Jeu vidéo : ton univers impitoyable

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Je créé ce sujet parce qu'on a pas parlé des grosses vagues de licenciement qui ont eu lieu l'an dernier sur le marché du jv, et que ceci m'y a fait repenser :

https://www.ign.com/articles/square-eni ... tructuring

ça m'a mis un sacré coup, surtout parce que j'ai naïvement tendance à me dire que les entreprises japonaises ont davantage la tête froide que les compagnies US pour ça. Mais je me demande si au final c'était attendu depuis FF16 qui n'a pas eu les retombées attendues ? :(

Re: Jeu vidéo : ton univers impitoyable

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Je suis l'actualité du JV de loin mais c'est vrai que depuis l'année dernière on a eu pas mal d'annonce de licenciement.
D'ailleurs comme le dit Gillossen, les récentes annonces de Microsoft après avoir dépensé sans compter dans l'optique de pousser au maximum le game pass ont refroidi pas mal de monde. On se demande même si quelqu'un a encore une vision clair à la tête de la division Xbox. J'ai l'impression qu'on est à une espèce de tournant pour le game pass et que si Microsoft n'y va pas à fond maintenant, tout risque de se casser la figure.

Ça fait plusieurs années que j'entends les médias JV dirent que c'est une année exceptionnelle pour les JV.
C'est vrai que le marché est surchargé de nouveautés (indé, AAA, AA, ...) et j'ai l'impression qu'il y a une régulation de celui avec trop d'offres par rapport à la demande.

Les déclarations de Square Enix sur les licenciements et leur réorganisation et les annonces pour le multiplateforme vont un peu dans ce sens .

Re: Jeu vidéo : ton univers impitoyable

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Management à la française, les dirigeants ont un vrai problème avec le présentéisme - comme c'était souvent pointé avant le COVID. Dans les pays anglo-saxons, rester tard est considéré comme un signe de mauvaise organisation, en France c'est considéré comme un signe de quelqu'un d'investi (sans que ce soit lié à la productivité). Du coup, ce besoin de fliquer et de voir les gens s'investir est un peu maladif...

Mais dans le cas d'Ubisoft, les salariés ont indiqué qu'ils travaillent souvent avec des studios aux 4 coins du monde donc être chez soi ou au bureau ne change strictement rien. Dans les faits, il est probable que ce soit une tentative de plan social déguisé, vu que certains ont achetés des maisons ailleurs qu'à Paris et vont donc être obligés de démissionner.