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Si il avait déjà discuté avec son éditeur pour régler ces divers problèmes, mais que ce dernier refusait de l'écouter, il était sans doute nécessaire alors que l'affaire soit rendu public pour faire avancer les choses. Mais bon, l'auteur était peut-être aussi responsable de cette situation, on ne sait pas tout ce qui s'est passé en coulisse. Apparement, il n'est pas le seul à se plaindre, à suivre, on aura peut-être des news dans les mois à venir.Faut toujours se méfier des réglements de compte public, c'est jamais bon signe...Dans quelle mesure les auteurs peuvent-ils se plaindre publiquement de tel ou tel sujet ? Jusqu'à quel point peuvent-ils pousser des "coups de gueule" médiatiques ? Ont-ils le droit de "profiter" de leur notoriété pour tenter de régler leurs problèmes sur la place publique ?
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Difficile de se prononcer vu qu'on voit le problème que par un petit bout de la lorgnette. Mais si ce qu'il reproche à son éditeur est vrai, et vu qu'il n'est pas le seul à se plaindre, on peut peut-être s'attendre à quelques remous. A moins que l'éditeur revoit ses relations avec ses auteurs ;)Tanis
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Mais il faudra écrire en anglais, au moins pour l'instant ::arrow: http://www.elbakin.net/fantasy/news/8048-Envie-De-Devenir-Ecrivain
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Quel dommage que ce soit seulement en anglais !J'ai un manuscrit qui mijote depuis quelque temps, j'aurais bien aimé pouvoir le mettre en ligne. Mais j'ai pas assez d'heures libres pour le traduire... j'irai quand même jeter un coup d'oeil. Ce n'est pas une mauvaise idée pour pouvoir obtenir des critiques sur sont ravail.
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Ce soir, Striptease, à défaut de le poster ailleurs : Bon, je ne pense pas que la fantasy soit concerné par le reportage, mais après tout, ce n'est pas la question. 

Magazine de sociétéDate de diffusion : mercredi 29 juilletHoraire : 23:10 - Durée : 55 minPrésentateur : Marco Lamensh, Jean LibonSommaire : Au sommaire :L'édition c'est pas de la littérature. Les métiers touchant à la littérature sont entourés d'un certain prestige. Etre écrivain ou éditeur fait bien souvent rêver. Entre les deux se trouve quelqu'un de moins connu mais très important : le directeur littéraire, dont le métier consiste à faire vivre la maison d'édition. Et pour y arriver, il faut bien accentuer les considérations économiques, aux dépens des nobles aspirations littéraires des auteurs si nécessaire. A Paris, les directeurs littéraires sont nombreux. Certains sont sinistres, d'autres drôles. Les uns sont malins, les autres sots.Belles, belles, belles. Gros plan sur la jeunesse issue des quartiers chic, qui malgré un environnement favorisé, vit parfois elle aussi difficilement le passage à l'âge adulte.
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ça ne peut pas faire de mal, les auteurs auront plus de libertés et donc ça va innover.Du coup, si ça fonctionne, ça va pousser les éditeurs à se remettre en cause, ce qui est une bonne chose tellement ça semble être peu le cas en ce moment.S.Gillossen a écrit :Mais que pensez-vous du fait de zapper la case éditeurs ?
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Autre variante :
http://www.elbakin.net/fantasy/news/111 ... to-editionEt saluons au passage une nouvelle recrue ! 


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ça me rappelle pas mal ce qui s'est passé avec la musique et la dématérialisation (sans parler de piratage).Sauf qu'aujourd'hui même si on a la technique, la logistique pour dématérialiser les livres de manières efficace, il n'y a pas la culture et l'objet livre a encore trop de valeur.Avoir son oeuvre disponible via le net lui offre une diffusion théorique large, dans la pratique il est compliqué d'attirer le public voir seulement de mettre au courant ses lecteurs que la suite sera pas sur l'étalage mais sur son site. Pour un nouvel auteur, la problématique sera encore plus importante.- Pourquoi vous ne passez pas par une maison d'édition pour diffuser votre livre ?- Elles ont toutes rejeté mon livre- Ok, alors je vais peut-être pas mettre 4-5 euros dedans.Sur le net, je n'achete jamais au hasard, alors qu'en magasin une couverture de livre, une pochette de disque va m'attirer, je suis pas venu pour mais je vais repartir avec.
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Bienvenue à une nouvelle redactrice. :)Je reste sceptique sur l'auto édition, les maisons d'éditions permettent de faire déjà un tri qui nous évite un bon nombre de livres sans intérêt, déjà, qu'on trouve quelques livres avec un manque de qualité certain en vente... C'est bien pour les auteurs, qui sont déjà connus et qui ont une communauté de fans, je ne pense pas que ça aille beaucoup plus loin.
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Ah, j'ai lu aussi cet article ou en tout cas un équivalent dans le Nouvel Obs. C'était de la fantasy jeunesse, auto-éditée par deux strasbourgeoises. L'article ne doit pas être disponible, mais je suis tombé sur la lettre adressée à l'hebdomadaire par des fans, source de l'article. Quelqu'un connaît cette Oksa Pollock ?