Bonjour à tous, Nous rencontrons un defaut technique sur le tirage d'Anita Blake tome 10 : Narcisse enchainé (ISBN : 978-2-8112-0205-7). En effet il s'avère que l'ouvrage n'est pas complet. Il ne contient que 28 des 61 chapitres prévus. De ce fait plusieurs choses sont à l'ordre du jour : Nous sommes actuellement en train de rapatrier l'intégralité du tirage des librairies en direction de notre distributeur (MDS).Nous sommes également en train de reimprimer l'ouvrage cette fois çi avec l'intégralité du texte.Les personnes ayant déjà acheté le tome 10 pourront bien evidemment changer leur exemplaire au profit d'une version complète.Si ces personnes ont encore leur ticket de caisse il leur suffira de se rendre dans le point de vente concerné et de faire échanger l'ouvrage.Pour les personnes qui n'auraient plus le ticket de caisse, il leur suffira de nous renvoyer l'exemplaire fauté à cette adresse (Editions Milady - Retour Anita Blake 35 rue de la Bienfaisance 75008 Paris, accompagné de leur adresse postale pour que nous puissions renvoyer la version complète.Enfin, l'ouvrage sera disponible de nouveau en librairie le 30 octobre 2009 avec un nouvel ISBN (978-2-8112-0284-2). Merci de votre compréhension et veuillez nous excuser pour ce désagrément. L'équipe Bragelonne / Milady
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Moausi mais 25€ c'est quand meme pas donné XDEnfin, pour oublier la moitié des chaps faut le faire.Sinon, moi, j'ai lu les 6 premiers anita et j'adore. C'est ma serie de Bit-lit preferée. Le monde est tres bien developpé, j'aime bcp le fait qu'on nous parle de la loi a propos des créatures surnaturelles, ou de leur biologie. Alors certes, c'est peut etre bancal si on creuse, mais c'est la et ca aucune autre serie de bit-lit que j'ai lu ne peut rivaliser. Anita moi je l'aime bien, elle est sarcastique, mais au moins c'est pas trop une nunuche, elle est forte quoi.Bon les gros reproches, c'est que apparement apres le t10 c'est plus que du cul (et que c'est pas qqch qui me tente) et la traduction absolument moisie de Milady (j'ai pas lu les fleuves noirs...)
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Donc rien à voir avoir la traduction en elle-même, a priori.
Ce qui me rassure. Ce serait bien la 1e fois que j'aurais eu de mauvais échos sur la traduction de cette série. Ce qui compte, c'est la rapidité excessive avec laquelle doivent travailler les (multiples) correcteurs, planning de publication serré oblige. Moi, on m'a déjà rajouté des fautes... c'est dire.Bon, c'est juste pour te donner une idée. Quand la traduction est mauvaise, je suis la première à tirer dessus à boulets rouges (discrédit sur la profession, tout ça tout ça). MAis je trouve qu'il faut bien faire la part des choses. Le travail de l'éditeur en aval de la traduction est souvent en grande partie en cause pour le type de problème que tu déplores, ce dont, au stade de la lecture, on ne peut pas toujours se rendre compte.Au demeurant, tu as bien raison de déplorer ce problème. Question de respect du lecteur. Surtout pour 25 euros, comme tu l'as fait remarquer. :-)

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Les fautes sont les plus graves, mais niveau traduction, ce n'est pas non plus la joie. Pour prendre le tome que je viens de lire "Ah ca me frit le bacon" (ouais en anglais c'est that fries my bacon, mais je doute que l'anglais doivent etre traduit mot a mot). "Je vire poilu" pour parler des métamorphes, ou encore "il aurait pu faire la couverture de GQ" (WTF GQ, mettre un magasine francais aurait été un meilleur choix). Et bien sur les erreurs a propos des personnages qui changent de nom au milieu du bouquin... Apres oui, les délais jouent sans doute et al relecture. Le truc c'est que c'est un probleme récurrent chez Milady et ce quoique soit le titre ou le traducteurs. Leurs livres ne sont pas sans doute assez relus (enfin, pour qu'ils oublient la moitié du bouquin ca veux tout dire)
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Moi, je trouve surtout que c'est mal écrit à la base en anglais :sifflote:Mais je vois tout à fait ce que tu veux dire (sauf pour le "Je vire poilu", que je trouve bien fendard, en fait.)Je précise un peu ma pensée : pour l'histoire de GQ, oui et non, en fait. Cela dépend. On peut considérer que la culture américaine est une part importante de l'oeuvre d'Hamilton, auquel cas la traductrice ne s'est pas senti le droit d'adapter. Je pense que tu pourras remarquer que, le plus souvent, l'adaptation des truc culturels amerloques en français est surtout l'apanage de nos chères éditions Harlequin (car la ménagère est censée être neuneu et ne pas savoir qu'un sundae = une glace)En dehors de ce cas précis, je comprendrais que le traducteur n'adapte pas. Perso, je ne me vois pas parler de Technikart ou des Inrock, du Figaro ou même de Têtu ou FHM dans un bouquin ou les personnages ont des prénoms anglo-saxons, bref, un bouquin où l'on voit parfaitement que ça ne se passe pas en France. Ca, ça me semblait aberrant. Anita Blake est assez ancrée dans la réalité, quand même. Elle vit dans une société semblable à la société américaine actuelle, il me semble. Partant de ce principe-là, je pense que la majorité des traducteurs opterait pour garder le contexte original. Et je trouverais même étonnant qu'ils ne le fassent pas, à vrai dire.La seule chose qui me paraît possible, c'est de "gommer" la référence en disant par exemple "il pourrait faire la couv' d'un magazine". Et encore...Ensuite, il est évident que ton ressenti de lectrice est bien différent. Comme quoi, c'est compliqué, la traduction. C'est dur de plaire à tout le monde, on pourrait presque résumer le problème à cela.PS: pour le bacon frit, je me pose la question inverse : là tout de suite comme ça, je ne trouve rien de satisfaisant qui s'éloignerait de l'original...
