Bon déjà, ça commence fort, en plein dans le duel et avec une prestation de choix de la Muse, on est replongé direct dans l'ambiance, et j'apprécie encore plus du fait que dans le dernier chapitre on s'était arrêté juste avant le duel...procédé cruel pour les pauvre lecteurs avides que nous sommes! ;)Terrible la conversation entre Archi et Locque...je ne sais pas si Apollon a bien mesuré son geste en réunissant ces deux là!
Je suppose que ça fonctionne comme dans les clips, quand les groupes jouent au bord d’une cascade ou dans les ruines d’un temple égyptien, répliqua sentencieusement Archibald.
Quant au choix du costume!
Je trouve la prestation de Locque bien écrite...et pourtant c'est pas facile pour quelque chose qui normalement doit s'entendre
, mais là, on se représente très bien la scène, ça n'a rien de lassant, pas mal!En tout cas, ça c'est du spectacle, voilà qui justifierait les prix exhorbitant qu'on nous fait payer pour des shows moyens!
Et tandis qu’il montait ainsi en direction de Schopenhauer, sa musiquesemblait gagner encore en résonance et fureur, les notes se précipitant en bourrasques de noires, blanches, ou croches, le tout sérieusement refaçonné par les mains virtuoses de Locke.
J'aime bien ce passage par exemple.
Précisons que c’était bien lui le rempart en question, si jamais la phrase précédente vous paraissait confuse connaissant son caractère
Et le tout pour découvrir Locke allongé dans les décombres de sa muraille d’amplis Marshall, une jambe pendante hors de ce maelström deferraille en charpie.
Cette phrase aussi est belle...tout ça pour dire qu'il y a de plus en plus souvent dans les chapitres une écriture fluide et nette, mais aussi des phrases belles par elles-mêmes qui sortent du lot et dont on a envie de se souvenir.Et à la fin, Apollon réussit à rendre sa sentence sans avoir l'air vexé ou ridicule après ce délire complet, il est fort!
Les Muses sont réputées jalouses et promptes à la colère.
Alors ça, ça m'étonne!
Je les aime pas, je les aime pas...
Le dialogue entre Kate et Archi qui suit le départ d'Apollon est lui aussi bien rendu, dans le sens où on s'inquiète nous aussi pour elle.En plus, c'est très émouvant.
Archibald trouvait soudain cette forteresse particulièrement oppressante, n’ayant plus rien à voir avec ce qu’il en avait pensé lors de leur parcours initial.
C'est aussi l'effet que ça m'a fait en lisant les lignes précédantes!
Déjà, il sentait le cercle des Muses le dévorer dans son dos!Le temps lui filait entre les doigts. Déjà, son répit touchait à son terme, et une nouvelle pensée l’habitait. Il n’était pas question de s’engager sur le chemin des Enfers sans armée.Alors les canines de Schopenhauer se découvrirent sous le sourire féroce qui barrait de nouveau son visage émacié.Lui n’avait pas même eu à recruter.
Cette fin est franchement énigmatique!Tass pensait aux rats, moi j'ai pensé à des vampires en lisant le mots "canines", j'ai tout de suite pensé que c'était franchement très improbable, je ne vois pas trop le rapport avec Apollon...Je me demande vraiment ce qui nous attend pour la suite, mais je dois dire que je suis vraiment contente des réponses apportées par ce chapitre, la "victoire" de Locque, la mise au point entre Kate et Archi, Apollon qui joue aux voyeur! Sérieusement, il est touchant lui aussi.Thys
Enfin, si tu veux bien en parler, sinon, je n'insistes pas plus. 
Thys
) je viens réparer l'erreur :DDonc... J'ai positivement adoré... et comme je suis pas douée pour les analyses fines... je dirais que je suis d'accord avec tout ce qui a été posté auparavant. Et que j'attends avec impatience la suite :PShel'
Ses dernieres paroles sont plutot enigmatiques : est ce qu'il pense enroler les rats comme armee contre Hades?ps : c'est quoi le morceau que joue Locke, que je puisse l'ecouter en relisant la scene?
), je l'ai trouvé importante, dans le sens ou tu t'attarde beaucoup (et fort bien) sur les doutes ds personnages, développant ainsi leur psychologie, ramenant Kate et Archy devant la dure réalité et une question existentielle (je dirai ça comme ça): que font -ils dans un combat qui n'est pas le leur, et où le risque de séparation est fort probable? 
