




Miam MiamEn 479 avant J.-C., dans une Grèce inédite où Athènes s'appelle Pensée, erre un bien curieux amnésique. Blessé à la tête au cours d'une des batailles qui marquent la fin des guerres médiques, Latro a non seulement perdu le souvenir de son passé, mais aussi toute capacité de mémorisation. Chaque jour, il se réveille hors de tout contexte et n'a d'autre recours que de tenir un journal pour affronter l'éternel présent qu'est devenue son existence. Mais en contrepartie de cette infirmité qui l'oblige à un perpétuel réapprentissage, Latro a hérité d'un don : celui de voir les êtres divins et surnaturels dont regorge la Grèce de cette époque...
Je ne l'aurais pas mieux dit ! Vivement, ce pitch est super intéressant !Plume a écrit :Voici le résumé donné par Lunes d'Encre:Miam MiamEn 479 avant J.-C., dans une Grèce inédite où Athènes s'appelle Pensée, erre un bien curieux amnésique. Blessé à la tête au cours d'une des batailles qui marquent la fin des guerres médiques, Latro a non seulement perdu le souvenir de son passé, mais aussi toute capacité de mémorisation. Chaque jour, il se réveille hors de tout contexte et n'a d'autre recours que de tenir un journal pour affronter l'éternel présent qu'est devenue son existence. Mais en contrepartie de cette infirmité qui l'oblige à un perpétuel réapprentissage, Latro a hérité d'un don : celui de voir les êtres divins et surnaturels dont regorge la Grèce de cette époque...
J'ai entendu dire que c'était fascinant, difficile d'accès car on ne sait pas où l'auteur veut en venir, mais fascinant...Comme souvent avec cet auteur en particulier, et comme souvent avec la collection Lunes d'Encre en général.On ne se laisse jamais assez dire que son existence est une bénédiction pour la Fantasy et la SF en France.Des lecteurs de la précédente édition chez présence du futur pour avoir une première idée ?
Rien sur le contenu en lui-même, mais voilà les mots de l'éditeur à propos de cette ré-édition :"Les temps de narration ont été harmonisés entre tous les volumes, donc le premier volume a BEAUCOUP changé (passé simple --> passé composé)".http://www.actusf.com/forum/viewtopic.p ... c&start=30Gwendal a écrit :Des lecteurs de la précédente édition chez présence du futur pour avoir une première idée ?
C'est le problème quand on fait imprimer en France. Les tarifs de l'imprimerie sont chers. J'ai feuilleté des Bragelonne récents et je suis tombé sur la mention Imprimé en Italie. Bref pour maintenir des prix bas on fait imprimer à l'étranger. Il y a même des albums jeunesses imprimés à ....Singapour.verseb a écrit :Je comprends ta frustration Albéric...:-(Mais d'un coté, le tarif élevé des 2 bouquins s'explique un peu : apparemment lunes d'encre est assez en difficulté et ils ont du mal à rentrer dans leurs frais. Donc, je pense qu'ils essaient de se rattraper sur le prix pour compenser le faible volume des ventes. J'espère tout de même qu'ils ne disparaitront pas car c'est quand même un éditeur qui sort de belles choses, qui prend des riques en sortant des sentiers battus.
C'était ici ...... ce qui n'explique toujours pas pourquoi ça n'est pas paru en un seul volume.Bon, en tout cas, le premier est au chaud chez moi. Mais c'est vrai que pour faire de la place au petit frère, et bien, je crois que le chat sera privé de croquettes ce mois !thomasday a écrit:Illustration du désastre actuel :Soldat des brumes de Gene Wolfe (qui aurait dû sortir début février) a été bloqué par les éditions Denoël car l'ordinateur a craché que pour commencer à gagner 1 euro il fallait le vendre 44 euros pour le tome 1 et 30 sur le tome 2, sans rabats (la faute à un tirage de 3000 ex seulement, dû lui à une mise en place très faible et des perspectives de ventes équivalentes voire encore plus faibles. Sur mes précédents Gene Wolfe j'ai fait 3700 et 2700 après retours). C'est évidemment impossible de mettre ces ouvrages à un tel prix. Hier, on m'a proposé 35 et 25, sans rabats, j'ai alors milité (pour ne pas dire fighté) pour 29 et 23. Ma direction a tranché à 30 et 25, en espérant limiter les pertes. Personne n'est content dans l'histoire : ni l'agent de l'auteur, ni l'éditeur qui va perdre de l'argent, ni le lecteur qui va trouver les livres trop chers. Et en même temps, il n'y a qu'un seul coupable, un marché qui est devenu si dur qu'on ne voit plus de solutions raisonnables. "
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