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J'suis plutôt d'accord avec Santino sur la question de la transposition culturelle. Mais du coup évidemment cela demande un bon référentiel "culture moderne" américain. Avec tout ce qu'il y a derrière GQ dans cet exemple. J'aime bien le "je vire poilu" aussi cela garde le coté imagé de l'anglais pour moi (même si là je ne vois pas ce que cela traduit ?) Pour "that fries my bacon" c'est pas facile effectivement, là aussi dans la mesure où ce n'est pas un ingrédient du petit-déj à la française
donc "ça me brûle la tartine" ou "ça me détruit le croissant" sont hors de question :pY'a des trucs approximatifs : "ça me fait bouillir""ça me rend dingue"Pour moi le plus proche serait : "ça me fait péter les plombs" J'ignore le niveau de langage d'Anita mais peut-être que carrément "ça m'fout les boules" même si pas très féminin
ou alors "ça me gonfle" ou "ça me gave" Pour "ça me hérisse le poil" ça peut marcher mais c'est à ne pas utiliser pour les loup-garous twilightien :DSinon "on en a gros" c'est trop marqué peut-être ? 



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Je meurs de rire devant mon ordi...En fait, tu as raison. Il y a plein d'équivalents sympas. Mais ça manque un peu de fristouilleWitch a écrit :Pour "that fries my bacon" c'est pas facile effectivement, là aussi dans la mesure où ce n'est pas un ingrédient du petit-déj à la françaisedonc "ça me brûle la tartine" ou "ça me détruit le croissant" sont hors de question

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Je suis certaine qu'Anita emploierait ce genre de langage.J'ignore le niveau de langage d'Anita mais peut-être que carrément "ça m'fout les boules" même si pas très féminin sleep ou alors "ça me gonfle" ou "ça me gave"

Cela concerne peut-être le personnage deJ'aime bien le "je vire poilu" aussi cela garde le coté imagé de l'anglais pour moi (même si là je ne vois pas ce que cela traduit ?)
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J'avais vaguement regardé ce sujet il y a quelques mois et là je viens de m'y pencher entièrement. J'étais bien intéressée au début, ça a l'air marrant et relaxant à lire mais tous ces tomes ! Je ne suis pas contre un cycle long pour certains trucs mais pour ce genre d'histoires ça me fait trop penser à une série TV à la Buffy (que j'exècre). Du coup je passerai mon chemin.
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Mise à jour de la critique avec la parution du tome 11 !:arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/cycle/an ... mpires-261
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Merci pour la mise à jour des critiques :)Pour ma part, je dois faire mon mea culpa. J'étais partie avec un très gros apriori sur la série des Anita Blake. J'avais notamment peur que ce soit trop girly. Pourtant, après la lecture de Guilty Pleasures, je dois bien avouer que je me suis trompée. J'ai passé un très bon moment en compagnie d'Anita. Alors certes, Anita est une toute petite bombe qui fait fondre tous les mâles, mais elle a aussi un humour très particulier et efficace. L'action est rondement menée et l'on se laisse emporter par le récit tout en appréciant le côté fouillé du monde qu'elle nous présente. Bref, je lirai la suite même si les critiques des derniers tomes ne sont plus aussi enthousiastes !
