
Pareil pour moi! C'est impensable de corner mes bouquins!Et pour ce qui est de corner mes livres (ou ceux de quelqu'un d'autre) c'est inimaginable!!!
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Alors moi j'ai répondu que c'était fonctionnelle. Mais j'aime bien avoir de beaux marque-page quand même. Et je n'en utilise pas systématiquement. A la maison, si je dois m'arrêter, ou si je pars sans, je vais pas mettre de marque page, sauf si il est sous la main. J'aurais plutôt tendance à retourner le livre, ou mettre un objet, une feuille, un crayon par exemple. Et en général, je lis chapitre, par chapitre, donc parfois j'en utilise pas non plus.Mais si je le prend dans les transports en commun, en voyage ou que sais-je, là j'aurais rien sous la main, il va peut-être falloir m'arrêter avant la fin d'un chapitre donc je sors un de mes marque-pages.
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J'utilise un peu tout ce qui me tombe sous la main pour faire office de marque-page : ticket de bus ou de caisse, publicité, flyers... Dans ce cas je les plis pour qu'ils soient un poil plus épais et que je retrouve bien ma page.Je n'aime pas trop les "beaux" marques-pages", trop peur de les perdre... Même si j'ai aussi un stock de marques-pages publicitaires que je prend au boulot quand on en a un bon paquet 
Memento mori
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Plutôt fonctionnel pur moi, mais certains de mes marques-pages ont une valeur sentimentale et je serai triste de les perdre...Je me rappelle en avoir acheté un au musée Beethoven, en Allemagne, un beau en papier artisanal avec une partition dessus 
Je l'ai ramené chez moi bien à l'abri dans une petit pochette que j'ai posée, naïve, sur mon bureau... Une de mes sœurs, pour une raison qui m'échappe encore, en a fait un rond de serviette.
Je l'ai ramené chez moi bien à l'abri dans une petit pochette que j'ai posée, naïve, sur mon bureau... Une de mes sœurs, pour une raison qui m'échappe encore, en a fait un rond de serviette.
