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Hola, hola, Reveillon nous, Trop longtemps sans parler, Nous sommes rester, Hola, hola, Secouons la pousiere, Qui pendant notre, Ennivrante letargie, S'est mise a pleuvoire, Sur nos corps assoupis, Hola, hola, Reveillons nous, Finis de boire, de dormir, Trop longtemps sans agir, Nous sommes rester, Hola, hola Receillons nous Le temps de la poesie est revenus, Les flames de l'atre, Desormais doivent de nouveau, Onduler d'emotion, Sous la voix des poete reunis, Hola, hola, Reveillons nous, Mais silence maintenant, Nous devons faire, Pour ecouter, Les mots prendre forme....
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..toute petite, Atrusya s'installe dans un coin pour se délecter de ces doux verbiages...
, ses oreilles de 'tite fée grandes ouvertes, elle se laisse hypnotiser par les flammes vertes du feu dans lequel elle vient de jeter une poignée de sel magique et par le flux des mots qui coulent de vos esprits talentueux de poêtes...
...encore Bravo!:)


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Des rimes, n'étant pas très douée, petite chanson vous proposée en espérant que comme moi, vous l'aimerez Blanche comme la neige ( folklore) La belle s'est endormie Sur un beau lit de rose (bis) Blanche comme la neige Belle comme le jour Ils sont trois capitaines Qui veulent lui faire la cour Le plus jeune des trois Le prend par sa main blanche (bis) Montez, montez ma belle Sur mon beau cheval gris À Paris je vous mène Dans un fort beau logis Finissant ce discours Le capitaine rentre (bis) Mangez, buvez ma belle Selon votre appétit Avec le capitaine Vous passerez la nuit Au milieu du repas La belle est tombée morte (bis) Sonnez, sonnez les cloches Tambours et régiments Ma maîtresse elle est morte À l'âge de quinze ans Mais au bout de trois jours Son père s'y promène (bis) Ouvrez, ouvrez ma tombe Mon père si vous m'aimez Trois jours j'ai fait la morte Pour mon honneur gardé La belle s'est endormie Sur un beau lit de rose (bis) Blanche comme la neige Belle comme le jour Ils sont trois capitaines Qui veulent lui faire la cour
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La jeune Ael, profitant honteusement Que le puissant maitre de céans soit absent Et son auberge laissée ouverte à tous les vents, Lui chipa un siège subrepticement. hum, cette chanson me dit qch... ce serait pas une qui est rapportée par Nerval de son voyage à travers le Valois dans les Filles de feu ??
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Un nouvel hote, je me permet de te souhaiter la bienvenue de la part du Maitre de ces lieux et de l'ensemble de la communauté... Si l'envie de te prend de parler n'hesite pas a la faire, personne ne seras juger, seulement ecouter et applaudis... Tien au fait, personne ne sait quand est supposer rentrer Anglin ?
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Savez vous ce que j'ai eu Qui m'a enormement emu Venant de mes parents Qui adore leur enfant Un anneau ... De bronze est son corps Au dehors couvert d'or Des runes puissantes y sont inscrites Pour beaucoup c'est un mythe Je le porte depuis aujourd'hui Autour du cou pendu à une chaine Et croyez moi je maintenant je suis Heureux de cette nouvelle veine Wahouuuuuuuuuuuu j'ai l'anneau unique fait par la Monnaie de Paris, il est beau et lourd et aussi lourd de signification pour moi, plus que n'importe quelle autre babiole inutile lui il est magnifique ,comment je suis heureux !!!!!!!!!
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Une étoile brille dans ses ténèbres Vaincue par le temps, décombres d'un espoir Au sein des Abysses, gardées par Cèbère Se trouvent ses désirs, ses rêves illusoires Meurtrie par la vie aux combats incessants Elendily, amoureuse des étoiles Tournée vers le ciel aux astres scintillants Implore clémence à la nuit qui la voile Lèvres qui sourient, un regard de tristesse L'elfe désolée, cachant son effroi D'un masque recouvrant à peine sa détresse Se recroqueville sur son désarroi Son cœur embourbé dans la mélancolie Cachée parmi les ombres, elle erre La seule place où elle se sent en vie Près de la lune, loin de la terre Une étoile brille dans sa noirceur Reste d'un espoir qui ne veut pas succomber Un jour peut-être sortira-t-elle de sa torpeur Et réussira à se relever Les yeux tournés vers le ciel Elendily amoureuse des étoiles