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Bon Merry Gentry on aime, on n'aime pas, y'a des moments assez spaces (entre gore et érotisme) le monde est très urban faërie (un peu à la façon Mercy Thompson mais sous hallus
)Pour la suite, je me permets de pouffer comme une midinette
et je me lance sur le sujet !Parce que Le Cercle des Immortels de Sherrilyn Kenyon c'est très très border line avec du Harlequin (c'est le jour) et pour moi c'est plutôt ça la vraie bit-lit dans son sens péjoratif. Sauf que cela existait avant la chick lit et autres appelations à la mode. Et qu'il y a bien longtemps que les anglophones ont classé cette auteur en "paranormal romance" Et avant que Meyer vienne squatter le marché, pour celles (et ceux
) qui avaient envie de frissons de la pleine lune, y'avait de quoi faire (sans se cantonner à l'ambiance ado dorénavant imposée) Ce qu'il faut reconnaitre à Kenyon, c'est qu'elle a développé un monde avec ses codes, sa mythologie (attention elle n'invente pas : basée sur les mythes atlante, grecque, babylonien, je prends le tout, je mélange et j'en passe) ses poncifs, ses thèmes récurrents et sa structure qui se tient. Il y a des genres de héros différents : Dark Hunters, Were Hunters, Dream hunters et une façon de mêler le vrai et le faux assez rigolotte : par exemple les Dark hunters se servent du site internet à leur nom qui existe vraiment (vous pouvez vous-même y jeter un oeil) mais eux ils ont un code secret qui leur permet d'avoir accès à une interface qui concerne leurs activités "occultes" !! C'est bien fait hein ?
:lol:Le problème qui peut rebuter en fait c'est un canevas répété sans faillir à chaque tome. Attention il y a des choix multiples tout n'est pas vrai pour chaque tome :rolleyes:1/ une belle fille (pas forcément consciente de ses atouts, la beauté qui s'ignore c'est tellement plus charmant)qui se morfond parce que : en manque d'amour/fraichement larguée/très déçue par la gent masculine/obnubilée par sa carrière.2/ un personnage masculin au delà du réel niveau perfection (et je n'exagère pas, la perfection modèle testostérone² rien à voir avec l'à peine post pubère Edward) mais affublé un "tout petit" défaut l'empêchant d'envisager le moindre engagement dans toute relation sérieuse. Et je ne parle pas d'un réfractaire au mariage façon Hugh Grant dans 4 mariages hein ! Non là le Monsieur a de vraies bonnes raisons : maudit par un dieu/condamné à chasser les méchants vampires éternellement/poursuivi par la vengeance de démons tueurs/ayant écopé d'une sentence de mort pour attitude incontrôlable ...Faites votre choix, y'en aura pour tout le monde !3/ une localisation quasi constante à La Nouvelle Orléans (qui ressemble un peu au Sunny Dale de Buffy du coup) 4/ en conséquence logique des points 1 et 2 passées les habituelles scènes de rencontres à la je t'aime moi non plus, détestons nous cordialement avant de se tomber dans les bras (pour ne pas dire se jeter goulument l'un sur l'autre) un nombre raisonnable de scènes dévêtues (et pas seulement parce qu'il fait chaud) 5/ un entourage de seconds rôles (qui deviendront les premiers au tome suivant) faire-valoirs plutôt amusant qui cependant ne font en rien diminuer la moyenne "beauté" du secteur géographique6/ un happy end à la Disney "ils s'aimèrent et copulèrent comme des bêtes furent heureux jusqu'à la fin des temps" (quoiqu'il parait que moins dans les derniers tomes) Bref plein de bonnes raisons de crier au nanard et à la sous littérature. Et peut-être pas complétement à tort.Cela dit, j'ai vu qu'elle s'était déjà retrouvée dans une même anthologie que Jim Butcher et une Dresden file, que je ne connais pas, mais qui ne semble pas illisible selon les critiques du site. Cela ne donne pas l'absolution à Miss Kenyon mais on peut préférer les histoires d'amour aux enquêtes policières et vouloir de la fantasy autour. Je ne me vois pas recommander un de ces bouquins à quelqu'un, parce qu'il y a milles autres choses à lire avant. Mais je ne m'imagine pas non plus cracher dessus avec dédain. Je ne dois pas être la seule à avoir des petits moments de déprime de jours de pluie qui se guérissent sous la couette avec une boite de gâteaux/plaque de chocolat/paquet de bonbons et un livre pas compliqué ou devant un film guimauve (avec mouchoirs parfois)Est-ce que c'est un truc de filles ? Je ne sais pas. J'imagine que l'immersion totale dans un shoot'em up pour oublier ses soucis doit tenir du même genre de procédé psychologique (et j'ajoute qu'il est possible que certaines femmes se guérissent au bazooka virtuel et que certains hommes se guimauvent sans honte) Bon voilà une fois de plus c'était très long mais les guerriers d'Artémis valent bien ça
:lol:




