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Ben, apparemment, les deux autres sont très différents. Et très décevants d'après Luigi, qui avait pourtant beaucoup visiblement accroché au premier de son côté.Albéric a écrit :C'est bien parce que je les ai lus attentivement que je trouve le ressenti de Dragonnia alarmant sur l'intérêt de la série en général.
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"L'Impératrice de Mijak" (ou plutôt sa VO) rejoint la liste très restreinte des livres que je n'ai pas pu terminer. C'est sans doute dommage de s'arrêter à 100 pages du but, mais je suis à la torture.Pourtant, ça commençait bien. La première partie (les 140 premières pages, donc) est très bonne, assez intrigante. Mais à partir du moment où Ça traîne en longueur, ça tourne désespérément en rond... et au bout de 100 pages de plus, on frôle l'overdose de divinité. Sans exagérer, je ne peux plus voir le mot "god" sans grincer des dents. "God" par-ci, "godhouse/godpost/godspeaker/godmoon" par là... Ces trois lettres occupent la moitié de chaque page, et au bout d'un moment, c'est plus que lassant, c'est insupportable.Il m'aura fallu 500 pages pour tilter à quoi me faisait penser le style très répétitif et très épuré du bouquin. On retrouve la même chose dans... la Bible. Ce qui faisait le charme du livre au début devient là aussi très vite agaçant.Quant au personnage principal... La goutte d'eau qui met le feu aux poudres. J'ai le plus grand mal à supporter les personnages (qu'ils soient réels ou imaginaires) qui invoquent la volonté divine 10 fois par page pour justifier leur ambition dévorante. Hekat est une folle, tout simplement. L'enfant volontaire du début du livre se transforme sans crier gare en folle de dieu intégriste, que personne n'ose remettre à sa place même quand elle abuse très clairement. Ça m'a donné envie de passer la main dans le livre et de mettre des gifles aux personnages secondaires.Quand on se fait autant violence pour avancer dans un livre, mieux vaut arrêter les frais à un moment donné...
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Traumatisée par les "gods" ... Ça fait bizarre...ok ok c'était très déplacé, je sorsSaffron a écrit :Sans exagérer, je ne peux plus voir le mot "god" sans grincer des dents. "God" par-ci, "godhouse/godpost/godspeaker/godmoon" par là... Ces trois lettres occupent la moitié de chaque page, et au bout d'un moment, c'est plus que lassant, c'est insupportable.

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Un livre assez original finalement parce qu'il nous permet d'assister à . Et en plus on trouve les personnages sympathiques au départ et à partir d'un moment on commence à comprendre où elle veut nous amener. Même si l'ensemble n'est pas sans défaut il mérite d'être lu pour ça. J'ai vraiment envie de voir comment les choses vont tourner dans les deux volumes suivants et comment Karen Miller arrive à retomber sur ses pattes.Karen Miller nous présente un univers où on a le choix de servir une religion intégriste ou de mourir châtié pour impiété. Donc finalement ce n'est pas si surprenant. Au départ on a une héroïne sympathique qui veut sortir de cette condition d'esclave qui veut prendre sa revanche. Elle glisse peu à à peu au niveau des puissant et on se rend compte qu'il n'y en a pas un pour racheter l'autre. Seul Vortka est complètement atypique parmi eux en faisant preuve d'une douceur qui contraste avec l'attitude des autres personnages.Zandakar ne se retourne pas contre les siens, pourtant il en a les moyens. Il accepte son destin jusqu'à ce qu'il se rende compte qu'il est un evil overlord et qu'il finit par se dégoûter lui même.
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