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par gordianus
Ta'veren
Pour commencer, je vais rajouter trois ou quatre orphelins ou delaissés de leurs parents que je n'aie pas vu (mais je n'ai pas tout lu, dsolé)Fitzchevalerie, le Merlin du cycle de Pendragon, Tirion Lannister, qui ne recois d'affection que de son frêre, etcEt je voudrais citer un champion en la matière : David Gemell : Rek (Legende) mais surtout, on retiendra le Lion de Macédoine avec : Parménion lui-même, Philippe, Perdiccas (normal, c'est son frêre) le fils de Xenophon dont, désolé, j'ai oublié le nom, et je n'aie pas le livre sous la main que son père ne regrette pas franchement, et j'en passe.Maintenant, répondre à ceux qui nous citent des héros avec des parents... Il y en a, c'est vrai, mais ca doit en gros représenter la moitié des personnages, soit beaucoup moins que dans la réalité.Les causes, desormais : un héros orphelin, ne connaissant pas ses parents, ou n'étant pas aimé par eux cherchera forcement un mentor (Xenophon pour Parménion, Parménion pour un Philippe désemparé, et pour un Alexandre malaimé de son père, dans le début de sa vie du moins [oui, je viens de fermer le dernier tome!!!]; Serafina Peccala, les Gitans et Lee Scorsby pour Lyra, son propre père et Mary Malonne pour Will, Jaime pour Tirion, Burrich et Umbre pour Fitz, Bilbon et Gandalf pour Frodon, Kulgan pour Pug et je dois en oublier la moitié) lui permettant ainsi de bénéficier de l'enseignement de quelqu'un qui est cent fois plus qualifié dans un domaine que ses parents, en effet, si les parents eux-même sont trop extraordinaires, l'identification est plus difficile que si c'est le parent d'adoption qui l'est... De plus, l'integration d'un héros dans une famille qui n'est pas la sienne permet soit une rivalité avec un frère d'adoption du même age, soit au contraire l'apparition d'une très forte amitié avec quelqu'un du même âge, soit encore une histoire d'amour avec quelqu'un du même âge et généralement du sexe opposé. Et, si l'on prend pour exemple, au hasard, Fitz, ca renforce l'image du pauvre-gars-contre-qui-la-vie-s'-acharne-et-qui-reste-fier-et-loyal-devant-tant-d'-adversité (il faudrait inventer un mot pour désigner ce genre de persos, je propose d'utiliser une forme substantivée de Fitz (un truc qui ressemblerais à fitz, sans majuscule) qui est vraiment l'exemple type) En plus, si le (ou les) parent(s) mort(s) (je vais continuer au singulier, ce sera mieux) est un héros de guerre (oui, encore Parménion) ou un prince aux pouvoirs mentaux très puissants (oui, toujours Fitz) ca fixe une sorte de barre tacite que le héros se fera un devoir de franchir, mais aura toutes les peines du monde jusqu'à ce qu'il trouve son (fameux) mentor qui est (oui, oui, c'est possible) encore plus balèse que le papa (la maman) décédé(e)je crois que g fini@+Gordianus