Merwin Tonnel a écrit :Jamais eu de grandes frayeur en fantasy mais j'adore quand Stephen King s'attaque à la folie humaine (il est plus effrayant que quand il sort des gros monstres). Je me souviens notamment d'une vieille folle de Meji (?) dans le tome 4 de la Tour Sombre, qui adorait laver le parquet avec sa langue. King décrit bien les morceaux d'écharde qui lui rentrent dans la bouche, c'était assez dérangeant.
Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah mais ça va pas la tête de mettre ce genre de messages après la tombée de la nuit

Bon j'ai été une grande fan des moments de frayeur provoqués par King (jusqu'au trop ridicules Tommyknockers

)
Ça bien sûr mais surtout
Le Fléau et pour moi aussi le Talisman des Territoires. Brrr la traversée des US comme on n'a pas envie de la faire. Récemment parlé de l'ambiance particulièrement oppressante dans
L'Avatar de Carey. Je ne sais pas si je devrais le dire mais même pas besoin d'aller aussi loin : je n'ai pas pu lire
Coraline le soir ! Il y avait dans ce roman de Gaiman un truc particulier qui me faisait ne le lire qu'en plein jour

L'idée de ne pas être en sécurité dans sa propre maison, ça fonctionne assez bien comme ressort effrayant pour moi.Et ensuite dans
Nobody Owens du même Gaiman la partie où il est
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emmené dans la ville souterraine des espèces de je sais plus quoi horribles qui le prennent pour l'un des leurs
aaaaaaarrgh !!! J'ai aussi pas mal flippé avec/pour Lyra à plusieurs reprises.Je me souviens aussi d'une grande empathie avec Sabriel dans le roman éponyme de Garth Nix, lorsqu'elle utilise
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ses pouvoirs pour aller au delà de la mort
Bon si j'en crois ce que me dit la petite voix dans ma tête, tout va bien avec l'éros, c'est le thanatos qui pose problème

:lol::lol:Mais en fantasy, je pleure plus souvent que je n'ai peur.
