dwalan a écrit :Certes, il y des étiquettes, mais à vous lire, je me demande si la "bonne" étiquette est celle que met le lecteur ou l'auteur... ou bien les 2 !
Les deux mon colonel

L'auteur à une idée de l'étiquette de ce qu'il écrit (Goodkind qui ne fait pas de la fantasy toussa), ou des fois se refuse à mettre une étiquette. En même temps, le lecteur à bien le droit de faire son petit rangement perso, avec ses propres étiquettes (quand je regarde sur Babelio par exemple, le classement, par d'autres, d'un livre que je viens d'ajouter, y'a un paquet de tags bien différent du mien

).@ Fabien ton message précédent était très clair pas de soucis (enfin pour moi

), je signalais juste que même en collant paranormal romance à Bit-lit, au final on n'a pas le compte : Mercy = urban fantasy aux states et Bit-lit (paranormal romance donc) chez nous. Il me semble, mais je ne suis plus très sûr, que pour avoir du paranormal romance, il faut vraiment que l'histoire d'amour soit centrale et que l'histoire finisse bien (encore plus restrictif que Bit-Lit en fait

).Bon au final tout ça c'est une petite querelle de clocher, pas bien grave, puisqu'au final le lecteur fait bien ce qu'il veut. Moi j'ai dans la même case : Mercy, Anita, du
Gaiman, "Night Watch", "Kalix" de
Millar, "Lombres" de
Miéville; Sans doute un joyeux bazar pour certains qui auront besoin de plus de clarté dans leur rangement :)Edit : question à ceux qui bossent en librairie parmi nous : le classement en Bit-lit a t'il, à votre connaissance, une influence sur l'achat d'un bouquin ? Que ce soit en négatif (le terme étant jugé comme péjoratif) comme semble le craindre Witch ou en positif (ceux qui ne veulent lire que de l'estampillé Bit-lit).
Si l'enfer est ici alors autant s'en faire, si l'enfer est ici alors autant s'en faire, s'en faire un paradis. --- Shaka Ponk