

En l’an mil, la Hongrie est le théâtre d’une lutte historique qui oppose les anciennes tribus féodales au roi István. Celui-ci entend, avec l’appui du pape, unir son pays sous une seule et même bannière, et convertir ses sujets à la nouvelle religion. Mais la puszta, la lande qui couvre la quasi-totalité du territoire, appartient aux esprits des croyances ancestrales, et aux chamanes dont les pouvoirs semblent infinis…À PARAÎTRE EN SEPTEMBRE 2010 - Intrigues politiques de grande envergure, batailles épiques à couper le souffle, magie, héroïsme… Le Châtiment des flèches réinvente l’histoire de l’Europe centrale au prisme de la fantasy.
Oui c'est un des points que j'ai apprécié, et sa volonté de vouloir explorer l'imaginaire dans ses différents genres par l'écriture.John Doe a écrit :Une interview intéressante, qui apporte des éléments intéressants en complément de ses livres.j'aime bien ce qu'il dit de l'extrêmisme et sa vision sur le groupe/la société et les conséquences de leurs actions sur l'individu.
Je l'avais lu quand elle a été publiée, mais j'avais oublié de réagir : très sympa de retrouver le ton de l'auteur, j'ai eu le plaisir de le croiser à la Convention et aux Imaginales, il est très agréable. Et quand il parle, et ben je trouve qu'on a envie d'acheter ses bouquins !Quant au contenu de cette interview, je la trouve intéressante, mais je pense qu'il vaut mieux avoir lu Homo Vampiris avant de la lire, sinon on perd un peu de la "surprise"... personnellement j'ai lu ce livre sans savoir à quoi m'attendre, et j'ai été très agréablement surpris.Enfin, je me demandais : si on aime un livre de Fabien Clavel, est-ce qu'on va automatiquement aimer les autres ? Car j'ai bien compris qu'il écrit dans des genres différents, mais garde-t-il le même style ou bien s'adapte-t-il ?Oceliwin a écrit :Avec du retard, mais toujours d'actualité, une interview de Fabien : http://www.elbakin.net/interview/exclus ... Imaginales
Ce sera pour le 11 avril et ces 288 pages vous coûteront 16,50€Rien n’a jamais préparé les soldats d’Auguste à l’enfer de la Germanie : la pluie, le froid, la boue, les maladies, la hargne des Chérusques dont les attaques éclair déciment les troupes. La forêt de Teutoburg a déjà avalé trois légions et elle n’est toujours pas repue. Mais, pour cette poignée de Romains en déroute réunis par les circonstances, un espoir demeure : peut-être pourront-ils se cacher dans cette étrange pyramide, noire comme l’obsidienne, dressée au milieu du bourbier. Est-ce là le séjour d’un dieu ? Ces gens pacifiques et monstrueux qui hantent son abord sont-ils ses disciples ? Quel est cet étrange signe hélicoïdal répété à l’envi sur chacune de ses parois ?
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